AMÉRICANISME: NOUVELLE ORTHODOXIE HÉGÉLIENNE

AMERICAN IDEALISM
53 min readJan 4, 2019

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Christopher Richard Wade Dettling (2013)

Celui qui réfutera Hegel, qu’il doive apparaître demain ou qu’il tarde encore plusieurs siècles, sera lui–même un Hegel. Georges Noël¹

La suprématie du monde Américain et la naissance de l’ordre politique et économique Global, c’est l’ouvrage du 21e siècle: Maintenant bien engagé depuis longtemps, le mondialisme est alors la civilisation universelle, dont la phase ultime est l’Américanisme.

Les ennemis mortels du monde Américain n’acceptent jamais ce verdict de l’historiographie exacte de l’histoire universelle: Aujourd’hui même, ils se battent les dents et les ongles contre l’agrandissement de la rationalité politique et économique américaine dans le monde. Les ennemis mortels de l’Américanisme sont alors les destructeurs de l’unification développemental de l’intégration coaxiale du monde Américain:

“L’école de Emmanuel Kant est le bastion de la sophistique: Ainsi la sophistique kantienne propage la délusion que toute chose est déjà prouvée et que toute chose est déjà réglée.”²

Nous connaissons les résultats de l’irrationalisme politique et économique du 20e siècle dans la désintégration de la modernité et ses classes dirigeantes inférieures: “La philosophie de Emmanuel Kant est une très grande philosophie … l’État est la puissance de Dieu dans le monde.”³ Les fondements historiques du monde moderne sont donc complètement disparus dans la montée en puissance du Globalisme et la classe dirigeante supérieure:

“Les admirateurs de Hegel ont l’habitude de se référer à la première édition de l’Encyclopédie des sciences philosophiques en abrégé, comme ayant la plus grande puissance spirituelle de l’auteur … en Amérique, personne ne peut regarder notre histoire contemporaine depuis quelques années, sans observer que le message de nos hommes politiques a changé, et que les phrases ‘progrès,’ ‘développement nécessaire’ et ‘Dieu dans l’histoire,’ se produisent avec une fréquence remarquable.”

Mais l’irrationalisme moderne, afin de valider le pseudo–hégélianisme et l’anti–hégélianisme, réconcilie les Leçons de Hegel avec les grandes œuvres publiées par Hegel lui–même. Ainsi le pseudo–hégélianisme et l’anti–hégélianisme fait la quadrature de Kant et Hegel afin de prouver que la logique et dialectique du système spéculatif de la science philosophique de l’idéalisme absolu de l’hégélianisme authentique, est défective. L’irrationalisme pervertit ainsi donc l’histoire de l’Europe et la philosophie moderne, surtout celle du 20e siècle:

“Si Hegel … avait été amené à parler plus sur les besoins sociaux et moins sur la Connaissance Absolue, la philosophie Occidentale aurait … pu éviter un siècle de gémissements maladifs.”

Je me flatte alors d’être le premier philosophe hégélien à appliquer la dialectique de Hegel à la dialectique hégélienne elle–même: Le pseudo–hégélianisme et l’anti–hégélianisme est alors le masque politique et économique de la Raison d’État de l’Europe moderne. Un inconvénient de Hegel Philologie ne sera jamais remédié: Les Leçons de Hegel tirées des Notes de cours des étudiants (les transcriptions), et les Addendas (Zusätze), elles n’étaient ni écrites, ni publiées, et elles n’étaient surtout pas autorisées, par Hegel lui–même. Dans la détermination exacte de la valeur ultime de l’hégélianisme authentique, les Leçons de Hegel, les Notes de cours des étudiants, et les Addendas ne servent donc pas à grande chose:

“Hegel était à fond un philosophe complètement anti–critique et anti–révolutionnaire … l’enseignement de Hegel avait été pris par la gauche d’une manière unilatérale et abstraite: La grande majorité des gens préfèrent toujours ce dont on peut devenir fanatique, et ce n’est jamais rien que ce qui est abstrait.”

Le grand vasseau de la modernité coule alors, et les irrationalistes sont entrain de se noyer sous nos yeux …

Au 20e siècle, environ de 500 millions d’êtres humains ont été exterminés dans la contagion moderne du satanisme politique et économique, — bien plus que toutes les autres époques de l’histoire mise ensemble: Encore des centaines de millions d’êtres humains de plus ont été complètement ruinés et détruits par la plus grande esclavage jamais connue dès lors dans l’histoire du monde.¹⁰ C’est bien le verdict ultime de l’historiographie exacte et l’histoire universelle.¹¹ D’où vient cette maladie de la déraison moderne?

“Toutes les choses qui existent sont particulières … le raisonnement et la connaissance de tous les hommes ne concernent que les idées existant dans leurs propres esprits.”¹² Selon John Locke le monde n’existe pas, alors que l’Univers est apparence et délusion.¹³ L’irrationalisme de John Locke s’est révélé très dangereux au royaume modern de l’économie politique européenne, surtout au 20e siècle: “Rien dans le monde n’est éternel,” dit Joseph Staline, “toute chose dans le monde est transitoire et mutable: La nature change, les sociétés change, les habitudes et coutumes changent, les conceptions de la justice changent, la vérité elle–même change … nos conceptions (notre ‘soi’) n’existent que dans la mesure qu’existent des conditions extérieures, qui donnent lieu à des impressions dans notre ‘soi.’”¹⁴ La voilà: “La pensée rationnelle, c’est la connaissance profonde de l’inconnaissable.”¹⁵

Leibniz, Hume et Kant ainsi que leurs écoles sont coupables du même sophisme: “Hegel était un maître penseur, d’une part par ses résultats métaphysiques, de l’autre par sa méthode logique: D’une part comme la couronne de la philosophie dogmatique, d’autre part comme fondateur de la dialectique, avec sa doctrine révolutionnaire du développement historique. Ces deux aspects de l’œuvre de Hegel ont révolutionné la pensée … la tendance pratique de sa métaphysique est (et était) de glorifier les institutions existantes, et de voir dans l’Église et l’État l’incarnation objective de l’Idée Absolue. Sa méthode dialectique tendait à ne pas présenter aucune proposition de vérité sans réserve, et tendait à ne pas présenter aucune d’état de choses comme perfection finale … la validité de cette vue, nous n’avons pas besoin d’examiner ici; il suffit de souligner que Hegel, dans sa ‘Philosophie de l’Histoire,’ s’efforçait d’exposer le cours actuel du monde, qui suit la même chaîne nécessaire de développement telle qu’elle existe dans la pensée, et qui fait l’objet même de sa logique … le développement du monde se déroule donc par action et réaction, ou, dans le langage technique de Hegel, par thèse et antithèse, et ceux–ci se concilient dans une unité supérieure, la synthèse des deux … Nous pourrions vivre, peut–être, une autre Révolution française, même plus glorieuse encore que la première, laissant la social–démocratie essayer une des expériences les plus importantes et les plus critiques dans l’histoire politique.”¹⁶

Nous pourrions vivre, peut–être, une autre Révolution française, même plus glorieuse encore que la première: “Pour Hegel, le processus de vie du cerveau humain est le démiurge du monde réel, et le monde réel n’est que la forme externe et phénoménale de ‘l’Idée’ … la dialectique hégélienne comprend dans sa compréhension et reconnaissance affirmative de l’état actuel des choses, en même temps aussi, la reconnaissance de la négation de cet état, de son rupture inévitable; parce que la dialectique hégélienne considère chaque forme sociale historiquement développée comme un mouvement fluide, et prend donc en compte sa nature transitoire non moins que son existence momentanée: La dialectique hégélienne ne laisse rien lui imposer, car son essence est critique et révolutionnaire.”¹⁷

La dialectique rationnelle de Hegel dans son essence même, est critique et révolutionnaire? “La philosophie de Hegel est l’algèbre de la révolution: Elle émancipe l’homme d’une façon extraordinaire, et elle ne laisse pas debout un fondement même du monde chrétien, le royaume des traditions dépassées.”¹⁸ En effet, la créature satanique de l’irrationalisme américain, le monstre bicéphale de chomskyisme et rortyisme, laisse derrière elle un chemin de destruction intellectuel, alors qu’elle traverse le 20e siècle sur ses petites pattes de crocodile: Russell, Wittgenstein et Carnap d’un côté, avec Gödel, Tarski et Popper de l’autre, — tandis que sa sale queue Quinean et Kripkean lui suit par derrière.¹⁹

