Le problème des erreurs et inexactitudes, c’est qu’elles prennent beaucoup moins de temps à être énoncées qu’elles n’en prennent à être déconstruites. Depuis la publication dans le journal Le Monde[1] de la tribune des économistes Nicolas Dufrêne et Jean-Michel Servet, une nouvelle séquence médiatique s’est ouverte avec la rengaine habituelle…