Delovoy Peterburg: le symbole de la fête des diplômés, “Scarlet Sails”, peut être vendu — 25/08/2009
En août 2009, le Shtandart est toujours consigné à quai, pour avoir violé, en 2007, les instructions relatives à sa catégorie de navigation. Mais “Delevoy Peterburg” expose que les appuis de Vladimir Martus, au sein de la municipalité de Saint-Pétersbourg, lui ont permis d’obtenir de figurer à la fête des “Scarlet Sails” et au 80e anniversaire de l’Okrug autonome des Nenets, selon certaines procédures à respecter. Les deux opérations combinées doivent garantir un chiffre d’affaires de l’ordre de 90 000 Euros. Toutefois, le navire annonce son intention d’abandonner le pavillon russe pour jouir d’un cadre réglementaire moins contraignant.
Le “transit” vers le 250e anniversaire de l’Okrug des Nenets mettra définitivement le Shtandart hors la loi en Russie, du fait de nouvelles infractions commises par le capitaine Vladmir Martus. Paradoxalement, dix ans après, le changement de pavillon du Shtandart ne sera plus à l’ordre du jour et deviendra même un point de radicalisation nationaliste du navire.
Traduction Google de l’article de “Delovoy Peterburg” : “Символ праздника выпускников “Алые паруса” могут продать” — https://www.dp.ru/a/2009/08/25/Simvol_prazdnika_vipuskni
25 août 2009
Les propriétaires de la frégate Shtandart, symbole de la fête des anciens, “Scarlet Sails”, en ont assez des différends avec les autorités et peuvent vendre le navire.
Le fait est que le Département d’État de la Surveillance Maritime et Fluviale du Nord-Ouest (SZU GmiRN — СЗУ ГмиРН) a interdit l’exploitation du navire en septembre 2007. La frégate était supervisée par le River Register, mais a violé la zone de navigation établie (le navire n’était autorisé à naviguer que jusqu’à Vyborg) et a été interdite depuis.
Pour que la frégate puisse participer au festival Scarlet Sails à l’été 2009, le registre fluvial, à la demande de l’Assemblée législative de Saint-Pétersbourg (Conseil Municipal?), lui a donné l’autorisation d’un seul passage le long de la Neva.
Récemment, le partenariat à but non lucratif “Projet Shtandart “ a remporté un concours dans le cadre duquel la frégate devrait participer à la célébration du 80e anniversaire de l’Okrug autonome des Nenets et venir dans la ville de Narian-Mar le 8 septembre (2009). Marina Izmailova, chef du service de presse de l’administration NAO, a déclaré que le NP” Standard” a pu soumettre les documents nécessaires et a donc remporté le concours pour 3 millions de roubles (environ 67 400 Euros, au cours d’août 2009) et a déjà reçu une avance.
Maintenant le Shtandart est en Norvège, d’où il ira ensuite à Narian-Mar. Maxim Kapitonov, chef adjoint du SZU du GMIRN, commente le voyage du Shtandart comme suit : “Le Shtandart a quitté le port de Saint-Pétersbourg en tant qu’objet remorqué, et non en tant que navire. Le registre n’a accepté qu’un seul passage remorqué au port de Kotka (Finlande) dans un état sous cocon sans passagers à bord Dans le même temps, l’armateur a déclaré que le navire devait être réparé.”
Pour une navigation autonome, l’armateur est obligé de fournir des documents au SZU GMIRN, ce qui n’a pas encore été fait. De plus, selon le SZU GMIRN, le capitaine du Shtandart, Vladimir Martus, n’a pas fourni les documents nécessaires et n’a donc pas le droit d’exploiter le navire.
Vladimir Martus lui-même a déclaré que la confusion avec les documents était due à des lacunes dans la législation : le Shtandart est un navire de sport, et nous n’avons toujours pas de loi claire sur les navires de sport.
La responsable du programme jeunesse du projet Shtandart, Lidiya Plekhanova, dit que le capitaine a des documents pour naviguer sur le yacht, elle est donc sûre que Vladimir Martus a le droit de commander Shtandart.
À propos du sort futur du Standard, Lidia Plekhanova a déclaré ce qui suit: «Bien sûr, nous participerons à la célébration de Narian-Mar et essaierons de retourner en toute sécurité à Saint-Pétersbourg, mais si la persécution du Standard continue, le navire changera de pavillon et ne retournera pas dans sa patrie, il est également possible que la frégate soit vendue, car nous ne voulons pas que le navire de travail pourrisse à quai.”