Ces gentilshommes de l’Europe moderne, et ils n’étaient pas les seuls, ont raisonné sur une partie du monde rationnel, sous la délusion que cette partie est l’ensemble de la rationalité même, donc ils ne se raisonnaient pas sur le monde:

“Quand j’entends le nom ‘Hitler,’ je croire que c’est du genre analytique que l’homme était mauvais. Mais vraiment, probablement pas. Hitler aurait passé tous ses jours tranquillement dans un quartier à Linz … Je dis qu’un désignateur est rigide et qu’il désigne la même chose dans tous les mondes possibles.”²⁰

Les idéologues modernes des classes dirigeantes inférieures se sont devenus alors les victimes de leur propre folie: Ils sont devenus alors la proie des penseurs beaucoup plus puissants. Certes, il est vrai que le royaume de la réalité ultime de la logique et linguistique n’est pas inintelligible et que l’inconnaissable existe: “Le fondment ultime de la logique est le royaume de la vérité sans voile, c’est–à–dire, le monde de la pensée pure et son système de la rationalité.”²¹

Destructeur de la logique et linguistique, et grand corrupteur de l’esprit Américain, dans les lieux sacrés de l’Américanisme, la diabolisme politique et économique du chomskisme et rortyisme est pour toujours alors anathème: “Ils ne passeront jamais,” est inscrit sur la portail de l’antichambre de la Raison d’État Américaine.²²

“Les États–Unis d’Amérique … imposent des régimes intolérables aux pays asiatiques, latino–américains, et aux pays du Moyen–Orient: Washington exploite économiquement (à la demande de Wall Street) la grande majorité de l’humanité, qui vit au niveau inférieur à la subsistance … Washington poursuit alors une politique de génocide.”²³

Certes, il est vrai que le royaume de la réalité ultime de l’économie politique n’est pas inintelligible et que l’inconnaissable existe: “X.”²⁴

L’irrationalisme moderne est alors le moteur de la décadence dans la civilisation Américaine: “Le catholicisme est le plus ancien et le plus grand mouvement totalitaire de l’histoire,” selon Sidney Hook, “tous les autres mouvements totalitaires en ont emprunté … Le christianisme ne peut jamais être appliqué.”²⁵ Tout ce qui est alors mortellement corrompu en Amérique est alors la pourriture de l’irrationalisme moderne:

(…)

RÉFÉRENCES

1. Georges Noël, La logique de Hegel, 2e édition, Paris, 1897, 184. [1895]

Voir: “Il ne peut être question ici de choisir les moyens: Des membres gangrenés ne peuvent être guéris avec de l’eau de lavande.”
Hegel, “Die Verfassung Deutschlands,” (1801–1802) dans Sämtliche Werke: Schriften zur Politik und Rechtsphilosophie, Unter Mitwirkung von Dr. Otto Weiß, Hrsg., Georg Lasson, Band VII, Leipzig, 1913, 113: “Hier kann aber von keiner Wahl der Mittel die Rede [sein], brandige Glieder können nicht mit Lavendelwasser geheilt werden.”

Voir: Hegel, “Die Verfassung Deutschlands,” Georg Wilhelm Friedrich Hegel: Politische Schriften, Nachwort von Jürgen Habermas, Frankfurt am Main, 1966, 23–139.

Voir: Hegel, Hegel’s Political Writings, Thomas Malcolm Knox, translator, Zbigniew Andrzej Pelczynski, editor, Oxford, Clarendon Press, 1964.

2. Arnold Vincent Miller, translator, Hegel’s Science of Logic, New York, 1976, 62: “The Kantian philosophy thus serves as a cushion for intellectual indolence which soothes itself with the conviction that everything is already proved and settled.”

Voir: “Hegel a terminé sa préface de la deuxième édition de sa Grande Logique au 7 novembre 1831. En terminant sa préface, Hegel rappelle la fabulation selon laquelle Platon a révisé la Politique sept fois. Hegel remarque alors que, malgré cet exemple illustre, ‘l’écrivain doit se contenter de ce qu’il a été autorisé à réaliser sous la pression des circonstances, les pertes inévitables causés par l’étendue et la partialité des intérêts de l’époque, et le doute hantant si, au milieu de la forte clameur du jour et du bruit d’opinion assourdissant … il y a lieu de faire preuve de sympathie avec le silence passionnant d’une science de la pensée pure.’ Hegel est mort du choléra sept jours plus tard: Il a été enterré entre Johann Gottlieb Fichte et Karl Wilhelm Ferdinand Solger, comme il l’avait souhaité.”
Robert Maynard Hutchins, editor in chief, “Biographical Note: Georg Wilhelm Friedrich Hegel, 1770–1831,” Great Books of the Western World: Hegel, vol. 46, Thomas Malcolm Knox, translator, Chicago, 1960, v–vi: “On the 7th of November, 1831, Hegel finished the preface to a second edition of his Logic. In closing he recalled the legend that Plato revised the Republic seven times, and remarked that, despite this illustrious example, ‘the writer must content himself with what he has been allowed to achieve under the pressure of circumstances, the unavoidable waste caused by the extent and many–sidedness of the interests of the time, and the haunting doubt whether, amid the loud clamor of the day and the deafening babble of opinion … there is left any room for sympathy with the passionless stillness of a science of pure thought.’ Seven days later he died of cholera, and was buried, as he had wished, between Fichte and Solger.”

3. Eduard Gans, “Zusätze aus Hegels Vorlesungen, zusammengestellt,” Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse: Grundlinien der Philosophie des Rechts, mit den von Eduard Gans redigierten Zusätzen aus Hegels Vorlesungen, Georg Wilhelm Friedrich Hegel, neu hrsg., von Georg Lasson, Herausgegeber, Leipzig, 1911, Zusätze 86 = §135, 318–Zusätze 152 = §258, 349: “Den Standpunkt der Kantischen Philosophie hervorhoben … Es ist der Gang Gottes in der Welt, daß der Staat ist.”

Voir: Eduard Gans, “Additions to The Philosophy of Right,Great Books of the Western World: Hegel, vol. 46, Thomas Malcolm Knox, translator & Robert Maynard Hutchins, editor in chief, Chicago, 1960, Addition 86 = §135,129–Addition 152 = §258, 141: “The outlook of Kant’s philosophy is a high one … the march of God in the world, that is what the state is.”

Voir: “Hegel écrit comme s’il était divisé de Kant par un grand mur … L’Absolu de Hegel qua Absolu est connaissable, mais pas comme un objet de perception (l’Absolu per se est toujours une abstraction, comme l’Absolu de Kant).”
Richard Burdon, Viscount Haldane, “Hegel,” The Contemporary Review, 67(February, 1895): 237–242: “Hegel writes as though he were divided from Kant by a mighty gulf …The Absolute as Absolute stands revealed, but not as an object perceived.”

Voir: “Si on nous demande pourquoi, depuis 1850, en tout cas, les écrits de Hegel ont été négligés, la réponse n’est pas difficile à trouver. Ce n’est que par la multitude qu’ils ont été mis de côté. La principe de l’hégélianisme a pénétré dans ce pays dans l’attitude et les méthodes de certains grands penseurs qui ont été parmi nous, les philosophes comme Thomas Hill Green (1836–1882), Edward Caird (1835–1908), Francis Herbert Bradley (1846–1924) et Bernard Bosanquet (1848–1923). Ils n’étaient même pas des hégéliens authentiques, — il est vrai. Il n’était pas probable qu’un système qui a été confié au monde d’un siècle auparavant devrait servir suffisamment aujourd’hui. Mais l’idée générale de la philosophie de Hegel a profondément bouleversée les penseurs anglais auxquels j’ai fait référence, — et je pourrais ajouter des exemples du même genre en provenance des États–Unis et d’autres pays, ainsi qu’en Allemagne … Nous ne devons pas être choqués par le sentiment que notre monde n’est plus intéressé par la doctrine de l’Absolu qui a bouleversée la pensée européenne au début du siècle dernier.”
Richard Burdon, Viscount Haldane, “Introductory Preface,” Hegel’s Science of Logic, vol. 1, London, 1929, 7–9: “If it is asked why then, since 1850 at any rate, his [Hegel’s] writings have been a good deal neglected, the answer is not difficult to give. It is only by the multitude that they have been laid aside. The principle has penetrated in this country into the attitude and methods of some of the later thinkers who have been amongst us, men like Green, Caird, Bradley and Bosanquet. These have indeed hardly been Hegelians. It was not probable that a system which was given to the world a century since should serve the world sufficiently today. But its broad principle has profoundly moved the English thinkers to whom I have referred, and I might add instances of the same kind from the United States and from other countries, as well as from Germany … We need not be deterred by the feeling that we are no longer interested in the doctrine of the Absolute which engrossed attention in the early part of the last century.”

