FAQ #AbbealValley

Abbeal
12 min readSep 26, 2018

--

Bonjour à tous ! 🐝

Vous en entendez parler depuis un petit moment Ă  travers nos rĂ©seaux sociaux mais
 On s’est dit qu’un article serait bien plus explicite pour vous prĂ©senter notre Startup Studio Abbeal Valley !

Commençons avant tout par des présentations ; dans cet article, la parole sera donnée à :

SĂ©bastien (L.) et Bertrand, les deux co-fondateurs d’abbeal,
Charlotte et SĂ©bastien (Q.), les deux porteurs de projets de l’édition 2017,
Adrien, l’homme multi-casquette,
Ainsi qu’Antoine et Alexandre, les deux dĂ©veloppeurs.

Maintenant que vous connaissez les bases, place aux questions !

C’est parti !

C’est quoi Abbeal Valley ?

B : Abbeal Valley est un programme d’aide Ă  la crĂ©ation de startup au sein d’abbeal. Il accompagne les projets de l’équipe, de l’idĂ©e Ă  un premier produit commercialisable (MVP).

Pourquoi y avoir pensé ?

S : Bertrand, comme moi, sommes entrepreneurs dans l’ñme et connaissons les difficultĂ©s liĂ©es au dĂ©marrage d’une startup : recherche de fonds, peur de se lancer, sentiment d’isolement 

Nous avons donc dĂ©cidĂ© d’aider l’équipe Ă  surpasser ces problĂ©matiques et encourager la crĂ©ation de nouvelles offres/produits. Cela nous permet aussi de passer de prestataires du numĂ©rique Ă  acteur du milieu.

Comment se passe l’appel à projets ?

S.L. : Tous les ans, gĂ©nĂ©ralement pendant l’étĂ©, les membres de l’équipe sont sollicitĂ©s pour prĂ©senter des idĂ©es qui leur tiennent Ă  coeur et que nous pourrions aider Ă  dĂ©velopper.
La rĂ©ponse est guidĂ©e par des questions mais inclut une partie libre oĂč l’on peut laisser aller sa crĂ©ativitĂ© (ce que nous apprĂ©cions par ailleurs beaucoup).
L’équipe a alors entre 2 et 3 mois pour rĂ©pondre.

B : À l’issue, nous sĂ©lectionnons dix projets que nous soumettons Ă  un jury externe Ă  la sociĂ©tĂ©, composĂ© de personnes issues de l’univers de l’entrepreneuriat : CEO, CTO, investisseurs 

Ces derniers sĂ©lectionnent alors un ou deux projets sur lesquels nous allons investir et accompagner jusqu’au MVP.

Les porteurs de projets deviennent alors Product Owner sur leur projet et une équipe de développeurs internes est détachée spécifiquement à chaque projet.
Si le MVP confirme la viabilitĂ© du produit, le porteur se dĂ©tache d’abbeal pour devenir CEO de la startup. Nous aidons ensuite la startup a crĂ©er une structure, Ă  lever des fonds, Ă  communiquer, se dĂ©velopper commercialement etc
 Abbeal prend une part minoritaire dans la sociĂ©tĂ© crĂ©Ă©e.

S.L : Les deux projets sélectionnés suite au premier appel à projets ont été ceux de Charlotte et Sébastien, qui vont à présent vous les présenter !

Charlotte et SĂ©bastien (Q.), Ă  vous la parole !

Quels sont vos projets ?

S.Q. : Syllabo, “L’école c’est facile comme un jeu d’aventure”. L’objectif est de doper la culture et les fondamentaux de l’école chez les enfants en les y rendant autant accro que leurs parents peuvent parfois l’ĂȘtre Ă  Candycrush, Pokemon Go ou World of Warcraft.

C : Strabo, “Une plateforme web entiĂšrement dĂ©diĂ©e Ă  trouver des compagnons de voyage. C’est une nouvelle maniĂšre de voyager, pour tout ceux qui n’aiment pas beaucoup partir seul, tout ceux qui veulent rencontrer de nouvelles personnes au travers d’une expĂ©rience de voyage, et puis aussi ceux qui souhaitent optimiser leurs frais de dĂ©placement et de logement”.

Quel est votre rĂŽle aujourd’hui ? Comment interagissez-vous avec l’équipe ?

