Le défi d'être vivant
Et si le plus grand défi des temps à venir était celui d’être vivant.
Demeurer sain de corps et d’esprit devient une véritable ascèse tant les actes les plus simples du quotidien exigent un exercice de discernement, de force morale et de courage.
Boire, manger, respirer, se soigner, travailler, se divertir, tout ce qui entre dans notre corps et notre esprit doit faire l’objet d’une attention inédite tant notre environnement est potentiellement toxique.
OGM, pesticides, pollutions et contaminations, nourriture industrielle, médications mortelles, radiations électromagnétiques, addictions aux réseaux sociaux, narratifs anxiogènes des médias, culture woke, etc. la modernité est devenue synonyme de morbidité et s’en protéger demande de développer un véritable art de vivre allant de plus en plus à l’encontre des tendances de la société.
Préserver son intégrité physique et mentale demande du courage, car faire valoir ses libertés et droits fondamentaux ou exercer un simple principe de précaution sont devenus des actes répréhensibles aux yeux d’un système technocratique autoritaire.
Être vivant c’est aussi choisir la Vie. C’est refuser la demi-mort de la société de contrôle, du crédit social et du transhumanisme. Assumer ce choix c’est accepter les risques de ségrégation ou d’exclusion par un groupe majoritairement conformiste. C’est donc la nécessité de créer une réalité à son image dans le respect de ses valeurs.
Être vivant c’est entrer dans un nouveau rapport au monde, c’est participer au changement de paradigme, celui d’une conscience plus vaste. Face à la contraction de la civilisation de l’avoir, l’expansion de l’être est la véritable voie d’évolution.
Être vivant c’est choisir d’emprunter la voie exigeante d’une transformation profonde et d’accepter de laisser mourir ce qui doit disparaître en nous et autour de nous afin qu’advienne une nouvelle Renaissance.