Voir: “Jusqu’à tout récemment, la notion selon laquelle les Français sont un peuple raisonnable, avec un gouvernement fort et une histoire digne d’émulation, aurait été une doctrine plutôt radicale. Selon l’opinion publique, les Français sont une race nettement inférieure: On dit que la France est en train de tomber en panne. On dit que les Français sont efféminés, insignifiants, excitables, déraisonnables, irréligieux, immorales (quand ils ne sont pas simplement contre l’éthique): La France possède une culture médiocre, avec un gouvernement faible et instable, avec un taux de natalité décroissant. Ces opinions sont confirmées par de nombreux observateurs … Les nations sont comme des individus et leur réputation est pour la plus grande partie, entre les mains de leurs ennemis ou rivaux … Un regard sur les travaux de l’Assemblé nationale depuis 1879 démontre que la France aujourd’hui, aussi bien que l’Angleterre, est un pays où ‘la liberté s’élargit lentement,’ au moins dans le domaine de la loi, sinon dans le domaine des précédents. Bien sûr, la liberté est plus grande que les actes législatifs, et elle est aussi plus grande que les décisions des juges. Les réformes des abus que l’État peut prévenir sont les étapes définitives dans le progrès de la liberté que l’historien peut enregistrer comme l’avancement de l’intérêt national. Alors, l’évolution de l’Assemblé nationale sous la Troisième République est très semblable au mouvement progressif, complexe et souvent caché, qui se manifeste dans les tribunaux de l’Angleterre, dans le gouvernement local, et même dans l’évolution parlementaire anglaise.”
James Thomson Shotwell, “The Political Capacity of the French,” Political Science Quarterly, 24(1 March 1909): 115–120: “Until very recently it would have been a somewhat sensational thing for one to say of the French that they were a reasonable people, with a settled government and a history worthy of emulation. There is a widespread impression that the French are a distinctly inferior race. The nation is said to be in decline. The people are said to be effeminate, trivial, excitable, unreasoning, irreligious, immoral when not unmoral, with an impure literature and art, an unstable and tottering government and a diminishing birth–rate. These charges are confirmed by many observers … Nations, like individuals, have reputations, and they are for the most part in the keeping of their enemies or rivals … A glance at the product of the French Parliament since 1879 shows that France today, as well as England, is a land where ‘freedom slowly broadens down,’ if not from precedent to precedent, at least from statute to statute. To be sure freedom is a larger thing than acts of legislatures, but it is also larger than decisions of judges. Reforms of abuses which the state can prevent constitute merely those definite stages in the advance of freedom which the historian can register as indices of the nation’s purpose. Yet here the work of the Parliament of the Third Republic will bear comparison with that complex and often hidden line of progress to be traced in England through law courts, local government and Parliament.”

Voir enfin: “Il y a dans la philosophie de Kant des germes si fécunds, des vues si larges et si riches, et une intuition si profonde de la science, qu’elle était destinée à susciter un grand et nouveau mouvement.”
Augusto Véra, Introduction à la philosophie de Hegel, Paris, 1855, 50.

4. Anonyme, “Karl Rosenkranz: The Life of Hegel,” The Biblical Repertory and Princeton Review, 20.4(October, 1848): 575–586: “Admirers of Hegel are accustomed to refer to the first edition [Encyclopaedia of the Philosophical Sciences in Outline], as having most of the author’s freshness and power … in America, no one can look back a few years, without observing that the whole tone of our public men has changed, and that the phrases, ‘progress,’ ‘necessary development,’ and ‘God in history,’ occur with marked frequency.”

Voir: “Hegel’s Philosophy of Right has not received the general attention and approbation which its intrinsic merits and the praises bestowed on it by a few eminent critics might have led us to expect. It is not, indeed, probable that it should be a popular work, but it might be a work known and appreciated wherever moral philosophy and jurisprudence are studied. We believe that no attempt has been made to familiarise the English public with its contents; and even in the country of its birth it has found as many to attack as to admire it. It forms a part of Hegel’s philosophy; and Hegel’s philosophy, like many other philosophies, has risen on the vast surface of German thought … And not only has the Philosophy of Right shared a common fate with the other productions of its author, but it has encountered criticism and disapproval on grounds peculiar to itself. It has been considered to offend against that idea of liberty to which so much high–minded though fruitless devotion is paid in Germany. And it must be confessed that if we are to believe that a book, honestly written by a man who strives to be true, and avoids anything like conscious exaggeration, can in the long run prove dangerous to liberty, and if a very little misapprehension and misapplication were employed to distort its contents, this work might be considered to favour existing institutions, of whatever kind, and maintained at whatever cost. Superficially speaking, it is rather hard to separate the principle on which it is based from the doctrine that ‘whatever is, is right.’ An approach, apparent rather than real, is made towards optimism; and the end of optimism is undoubtedly tyranny … Every one must allow that there is a great amount of most valuable truth in Hegel’s theory of history as the expression of reason, and that a philosophy which, treating of man, dissevers thought from experience, is not so much dangerous as a sheer waste of time. But when we ask how far can the principle of thus reading history carry us with safety; how are we to test its application; how are we to know that what we select as a step in the march of reason is a real step; that what we reject as lying without the path of reason ought really to be rejected; it must be confessed that Hegel does not give us a satisfactory answer. We are often obliged, in inquiring why he says what we find him saying, to be content with the reply, that so it is written. The wise man has said it, and the onus of disproof is on the reader. At the worst, we have the reflections of a mind comprehensive, observant, and acute; and the dogmatism of such a mind is often, perhaps, vexatious, but can never be valueless … the form in which this book presents itself has given it an air of dogmatism beyond what can properly be laid to the charge of its author. The Philosophy of Right contains the substance of lectures delivered by Hegel as professor. After its publication it served as a compendium on which Hegel lectured in succeeding years. And he thus made many oral additions, notes of which were taken by his pupils, and these notes were, after his death, thrown into the shape of paragraphs, annexed to the sections of the original work. The work, therefore, as we now have it, contains both the paragraphs written by the author, and also those embodying, as nearly as possible in the author’s words, what he said by way of illustration or explanation. This has given it a fragmentary and incomplete character, which is detrimental to its effect and has made many portions wear an appearance of inconclusiveness and precipitate assumption.”
Thomas Collett Sandars, “Hegel’s Philosophy of Right,Oxford Essays, Contributed by Members of the University, London, 1855, 213–213–215–216.

5. Voir: “La série Meiner Verlag de Hegel Vorlesungen, commençant en 1983, comprend de nouvelles volumes qui remédient les défauts dans les Leçons de Hegel du Berlin Werke de Hegel (et les differents sujets qui se trouvent seulement dans ces Leçons). Ainsi la série Meiner Verlag de nouvelles volumes de Hegel Vorlesungen distingue la série de Leçons de Hegel sur les mêmes sujets en différentes années, de sorte qu’il existe maintenant une représentation plus fidèle de ce que Hegel lui–même a réellement dit dans une série donnée, et comment sa pensée, quoique non finalisée, s’était développée ou changée avec le temps … on peut voir dans certains transcriptions des Leçons ce que Hegel a effectivement dit dans une série donnée.”
Robert F. Brown, editor and translator, “Editorial Introduction: 1. Background Issues,” Lectures on the Philosophy of Art: The Hotho Transcript of the 1823 Berlin Lectures (Together with an Introduction by Annemarie Gethmann–Siefert), Oxford, 2014, 1: “The Meiner Verlag series of Hegel Vorlesungen, commencing in 1983, includes volumes that remedy drawbacks of the Werke volumes on these lectures–only topics; they distinguish the lecture series on the same topics in different years, so that there is now a more faithful representation available of what Hegel himself actually said in a given series, and how his thought, albeit not finalized, had developed or changed over time … one can see from them [certain Lecture Transcripts] what Hegel actually said in a given series.”