Product Owner !

S.Q. : C’est Ă  dire porter la vision du produit en interagissant avec des utilisateurs potentiels, en faisant de la veille sur les diffĂ©rents aspects du produit et en priorisant les fonctionnalitĂ©s au fil de l’eau en fonction de leur valeur business et de leur complexitĂ© de rĂ©alisation. C’est aussi une des facettes de l’agilitĂ© que je dois apporter quand je prends ma casquette de coach agile chez des clients d’Abbeal. La pratiquer “en vrai” me permet au passage d’apporter davantage de poids Ă  mes interventions sur le sujet. J’interagis avec l’équipe avant tout en venant les embĂȘter autant que possible le midi, lors de la pause dĂ©jeuner, mais aussi au travers des discussions Slack du quotidien, avec Jira pour le suivi des fonctionnalitĂ©s, et en participant aux rĂ©tros et aux dĂ©mos pour ce qui concerne l’amĂ©lioration continue.

C. : Je porte la vision du produit. Je crĂ©e les maquettes et je rĂ©dige les spĂ©cifications fonctionnelles pour le dĂ©veloppement du projet. Pour cela, je discute beaucoup avec l’équipe, je me nourris de leurs avis, je fais des tests utilisateurs dĂšs que possible pour voir ce qui va bien et ce qui ne fonctionne pas. Je prends Ă©galement en compte tous les retours que l’on peut me faire, et je ne cesse de me renseigner en participant Ă  des discussions dans diffĂ©rents forums ou groupes de co-voyageurs qui s’organisent en ligne. Cela me permet de comprendre clairement les besoins de nos personas et ce qu’il manque dans les solutions actuelles. Au milieu de toutes ces informations, mon rĂŽle est ensuite de trancher sur le choix et la prioritĂ© des fonctionnalitĂ©s Ă  dĂ©velopper. Je n’hĂ©site jamais Ă  solliciter l’équipe pour toutes les questions que je peux me poser, ils me permettent toujours de me rafraĂźchir les idĂ©es, d’éclairer ce qui peut ĂȘtre flou, et surtout, de faire les bons choix ! On met Ă  profit Slack, on discute sur JIRA et je viens les voir tous les jeudis pour travailler avec eux. C’est l’occasion de faire une dĂ©mo de Strabo et une rĂ©tro Abbeal Valley alternativement.

Comment gérez-vous votre temps ?

S.Q. : En flux (parfois trĂšs) tendu. Je profite du train (#TERPicardiePower) pour m’accorder 1h30 de boulot sur le sujet quotidiennement. Et puis (trĂšs souvent) tĂŽt le matin, (plus rarement) tard le soir ou le week end quand je n’ai pas d’impĂ©ratif autre.

C : Je suis une grande insomniaque alors je gĂšre plutĂŽt mon Ă©nergie que mon temps. Je m’assure toujours de travailler et de rĂ©flĂ©chir dans des endroits oĂč je me sens bien. Je profite des moments oĂč je suis en pleine forme, gĂ©nĂ©ralement le week-end pour crĂ©er les maquettes et me former sur des notions que je ne maĂźtrise pas, et les soirs en semaine pour rĂ©diger les User Stories (US) et faire de la recette, et je prends des pauses au travail pour faire de la veille, lire des articles, me former sur des petites choses.

Comment avez-vous démarré votre projet ?

S.Q : Il y a 4 ans et demi, pour aider mon garçon, qui avait 3 ans Ă  l’époque, Ă  commencer doucement l’apprentissage de la lecture. Au passage, ça m’a aussi permis de me former Ă  divers framework JS, en lui proposant des applications sur divers frameworks du moment (Backbone, Polymer, AngularJS, React). C’était alors des applications indĂ©pendantes sans fil rouge et trĂšs rĂ©pĂ©titives. Loin de ce que je percevais dĂ©jĂ  comme potentiel d’apprentissage des outils numĂ©riques. Mais je n’avais ni le temps, ni les ressources nĂ©cessaires Ă  la mise en oeuvre d’un produit complet.