Voir: “En effet, il peut être déconcertant que seulement aujourd’hui nous doutons (et tout le monde n’est pas d’accord) que les Leçons de Hegel … sont effectivement reproduites authentiquement dans l’édition publiée … pendant plus de cent cinquante ans cette omission a passée sous silence, mais aujourd’hui on parle davantage. On ne peut guère examiner ici toutes les raisons derrière cette circonstance.”
Annemarie Gethmann–Siefert, “Introduction: The Shape and Influence of Hegel’s Aesthetics,Lectures on the Philosophy of Art: The Hotho Transcript of the 1823 Berlin Lectures, Robert F. Brown, editor and translator, Oxford, 2014, 32–36–36–36: “It may indeed be disconcerting that only today do we doubt — and not everyone does — that Hegel’s lectures … are actually reproduced authentically in the published edition … that did not become full–blown for more than a hundred and fifty years. We can hardly examine here all the reasons for this circumstance.”

Voir enfin: “Les éditions et œuvres de Hegel sur la politique et l’histoire ne font que compléter une partie de son système (la partie dans laquelle l’esprit humain s’objectifié dans son effort pour trouver un objet identique à lui–même) et elles sont inintelligibles dans l’isolement: Alors, elles méritent un traitement distinct parce qu’elles sont devenues si célèbres, sinon infâmes.”
Thomas Malcolm Knox, “Georg Wilhelm Friedrich Hegel,” Encyclopedia Britannica, 14th edition, vol. 11, Chicago, 1967, 302: “Hegel’s works on politics and history merely elaborate part of his system — that part in which human mind objectifies itself in its endeavor to find an object identical with itself — and are unintelligible in isolation, they deserve separate treatment because they have become so famous, if not notorious.”

6. Voir: “Avec l’autorité d’un maître–penseur, Hegel a enseigné les mêmes doctrines dans ses Leçons sur la philosophie de l’histoire … dans ses conférences, Hegel a fait le diagnostique des déséquilibres psychiques, par l’agrandissement de l’Esprit, qui ont poussées les Aborigènes à l’extinction.”
Noam Chomsky, Hegel: Lecture Transcript, YouTube, 2015–2016: “The great thinker [Hegel] who discoursed authoritatively on the same topics in his Lectures on Philosophy of History … Hegel lectured on the psychic disorders that caused the natives to expire as spirit approached.”

Voir: “En général, les notes des étudiants écrits pendant ou après les classes de Hegel devraient être utilisés avec prudence … selon le témoignage de Leopold von Henning (pp. vi–vii), écrit dans le préface de son édition (1839) de l’Encyclopädie de 1830, les éditeurs et rédacteurs de l’Encyclopédie ont parfois changé ou complété, c’est–a–dire modifié, les phrases dans lesquelles les étudiants avaient rendus les classes de Hegel.”
Adriaan Theodoor Basilius Peperzak, Modern Freedom: Hegel’s Legal, Moral, and Political Philosophy, Dordrecht, 2001, 27–29: “In general, the student notes written during or after Hegel’s classes should be used with caution … according to Leopold von Henning’s preface (pp. vi–vii) in his edition (1839) of the Encyclopädie of 1830, the editors of the Encyclopedia sometimes changed or completed the sentences in which the students had rendered Hegel’s classes.”

7. Richard Rorty, Philosophy and Social Hope, London, 1999, 71: “If Hegel … had been led to talk more about social needs and less about Absolute Knowledge, Western philosophy might … have saved itself a century of nervous shuffles.”

8. Voir: “Peu à peu, Kant et Hegel ont conquis les universités de la France et de l’Angleterre … le système de Hegel n’aurait jamais pu surgir si celui de Kant n’avait pas existé.”
Bertrand Russell, History of Western Philosophy and its Connection with Political and Social Circumstances from the Earliest Times to the Present Day, London, 1947, 748–757: “Gradually, Kant and Hegel conquered the universities of France and England … [Hegel’s] system could never have arisen if Kant’s had not existed.”

9. Johann Eduard Erdmann, A History of Philosophy: German Philosophy Since Hegel, 4th German edition, vol. 3, London, 1899, 66–81: “[Hegel] was a thoroughly anti–critical, anti–revolutionary philosopher … Hegel’s teaching had been taken up by the Left in a one–sided and abstract way; and the great majority of people always prefer what one can become fanatical about, and this is never anything but what is abstract.”

Voir: “L’Absolu de Hegel est devenu une pierre d’achoppement à Ludwig Andreas Feuerbach et aux autres membres de la ‘gauche’ hégélienne. Ils ont rejeté comme interpolation illégitime le sujet éternel du développement et, au lieu d’un Dieu continu comme sujet de tout les prédicats par lesquels dans la logique l’absolu est défini, ne prennent qu’une série d’idées, produits de l’activité philosophique. Ils nient la valeur théologique des formes logiques — le développement de ces formes étant à leur avis dû au penseur humain, et non à un absolu révélateur de soi. Ainsi ils ont fait de l’homme le créateur de l’absolu. Mais avec cette modification sur le système, une autre consequence nécessairement suit: Une simple série logique ne saurait créer la nature. C’est ainsi que l’univers matériel devint le véritable point de départ. La pensée n’est devenue que le résultat de conditions organiques ,— c’est–a–dire, subjectives et humaines.”
William Wallace (1844–1897), “Georg Wilhelm Friedrich Hegel,” Encyclopædia Britannica, 11th edition, vol. 13, New York, 1911, 205: “The absolute became a stumbling–block to Ludwig Andreas Feuerbach [1804–1872] and other members of the ‘Left.’ They rejected as an illegitimate interpolation the eternal subject of development, and, instead of one continuing God as the subject of all the predicates by which in the logic the absolute is defined, assumed only a series of ideas, products of philosophic activity. They denied the theological value of the logical forms ― the development of these forms being in their opinion due to the human thinker, not to a self–revealing absolute. Thus they made man the creator of the absolute. But with this modification on the system another necessarily followed; a mere logical series could not create nature. And thus the material universe became the real starting–point. Thought became only the result of organic conditions — subjective and human.”

Voir: “Ces hégéliens théistes qui maintiennent la personnalité de Dieu dans un monde au–delà de notre sphère, doivent, par souci de cohérence, nier que Dieu est rationnel. Mais comment peuvent–ils alors rester dans l’école hégélienne?”
Carl Ludwig Michelet dans Anonyme, “Johann Karl Friedrich Rosenkranz: The Life of Hegel,” The Biblical Repertory and Princeton Review, 20.4(October, 1848): 585: “[Those] theistic Hegelians who maintain the personality of God in a world beyond our sphere, must, for consistency’s sake, deny that God is cognizable. But how then can they remain in the (Hegelian) school?”

Voir enfin: “Carl Ludwig Michelet prouve très clairement le straussianisme de Hegel, par des citations tirées des Notes de cours des ses étudiants.”
Anonyme, Ibidem, 585: “Michelet very clearly proves the Straussianism of Hegel, by citations from his lectures.”

10. Voir: “Nous autres irrationalistes [américains], nous ne sommes pas des fous furieux, on n’est pas des barbares … nous autres Américains, nous avons été plus cohérents que les Européens.”
Richard Rorty, Philosophy and Social Hope, London, 1999, xix–xx: “We [American] irrationalists do not foam at the mouth and behave like animals … we Americans have been more consistent than the Europeans.”