C : L’idĂ©e m’est venue il y a deux ans. J’y ai rĂ©flĂ©chi intensĂ©ment pendant les 3 premiers mois et puis, j’ai cherchĂ© tous les moyens de dĂ©velopper cette application (je n’avais encore jamais codĂ© de ma vie). Au dĂ©part, ma soeur m’a beaucoup aidĂ©, on a essayĂ© de se former au web et de commencer Ă  crĂ©er la page d’accueil. Puis, j’ai fait plusieurs meetups pour savoir comment dĂ©velopper une application, j’ai finalement entendu parler de la Abbeal Valley et c’est ce qui m’a motivĂ© Ă  organiser ma dĂ©mission dans mon ancienne boĂźte pour rejoindre Abbeal.

Et le plus important, est-ce que ça vous plaßt ?

S.Q. : C’est l’éclate totale ! C’est comme plonger au sein d’une startup sans en avoir les pressions de rentabilitĂ© immĂ©diate, et ce, grĂące Ă  la confiance de Bertrand et Seb (Lonjon). Ça permet aussi de se conforter dans le fait que les valeurs que l’on prĂŽne (horizontalitĂ©, bienveillance, excellence) sont les bonnes lorsqu’on parle de dĂ©veloppement de produit logiciel. L’équipe de dev est complĂštement focalisĂ©e sur le produit et c’est un vrai rĂ©gal. Tout n’est pas tout rose, il y a parfois des moments de doute ou de sacrifices personnels Ă  faire, mais ça en vaut la peine.

C. : Tellement ! J’ai appris un nombre incalculable de choses depuis que le projet Ă  commencĂ©. Tout est stimulant, et c’est une sensation formidable d’avoir une Ă©quipe qui croit en l’idĂ©e, qui est impliquĂ©e et qui met beaucoup d’efforts et de qualitĂ© Ă  la dĂ©velopper. Et c’est un vrai plaisir, car on partage tous les mĂȘmes valeurs de bienveillance, d’écoute, d’entraide et chacun a sa voix et un poids dans les dĂ©cisions que l’on prend. Ça peut ĂȘtre parfois un peu frustrant car je ne suis pas sur le projet Ă  temps plein, contrairement Ă  l’équipe. Et puis, ce n’est pas toujours facile de se rendre disponible pour suivre leur avancĂ©e au quotidien. Mais ce n’est finalement pas grand chose au regard de ce que nous fait vivre cette expĂ©rience.

Mais finalement, qui fait le projet ?

Seb : C’est avant tout une synergie entre l’équipe de dev (Adrien C. et Alex) et moi. Adrien veille au grain quant Ă  l’application des bonnes mĂ©thodes et Alex travaille d’arrache pied pour maĂźtriser une stack complexe et dĂ©velopper les fonctionnalitĂ©s. Nous avons aussi un illustrateur, Yohann, qui participe Ă  la construction graphique de l’application. Et puis des discussions avec le monde connexe au produit : un embryon de groupe de parents, des enfants avec qui je fais des activitĂ©s pour co-construire le jeu, et le reste d’Abbeal Valley (Bertrand, Seb, Adrien A., Charlotte).

Charlotte : Toute l’équipe d’Abbeal Valley ! Adrien en est le chef d’orchestre, il forme les dĂ©veloppeurs, s’assure de l’excellence des pratiques mises en oeuvre, de la qualitĂ© des livrables et challenge les rĂ©flexions. Antoine code les fonctionnalitĂ©s et n’hĂ©site jamais Ă  remettre en cause les choses qui lui paraissent floues ou qui ne lui parlent pas. On est en permanence aidĂ© par les deux SĂ©bastien(s), Alexandre, Bertrand, et tous ceux qui passent par notre lab. Ma soeur m’aide aussi Ă  rĂ©flĂ©chir sur les aspects liĂ©s au design et Ă  l’identitĂ© visuelle.

Mais qui est donc cet Adrien, l’homme dont tout le monde parle ?

Que fais-tu au sein d’Abbeal Valley ?

A. : En plus de gĂ©rer la partie technique (architecture, lead dev 
), je suis Ă©galement coach agile, UX designer, formateur et parfois mĂȘme PO !
Un mĂ©lange de CTO et d’IngĂ©nieur Produit, en rĂ©sumĂ©.

Comment t’organises-tu ? Quelles sont les mĂ©thodologies employĂ©es, les technos ?

A. : Remplir ces diffĂ©rents rĂŽles demande de l’organisation et de la rigueur, ainsi qu’une certaine flexibilitĂ©. Pour cela, nous avons mis en place des mĂ©thodes agiles adaptĂ©es Ă  l’équipe et qui, surtout, Ă©voluent avec elle.
Ainsi, nous avons dĂ©cidĂ© de nous baser sur du Kanban, pour s’abstraire de la notion de sprint et de la pression et frustration qui peuvent parfois l’accompagner.

Pour l’amĂ©lioration continue, nous avons repris les rituels de Scrum, Ă  savoir daily meeting, en mode Walk the Board pour plus de fluiditĂ©, ainsi que les dĂ©mos et rĂ©trospectives (un jeudi sur deux en alternance). Nous avons aussi testĂ© l’abandon du chiffrage des User Stories, qui s’avĂšre ĂȘtre un test concluant en terme de vĂ©locitĂ©.

En ce qui concerne les choix techniques, ceux-ci doivent s’adapter au produit, Ă  la version cible et sont bien Ă©videmment pris en accord avec le porteur de projet !

Comment gĂšres-tu l’équipe ?

A. : Un de mes rĂŽles est de coordonner les Ă©changes dans l’équipe et ce Ă  plusieurs moments du dĂ©veloppement, via Jira, Github et en direct.

Par exemple, j’interviens avant le dĂ©veloppement des US, pour vĂ©rifier qu’une story est assez bien spĂ©cifiĂ©e et faire des premiers retours aux PO si besoin. Ceci permet de prĂ©senter des US les plus complĂštes possibles aux dĂ©veloppeurs et de simplifier leur travail.

Une fois les US acceptĂ©es par l’équipe (spĂ©cification complĂšte), je guide une phase de dĂ©coupage technique, avec les dĂ©veloppeurs, ce qui nous permet de rĂ©flĂ©chir ensemble Ă  l’architecture et aux problĂ©matiques pouvant apparaĂźtre.

Enfin, j’accompagne le dĂ©veloppement en proposant des pistes, en me rendant disponible pour rĂ©pondre aux questions, dĂ©bloquer si besoin et valider chacune des Pull Requests qui sont faites.

Pourquoi avoir choisi ces méthodes ?

A. : Le but d’Abbeal Valley est Ă©videmment de dĂ©velopper des produits, mais aussi de crĂ©er une vĂ©ritable synergie et un pĂŽle de compĂ©tences, de formation et d’innovation au sein d’abbeal. Nous avons donc mis en place des mĂ©thodes qui permettent de rĂ©pondre Ă  ces diffĂ©rents besoins, en optimisant la transmission, la montĂ©e en compĂ©tences et le partage.

Et qu’en est-il de la partie tech ? Alexandre, Antoine, c’est à vous !

Quel est votre rîle ? Que faites-vous au sein d’Abbeal Valley ?

Al. : Je suis apprenti en derniĂšre annĂ©e Ă  l’école informatique In’tech du groupe ESIEA. J’ai une journĂ©e de formation par semaine, le reste du temps, je suis au lab ! J’ai rejoint le projet Syllabo en tant que dĂ©veloppeur Full Stack JavaScript sur une stack technique Node.js et React.js.
Outre la partie technique, j’ai l’opportunitĂ© de donner de ma personne en participant Ă  la dĂ©finition du produit et Ă  l’évolution d’Abbeal Valley.

Chaque membre des projets Abbeal Valley est acteur de sa bonne santé, de son évolution et de la qualité des produits développés.

An. : Je suis Ă©tudiant en dĂ©veloppement web Ă  la Web@cadĂ©mie et dĂ©veloppeur Front-End au sein d’Abbeal Valley, sur Strabo. Je dĂ©veloppe principalement des nouvelles fonctionnalitĂ©s pour la plateforme, mais j’ai aussi d’autres responsabilitĂ©s telles que :

- Faire des code reviews pour les autres projets,

- Participer aux sĂ©ances de dĂ©coupage technique et d’architecture,

- Animer les dĂ©mos des projets (toujours trĂšs fun car je peux y ajouter ma petite touche perso ! 😏),

- Participer aux rĂ©trospectives agiles, ce qui me permet d’appliquer les bonnes mĂ©thodes,

- Et puis bien sĂ»r, trouver des nouveaux endroits oĂč manger dans le quartier (trop de gourmands dans cette team ! 😋)

Que mettez-vous en pratique lors de votre formation ?