11. Voir: “L’heure viendra, quand vous allez entendre un tonnerre d’écrasement comme n’a jamais été entendu auparavant dans l’histoire du monde: Sauriez–vous enfin que le coup de foudre allemand est tombé. À cette commotion, les aigles tomberent morts des cieux et les lions dans les déserts les plus éloignés d’Afrique vont mordre leurs queues et vont se glisser dans leurs repaires royales. On jouera en Allemagne un drame par rapport auquel la Révolution française ne semblera qu’une idylle innocente. À l’heure actuelle, c’est vrai, tout est assez calme; et bien que aujourd’hui quelques hommes créent un peu de remue–méninges, n’imaginons pas que ce sont les acteurs réels de la pièce. Ce ne sont que de petites pénombres qui se poursuivent autour de l’arène vide, aboyent et se cassent l’un contre l’autre, jusqu’à l’heure sonne, quand la troupe de gladiateurs va se battre pour la vie et la mort. Et l’heure viendra. Comme sur les marches d’un amphithéâtre vide, les nations vont s’encercler l’Allemagne pour assister au terrible combat.”
Heinrich Heine, Religion and Philosophy in Germany: A Fragment, Boston, 1959, xiv. [1834] “Come it will, and when ye hear a crashing such as never before has been heard in the world’s history, then know that at last the German thunderbolt has fallen. At this commotion the eagles will drop dead from the skies and the lions in the farthest wastes of Africa will bite their tails and creep into their royal lairs. There will be played in Germany a drama compared to which the French Revolution will seem but an innocent idyll. At present, it is true, everything is tolerably quiet; and though here and there some few men create a little stir, do not imagine these are to be the real actors in the piece. They are only little curs chasing one another round the empty arena, barking and snapping at one another, till the appointed hour when the troop of gladiators appear to fight for life and death. And the hour will come. As on the steps of an empty amphitheater, the nations will group themselves around Germany to witness the terrible combat.”

12. John Locke, An Essay Concerning Human Understanding, New Edition, 2 vols., New York, 1824, 381/I–203/II. [1690] “All things that exist being particulars … every man’s reasoning and knowledge is only about the ideas existing in his own mind.”

Voir: “Aucune absurdité logique ne résulte de l’hypothèse selon laquelle le monde est constitué de moi–même et mes pensées, sentiments et sensations, et que tout le reste est délusion … La philosophie doit être étudiée, non pour des réponses exactes à ses questions, car les réponses exactes ne peuvent, selon une règle générale, être considérées comme vraies.”
Bertrand Russell, The Problems of Philosophy, London, 1912, 34–249: “No logical absurdity results from the hypothesis that the world consists of myself and my thoughts and feelings and sensations, and that everything else is mere fancy … Philosophy is to be studied, not for the sake of any definite answers to its questions, since no definite answers can, as a rule, be known to be true.”

Voir: “La philosophie de Emmanuel Kant restera pour toujours parmi les plus grands systèmes philosophiques de l’histoire de la philosophie occidentale.”
John Stuart Mill, Utilitarianism, 1861: “[Kant’s] system of thought will long remain one of the landmarks in the history of philosophical speculation.”

13. Voir Cartesius: “Ego cogito, ergo sum, sive existo … ea enim est natura nostrae mentis, ut generales propostiones ex particularium cognitione efformet.”
Cartesius, “Secundæ Responsiones,” Œuvres de Descartes: Meditationes de Prima Philosophia, vol. 7, Charles Adam & Paul Tannery, éditeurs, Paris, Léopold Cerf, 1904, 140–141.

14. Joseph Stalin, “Anarchism or Socialism?” Works: 1901–1907, vol. 1, Moscow, 1954, 307–321: “Nothing in the world is eternal, everything in the world is transient and mutable; nature changes, society changes, habits and customs change, conceptions of justice change, truth itself changes … our conceptions, our ‘self,’ exist only in so far as external conditions exist that give rise to impressions in our ‘self.’”

15. Adolf Hitler, Mein Kampf, 851–855 auflage, München, 1943, 328: “Reinster Idealismus deckt sich unbewußt mit tiefster Erkenntnis.”

Voir: “It was precisely the Hegelian method and dialectic that Marx employed … Hegel’s dialectical philosophy of history, if properly employed, provides a powerful means to free the concrete here and now, the hic et nunc, from the sphere of irrational institutions or emotionally guided impressionism, and install man as the master over the irrationality of a fate ordained by God, nature, or providence.”
Carl Schmitt, “Hegel and Marx (German radio broadcast of 13 November 1931),” Historical Materialism, 22.3–4(December, 2014): 389–391.

Voir: “Dans nôtre histoire de l’idée de la raison d’état en Europe, Machiavel, Frédéric le Grand et Hegel sont les plus grands figures … on voit bien dans la philosophie de Kant que les idées allemandes sur le sujet de l’État qui perdurent vraiment, ont restées profondement non–Machiavelliques.”
Friedrich Meinecke, Machiavellism: The Doctrine of Raison d’État and Its Place in Modern History, New Haven, 1962, 366–393–393: “In our history of the idea of raison d’état, Machiavelli, Frederick the Great and Hegel stand out as the three most prominent figures … on glancing at Kant … one sees that the really permanent German ideas on the subject of the State had remained thoroughly un–Machiavellian.”

16. Conférence au London School of Economics and Political Science dans Bertrand Russell, German Social Democracy: Six Lectures, With an Appendix on Social Democracy and the Woman Question in Germany by Alys Russell, London and New York, 1896, 2–163: “[Hegel] was great, on the one hand by his metaphysical results, on the other by his logical method; on the one hand as the crown of dogmatic philosophy, on the other as the founder of the dialectic, with its then revolutionary doctrine of historical development. Both these aspects of Hegel’s work revolutionized thought … the practical tendency of his metaphysics was, and is, to glorify existing institutions, to see in Church and State the objective embodiment of the Absolute Idea, his dialectic method tended to exhibit no proposition as unqualified truth, no state of things as final perfection … The validity of this view we need not here examine; it is sufficient to point out that Hegel, in his ‘Philosophy of History,’ endeavored to exhibit the actual course of the world as following the same necessary chain of development which, as it exists in thought, forms the subject of his logic … the development of the world therefore proceeds by action and reaction, or, in technical language, by thesis and antithesis, and these become reconciled in a higher unity, the synthesis of both … we might live to see another French Revolution, perhaps even more glorious than the first, leaving Social Democracy to try one of the greatest and most crucial experiments in political history.”

Voir: “La voilà la doctrine que Karl Marx emprunte de Hegel: Que le développement du monde soit parallèle au développement de la pensée, et que les deux procédent par la méthode dialectique … Marx est à la fois logiquement un rationaliste dialectique et métaphysiquement un matérialiste dogmatique. Ces deux qualités représentent ensemble les principales caractéristiques de cette ‘théorie matérialiste de l’histoire’ qui constitue la base de la politique social–démocrate.”
Bertrand Russell, German Social Democracy: Six Lectures, With an Appendix on Social Democracy and the Woman Question in Germany by Alys Russell, London and New York, 1896, 4–5: “This, then, Marx accepted from Hegel: That the development of the world runs parallel with the development of thought, and that both proceed by the dialectic method … Marx is at once logically a dialectical rationalist and metaphysically a dogmatic materialist. These two qualities together account for the main characteristics of that ‘materialistic theory of history’ which forms the basis of Social Democratic politics.”

Voir: “L’identification du réel et du rationnel conduit inévitablement à une certaine complaisance inséparable de la conviction que ‘tout ce qui est, c’est juste’ … toutes ces citations proviennent de l’introduction au Leçons sur la philosophie de l’histoire de Hegel … la liberté selon Hegel est une très rare espèce: Cela ne signifie pas que vous serez en mesure de rester hors d’un camp de concentration. Cela n’implique pas un gouvernement démocratique non plus, ni une presse libre, ni aucune des conceptions libérales habituelles, que Hegel rejette avec mépris … Je doute que, selon Hegel, un homme puisse être un ‘héro’ sans être un grand chef militaire. L’accent mis par Hegel sur les nations, ainsi que sa conception particulière de ‘liberté,’ explique sa glorification de l’État, — un aspect très important de sa philosophie politique, à laquelle il faut maintenant attirer notre attention. La philosophie de l’État de Hegel est élaborée dans sa philosophie de l’histoire et dans sa philosophie du droit … La doctrine de l’État de Hegel — [est] une philosophie qui, si elle est enseignée, justifie toute tyrannie interne et toute agression extérieure qu’on peut imaginer. La preuve de son partialité pour la tyrannie et l’agression apparaît dans le fait que la doctrine de l’État de Hegel est en grande partie incompatible avec sa propre métaphysique, et que les incohérences sont alors les tendances à la justification de la cruauté et du brigandage international. Un homme peut être pardonné si sa logique l’oblige avec regret à suivre des conclusions qu’il déplore: Mais un homme ne peut être pardonné s’il abandonne la logique, pour pouvoir enseigner la criminalité … Hegel pensait que, si on savait assez de quelque chose pour la distinguer de toutes autres choses, toutes ses propriétés pourraient être déduites alors par la logique. C’était une erreur, et de cette erreur surgit tout l’imposant édifice de son système.”
Bertrand Russell, History of Western Philosophy and its Connection with Political and Social Circumstances from the Earliest Times to the Present Day, London, 1947, 758–763–764–766–768–772: “The identification of the real and the rational leads unavoidably to some of the complacency inseparable from the belief that ‘whatever is, is right’… All these quotations are from the introduction to The Philosophy of History … [Hegel’s] is a very superfine brand of freedom. It does not mean that you will be able to keep out of a concentration camp. It does not imply democracy, or a free press, or any of the usual Liberal watchwords, which Hegel rejects with contempt … I doubt whether, in Hegel’s opinion, a man could be a ‘hero’ without being a military conqueror. Hegel’s emphasis on nations, together with his peculiar conception of ‘freedom,’ explains his glorification of the State — a very important aspect of his political philosophy, to which we must now turn our attention. His philosophy of the State is developed both in his Philosophy of History and in his Philosophy of Law … Hegel’s doctrine of the State — [is] a doctrine which, if accepted, justifies every internal tyranny and every external aggression that can possibly be imagined. The strength of his bias appears in the fact that his theory is largely inconsistent with his own metaphysic, and that the inconsistencies are all such as tend to the justification of cruelty and international brigandage. A man may be pardoned if logic compels him regretfully to reach conclusions which he deplores, but not for departing from logic in order to be free to advocate crimes … Hegel thought that, if enough was known about a thing to distinguish it from all other things, then all its properties could be inferred by logic. This was a mistake, and from this mistake arose the whole imposing edifice of his system.”

Voir: “L’État ainsi décrit dans La Philosophie du Droit est différent de tout état existant à l’époque de Hegel: L’État de Hegel est une forme de monarchie limitée, avec un gouvernement parlementaire, avec le jugement par jury et tolérance pour les juifs et les dissidents. À tous ces égards, l’État de Hegel est différent de la Prusse contemporaine. Il a souvent été dit par les détracteurs de Hegel que son livre La Philosophie du Droit a été écrit sur le ‘fumier de servilité’ et que son état idéal est identifié avec la monarchie de Friedrich Wilhelm III. Peu d’étude de Hegel et peu de connaissances historiques sont nécessaires pour voir que cela est absurde.”
Thomas Malcolm Knox, “Georg Wilhelm Friedrich Hegel,” Encyclopedia Britannica, 14th edition, vol. 11, Chicago, 1967, 303: “[In The Philosophy of Right] the state so described is unlike any existing state in Hegel’s day. It is a form of limited monarchy, with parliamentary government, trial by jury and toleration for Jews and dissenters. In all these respects it differed from the contemporary Prussia. It has often been said by Hegel’s detractors that his book was written on the ‘dunghill of servility’ and that his ideal state is identified with the monarchy of Friedrich William III. Little historical knowledge and little study of Hegel is required to see that this is nonsense.”

17. Karl Marx dans Bertrand Russell, German Social Democracy: Six Lectures, With an Appendix on Social Democracy and the Woman Question in Germany by Alys Russell, London and New York, 1896, 4–5: “To Hegel, the life process of the human brain is the demiurgos of the real world, and the real world is only the external, phenomenal form of ‘the Idea’ … it [the Hegelian Dialectic] includes in its comprehension and affirmative recognition of the existing state of things, at the same time also, the recognition of the negation of that state, of its inevitable breaking up; because it [the Hegelian Dialectic] regards every historically–developed social form as in fluid movement, and therefore takes into account its transient nature not less than its momentary existence; because it [the Hegelian Dialectic] lets nothing impose upon it, and is in its essence critical and revolutionary.”

Voir: “Dans sa forme mystifiée, la dialectique hégélienne est devenue la mode en Allemagne … dans sa forme rationnelle, la dialectique hégélienne est un scandale et une abomination pour la bourgeoisie.”
Karl Marx dans Bertrand Russell, German Social Democracy: Six Lectures, With an Appendix on Social Democracy and the Woman Question in Germany by Alys Russell, 5: “In its mystified form, [the Hegelian] dialectic became the fashion in Germany … in its rational form it [the Hegelian Dialectic] is a scandal and an abomination to bourgeoisdom.”

Voir: “Feuerbach dit que son enseignement actuel, loin d’être un déploiement de théories hégéliennes, s’est opposé au contraire à ces théories: Si quelqu’un doit être appelé son précurseur, que ce soit Schleiermacher … il a ensuite déclaré que la soi–disant Faction de Droite de l’école hégélienne était celle qui était en parfaite harmonie avec le maître.”
Johann Eduard Erdmann, A History of Philosophy: German Philosophy Since Hegel, 4th German edition, vol. 3, London, 1899, 79: “[Feuerbach] says that his present teaching, so far from being an unfolding of Hegelian theories, on the contrary originated in opposition to these theories. If any one is to be called his forerunner, let it be Schleiermacher … he afterwards said that the so–called Right Wing of the Hegelian school was the one which was in complete harmony with the master.”

18. Alexander Herzen, Selected Philosophical Works, Moscow, 1956, 521: “The philosophy of Hegel is the algebra of revolution, it emancipates man to an extraordinary degree and leaves not a stone standing of the Christian world, of the world of outlived tradition.”

Voir: “Une Idée Absolue est une invention théologique de l’idéaliste Hegel … avec Hegel l’idée humaine ordinaire devint divine, car dans la philosophie hégélienne elle était séparée de l’homme et du cerveau de l’homme … ‘l’Idée Absolue’ de Hegel rassemblait ensemble toutes les contradictions de l’idéalisme kantien.”
Vladimir Lenin, Collected Works: Materialism and Empirio–Criticism, 1908, vol. 14, Moscow, 1977, 227–232. [1962] “An Absolute Idea, is a theological invention of the idealist Hegel … the ordinary human idea became divine with Hegel when it was divorced from man and man’s brain … Hegel’s ‘Absolute Idea’ gathered together all the contradictions of Kantian idealism.”

19. Voir: “Immanuel Kant était comme une rupture dans l’histoire de la philosophie Occidentale parce qu’il était un reductio ad absurdum de la tentative de distinguer entre le rôle du sujet et le rôle de l’objet dans l’évolution de la pensée … Hegel lui–même a utilisé les termes ‘subjectif’ et ‘objectif’ … [Hegel] a utilisé la phrase ‘l’union de sujet et d’objet’ pour décrire la fin de l’histoire: C’était une erreur.”
Richard Rorty, Philosophy and Social Hope, London, 1999, 49: “Kant was a turning point in the history of Western philosophy because he was a reductio ad absurdum of the attempt to distinguish between the role of the subject and the role of the object in constituting knowledge … Hegel himself used the terms ‘subjective’ and ‘objective’ … and used the term ‘union of subject and object’ to describe the end of history. This was a mistake.”

20. Saul Kripke, “Naming and Necessity,” Semantics of Natural Language, Donald Davidson & Gilbert Harman, editors, Dordrecht, 1972, 288–289: “When I hear the name ‘Hitler,’ I do feel it’s sort of analytic that the man was evil. But really, probably not. Hitler might have spent all his days in quiet in Linz … I say that a designator is rigid, and designates the same thing in all possible worlds.”

Voir: “Adolf Hitler était l’un des hommes les plus sataniques de l’histoire du monde.”
William Alexander Jenks, “Adolf Hitler,” The World Book Encyclopedia, vol. 9, Chicago, 1971, 236: “[Adolf Hitler] was one of the most evil men in world history.”

Voir: William Alexander Jenks, Vienna and the Young Hitler, New York, 1960.