Al. : Abbeal Valley centre sa stratĂ©gie autour de l’humain mais n’en oublie pas pour autant le cĂŽtĂ© technique et ses bonnes pratiques.

Nous tentons de tirer le meilleur des mĂ©thodes agiles. Nous appliquons la mĂ©thode Kanban qui se traduit en partie par l’utilisation d’un board Ă  l’aide de l’outil Jira. Nous utilisons des rituels agiles venant de SCRUM comme le Daily Meeting les matins, la rĂ©trospective agile ou une dĂ©mo produit qui ont lieu les jeudis midi. Nous appliquons aussi des mĂ©thodes de l’eXtreme Programming (XP) comme le TDD, le Pair Programming ainsi que la Code Review.

Ces bonnes pratiques nous assurent le dĂ©veloppement d’un produit de qualitĂ© tout en restant flexible pour pivoter si besoin et rĂ©pondre Ă  l’évolution rapide du marchĂ©.

An. : Tout et plus encore !
Au sein du Lab, les bonnes pratiques et le code propre composent les rĂšgles.
J’ai toutes les cartes en main pour apprendre Ă  bien dĂ©velopper : les tests, les bonnes pratiques Javascript et ES6/7, React, Redux, Saga et bien sĂ»r, toujours plus de tests.

Mais aussi et surtout, j’apprends tout autant d’un point de vue humain ! L’équipe est trĂšs ouverte aux retours, les commentaires et reviews UX sont donc trĂšs courants. Nous apprenons Ă  travailler dans un environnement agile, et donc Ă  appliquer les mĂ©thodes adĂ©quates. Cela permet de favoriser la formation, mĂȘme quand ça peut freiner le produit. C’est ce qui fait qu’Abbeal Valley est un trĂšs bon environnement d’apprentissage !

Un petit mot sur ce que vous apporte Abbeal Valley ?

Al. : Mon rĂȘve, c’est d’avoir un impact dans l’éducation, notamment chez les plus jeunes. Abbeal Valley m’offre l’opportunitĂ© de poursuivre mon rĂȘve dans des conditions optimales.

J’ai eu beaucoup d’autonomie sur le projet Syllabo et l’encadrement d’Adrien m’a permis une montĂ©e en compĂ©tence technique rapide et solide. Adrien est conscient que je suis apprenti et met tout en place pour crĂ©er un Ă©quilibre entre formation et production. Nous apprenons de nos erreurs et l’échec n’est pas une fin en soi.

Abbeal Valley respecte l’équilibre de vie de chacun. La confiance et l’ambiance permettent de se dĂ©passer dans un cadre bienveillant. Abbeal Valley tire son originalitĂ© par la crĂ©ation d’un environnement de travail idĂ©al oĂč chaque collaborateur est acteur et non spectateur du Lab.
J’ai vĂ©cu une superbe expĂ©rience au sein d’Abbeal Valley et je la termine d’ailleurs en signant mon premier CDI chez abbeal !

An. : En plus de l’apprentissage du dĂ©veloppement, la bonne ambiance et l’esprit d’équipe ! Un vrai bonheur !

Un vĂ©ritable esprit d’équipe !

Mais alors, c’est quoi la suite ?

S. : Les premiers projets Strabo et Syllabo devraient arriver bientĂŽt, nous sommes trĂšs impatients, tout comme l’équipe, de voir comment les utilisateurs vont rĂ©agir.

B. : Un deuxiÚme appel à projets est en cours avec des premiÚres propositions intéressantes. Le prochain jury aura lieu début novembre.

Les prochaines Ă©tapes sont de structurer cet accompagnement Ă  la fois sur la partie technique (mise en place d’un socle, de bootstrap 
), sur la partie mĂ©thodo (agilitĂ© Ă  distance, participation des Ă©quipes Ă  temps partiel) et de construire avec l’équipe l’accompagnement post MVP : crĂ©ation de structure, aide Ă  la levĂ©e de fonds, dĂ©veloppement commercial, acquisition/fidĂ©lisation d’utilisateurs, communication 


L’aventure ne fait que commencer !

#Bzzz

--

--

Abbeal

Abbeal est une communautĂ© d’apicodeurs partageant leur savoir faire autour des stacks modernes.