Voir enfin: “Certainement, il n’y avait aucun déterminisme logique derrière Aristote ou Hitler, ce qui rendait inévitable qu’ils auraient dû posséder les qualités que nous considérons comme importantes pour eux–mêmes.”
Saul Kripke, “Naming and Necessity,” Ibidem, 289: “Surely there was no logical fate [reason] hanging over either Aristotle or Hitler which made it in any sense inevitable [provable] that they should have possessed the properties we regard as important to them.”

21. Hegel, “Einleitung,” Wissenschaft der Logik: Die objective Logik, erster Band, Nürnberg, 1812, xiii.

22. Voir: “Nous ne pouvons pas suivre ces assassins: Washington et l’administration Kennedy sont une abomination. Ce sont les êtres les plus sataniques qui ont jamais vécu dans l’histoire du monde, et notre devoir est de les résister par tous les moyens.”
Bertrand Russell (1 April 1961) dans Harvey Arthur DeWeerd, Lord Russell’s War Crimes Tribunal, Santa Monica, 1967, 3: “We cannot obey these murderers [Washington and the Kennedy Administration]. They are abominable. They are the wickedest people who ever lived in the history of man and it is our duty to do what we can against them.”

23. Bertrand Russell (1963) dans Harvey Arthur DeWeerd, Lord Russell’s War Crimes Tribunal, Santa Monica, 1967, 4: “The United States … imposes intolerable regimes on Asian, Latin American, and Middle East countries, and economically exploits the great majority of mankind who live at below–subsistence level to support American profit … The American government pursues a policy of genocide.”

24. Hegel, “The Philosophy of Right,Great Books of the Western World, vol. 46, Thomas Malcolm Knox, translator & Robert Maynard Hutchins, editor in chief, Chicago, 1960, §352, 112.

25. Sidney Hook, Reason, Social Myths, and Democracy, New York, 1940, 76–105: “Catholicism is the oldest and greatest totalitarian movement in history, other totalitarian movements have borrowed from it … [Christianity] can never be applied.”

Voir: “The social principles of Christianity in so far as they are specifically Christian and construed in terms of the institutional behaviour of churches can never be adequate to profound social change.” Sidney Hook, “Is Marxism Compatible with Christianity?” Christianity and Marxism: A Symposium, S.L. Solon, editor, New York, 1934, 31.

Voir: Sidney Hook, “Marxism, Metaphysics, and Modern Science,” The Modern Quarterly: A Journal of Radical Opinion, 4.4(May–August, 1928): 388–394.

Voir enfin: Bertrand Russell, Why I Am Not a Christian: And Other Essays on Religion and Related Subjects, London, 1957.

26. Noam Chomsky, “Interview Transcript,” from YouTube, 2015–2016: “If they do it it’s terrorism, if we do it it’s counter–terrorism. That’s an historical universal: Go back to Nazi propaganda the most extreme mass murders ever. If you look at Nazi propaganda, it’s exactly what they said: They said they are defending the populations and the legitimate governments of Europe like Vichy from the terrorist partisans who are directed from London, that’s the basic propaganda line … We did it therefore it’s a just cause: You can read that in the Nazi archives too.”

27. Sidney Hook, Reason, Social Myths, and Democracy, 296: “It is not mere chance that the greatest philosopher of experimental empiricism — John Dewey — is also the greatest philosopher of democracy.”

28. John Dewey, “Kant and Philosophic Method,” Journal of Speculative Philosophy, 18(1 April 1884): 171–172: “Logic, in the Hegelian use, is just that criterion of truth which we thought at first to find in Kant’s transcendental Logic … [Hegel] offers us Reason affirmative and negative, and affirmative only in and through its own negations.”

Voir: “Emmanuel Kant, le fondateur de la philosophie moderne … est la transition de l’ancienne pensée abstraite (l’ancienne conception de l’expérience, qui est dépourvue de sens) vers la nouvelle pensée concrète, qui est une conception de l’expérience encore plus vaste et toujours croissante.”
John Dewey, “Kant and Philosophic Method,” Journal of Speculative Philosophy, 18(1 April 1884): 162–174: “Kant, the founder of modernest philosophy … is the transition of the old abstract thought, the old meaningless conception of experience, into the new concrete thought, the ever growing, ever rich experience.”

Voir: John Dewey dans Yervant Hovhannes Krikorian, editor, Naturalism and the Human Spirit, 1st edition, New York, 1944.

29. Hegel, “The Philosophy of Right,Great Books of the Western World, vol. 46, Thomas Malcolm Knox, translator & Robert Maynard Hutchins, editor in chief, Chicago, 1960, 6.

30. Voir: “La culture et les identités culturelles, qui au plus haut niveau sont les identités de la civilisation, façonnent les modèles de cohésion, de désintégration et de conflit dans le monde, surtout après la guerre froide … L’avancement intellectuel et scientifique, Thomas Kuhn a montré dans son classique, la Structure des révolutions scientifiques, se compose du déplacement d’un paradigme, devenu de plus en plus incapable d’expliquer les faits nouveaux ou nouvellement découverts, par un nouveau paradigme qui rend compte de ces faits d’une manière plus satisfaisante.”
Samuel Phillips Huntington, The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order, New York, 1996, 20–30: “Culture and cultural identities, which at the broadest level are civilization identities, are shaping the patterns of cohesion, disintegration, and conflict in the post–Cold War world … Intellectual and scientific advance, Thomas Kuhn showed in his classic The Structure of Scientific Revolutions, consists of the displacement of one paradigm, which has become increasingly incapable of explaining new or newly discovered facts, by a new paradigm, which does account for those facts in a more satisfactory fashion.”

31. Sidney Hook, Social Democracy and America: 1976 Convention Statement of Social Democrats, USA, New York, 1976: “What other movement can hold up a positive ideal of equality in freedom which can simultaneously give hope to millions and shake the ideological foundations of totalitarianism?”

32. Hegel, Ibidem, §340, 110.

33. Voir: “Brian Mulroney, premier ministre du Canada, a promis au mouvement syndical une grande voix dans l’élaboration de la politique économique adoptée par son gouvernement progressiste–conservateur. Dans une adresse enregistrée sur vidéocassette hier à la convention de la Fédération canadienne du travail (FCT), Brian Mulroney a déclaré que le mouvement syndical doit jouer ‘un très grand rôle de partenariat’ avec le patronat et Ottawa, dans la détermination de l’avenir du Canada.”
Anonyme, “Social Net Not Part of Trade Talks: Reisman,” The Montreal Gazette, 15 May 1986, A9: “Prime Minister Brian Mulroney has promised the labor movement a major voice in shaping policies adopted by his Progressive Conservative government. In a videotaped address yesterday to the CFL convention he said labor must play ‘a full partnership role’ with business and government in deciding the country’s future.”

34. Voir: “Le financier Lévesque, venu à Montréal de sa lointaine Gaspésie, ‘savait par expérience quelles difficultés attendaient un Canadian français [sic] désirant se lancer en affaires et il pris en quelque sorte le jeune et fougueux Desmarais sous as tutelle en lui ouvrant les portes des cercles financiers francophones du Québec … le Lévesque dont la plupart des Canadiens ont entendu parler est le volubile orateur, René, le ministre des Resources naturelles du Québec. Le riche, c’est Jean–Louis, un lointain cousin qui contrôle le plus grand empire financier du Québec.’”
Jules Bélanger, Jean–Louis Lévesque: La montée d’un Gaspésien aux sommets des affaires, Saint–Laurent, 1996, 138–166.

Voir enfin: “Paul Desmarais learned to always cultivate very close political and economic connexions with provincial and federal élites, so that every Premier of Québec and Prime Minister of Canada, at least since the time of Maurice Duplessis, used to eat from his hand … in the largest financial transaction in Canadian history, Paul Desmarais sold Consolidated–Bathurst, the crown jewel of the Québec pulp and paper industry, which had benefited from very generous subsidies from Québec taxpayers over the years, for $2.6 billion to American investors. The sale of the Montréal Trust later followed for some $550 million: Thus, Paul Desmarais ripped–off $3 billion in natural resources from the hard–working people of Québec … Paul Desmarais was probably the most corrupt businessman in Canadian history, and therefore he was also a very evil person.”
Robin Philpot, “Paul Desmarais: Un bilan s’impose,” Le Devoir, 12 octobre 2013.

Voir: Robin Philpot, Derrière l’État Desmarais: Power, 2e édition, Montréal, 2014.

35. John Fitzgerald Kennedy, “How to Prepare for the Presidency,” The World Book Encyclopedia, vol. 15, Chicago, 1971, 681: “Of all the disciplines, the study of the folly and achievements of man is best calculated to help develop the critical sense of what is permanent and meaningful amid the mass of superficial and transient events and decisions which engulf the presidency.”

36. Les hommes et femmes qui développent les vastes pouvoirs politiques et économiques de l’internet, qui sont embryonnaires dans le monde d’aujourd’hui, deviendront les premiers trillionnaires: Leur tâche est le grand projet d’une civilisation mondiale, de bâtir les fondements financiers, commercials et industriels de l’Ère spatiale.

Ce bref aperçu est ce qui reste d’un manuscrit, le travail de plus d’une décennie, qui a été malheureusement perdu il y a quelques années, sous le fardeau des très fortes peines: Le contenu de cet œuvre perdu est depuis longtemps oublié par l’auteur.

BIBLIOGRAPHIE DES OUVRAGES CONSULTÉS

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HEGEL’S ORIGINALAUSGABE 1807–1821

Georg Wilhelm Friedrich Hegel, System der Wissenschaft: Phänomenologie des Geistes, Erster Theil, (Bamberg und Würzburg: Joseph Anton Goebhardt, 1807).

Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Wissenschaft der Logik: Die objektive Logik, Erster Band, Erstes Buch, (Nürnberg: Johann Leonhard Schrag, 1812).

Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Wissenschaft der Logik: Die objektive Logik — Die Lehre vom Wesen, Erster Band, Zweites Buch, (Nürnberg: Johann Leonhard Schrag, 1813).

Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Wissenschaft der Logik: Die subjektive Logik — oder Lehre vom Begriff, Zweiter Band, (Nürnberg: Johann Leonhard Schrag, 1816).

Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Encyklopädie der philosophischen Wissenschaften im Grundrisse, zum Gebrauch seiner Vorlesungen, (Heidelberg: August Osswald’s Universitätsbuchhandlung, 1817).

Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse: Grundlinien der Philosophie des Rechts, zum Gebrauch fur seine Vorlesungen, (Berlin: Nicolaischen Buchhandlung, 1821).

HEGEL BIBLIOGRAPHY: ORIGINALAUSGABE 1827–1832 (ZWEITE & DRITTE AUSGABE)

Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Encyklopädie der philosophischen Wissenschaften im Grundrisse, zum Gebrauch seiner Vorlesungen, Zweite Ausgabe, (Heidelberg: Druck und Verlag von August Osswald, 1827). [1817]

Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Encyklopädie der philosophischen Wissenschaften im Grundrisse, zum Gebrauch seiner Vorlesungen, Dritte Ausgabe, (Heidelberg: Verwaltung des Oswald’schen Verlags (C.F. Winter), 1830). [1817 & 1827]

Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Wissenschaft der Logik: Die objektive Logik,Erster Band, Zweite Ausgabe, (Stuttgart und Tübingen: J.F. Cotta’schen Buchhandlung, 1832). [1812]

HEGEL BIBLIOGRAPHY: 1832–1845 BERLIN WERKE (ERSTE AUFLAGE)

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Philosophische Abhandlungen: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Erste Auflage, Erster (1) Band, Karl Ludwig Michelet, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1832).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Phänomenologie des Geistes: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Erste Auflage, Zweiter (2) Band, Johann Schulze, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1832).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Wissenschaft der Logik―Die objektive Logik―Die Lehre vom Seyn: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Erster Theil, Erste Abtheilung, Erste Auflage, Dritter (3) Band, Leopold Dorotheus von Henning, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1833).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Wissenschaft der Logik―Die objektive Logik―Die Lehre vom Wesen: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Erster Theil, Zweite Abtheilung, Erste Auflage, Vierter (4) Band, Leopold Dorotheus von Henning, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1834).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Wissenschaft der Logik―Die subjektive Logik―Die Lehre vom Begriff: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Zweiter Theil, Erste Auflage, Fünfter (5) Band, Leopold Dorotheus von Henning, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1834).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Encyklopädie der philosophischen Wissenschaften im Grundrisse―Die Logik: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Erster Theil, Erste Auflage, Sechster (6) Band, Leopold Dorotheus von Henning, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1840).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Encyklopädie der philosophischen Wissenschaften im Grundrisse―Vorlesungen über die Naturphilosophie: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Zweiter Theil, Erste Auflage, Siebenter (7) Band, Karl Ludwig Michelet, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1842).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Encyklopädie der philosophischen Wissenschaften im Grundrisse―Die Philosophie des Geistes: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Dritter Theil, Erste Auflage, Siebenter (7) Band, Ludwig Boumann, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1845).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Grundlinien der Philosophie des Rechts oder Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Erste Auflage, Achter (8) Band, Eduard Gans, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1833).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vorlesungen über die Philosophie der Geschichte: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Erste Auflage, Neunter (9) Band, Eduard Gans, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1837).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vorlesungen über die Aesthetik: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Erste Theil, Erste Abtheilung, (Erster Band), Erste Auflage, Zehnter (10) Band, Heinrich Gustav Hotho, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1835).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vorlesungen über die Aesthetik: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Zweiter Theil, Zweite Abtheilung, (Zweiter Band), Erste Auflage, Zehnter (10) Band, Heinrich Gustav Hotho, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1838).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vorlesungen über die Aesthetik: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, Dritter Theil, Dritte Abtheilung, (Dritter Band), Erste Auflage, Zehnter (10) Band, Heinrich Gustav Hotho, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1838).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vorlesungen über die Philosophie der Religion: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, (Erster Band), Erste Auflage, Elfter (11) Band, Philipp Konrad Marheinecke, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1832).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vorlesungen über die Philosophie der Religion, nebst einer Schrift uber die Beweise vom Daseyn Gottes: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, (Zweiter Band), Erste Auflage, Zwolfter (12) Band, Philipp Konrad Marheinecke, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1832).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vorlesungen über die Geschichte der Philosophie: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, (Erster Band), Erste Auflage, Driezehnter (13) Band, Karl Ludwig Michelet, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1833).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vorlesungen über die Geschichte der Philosophie: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, (Zweiter Band), Erste Auflage, Vierzehnter (14) Band, Karl Ludwig Michelet, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1833).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vorlesungen über die Geschichte der Philosophie: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, (Dritter Band), Erste Auflage, Fünfzehnter (15) Band, Karl Ludwig Michelet, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1836).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vermischte Schriften: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, (Erster Band), Erste Auflage, Sechzehnter (16) Band, Friedrich Förster & Ludwig Boumann, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1834).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Vermischte Schriften: Georg Wilhelm Friedrich Hegel’s Werke, Vollständige Ausgabe durch einen Verein von Freunden des Verewigten: D. Ph. Marheineke, D. J. Schulze, D. Ed. Gans, D. Lp. v. Henning, D. H. Hotho, D. K. Michelet, D. F. Förster, (Zweiter Band), Erste Auflage, Siebenzehnter (17) Band, Friedrich Förster & Ludwig Boumann, Hrsg., (Berlin: Verlag von Duncker & Humblot, 1835).

HEGEL BIBLIOGRAPHY: VORLESUNGEN AUSGEWÄHLTE NACHSCHRIFTEN UND MANUSKRIPTE 1983–2007

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (1): Vorlesungen über Naturrecht und Staatswissenschaft Heidelberg 1817–1818, Mit Nachträgen aus der Vorlesung 1818–1819, — Nachgeschrieben von Peter Wannenmann, Claudia Becker, Wolfgang Bonsiepen, Annemarie Gethmann–Siefert, Kurt Rainer Meist, Friedrich Hogemann, Hans Josef Schneider, Walter Jaeschke, Christoph Jamme & Hans Christian Lucas, Herausgegeben, Mit einer Einleitung von Otto Pöggeler, Band 1, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1983).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (2): Vorlesungen über die Philosophie der Kunst, Berlin 1823, — Nachgeschrieben von Heinrich Gustav Hotho, Annemarie Gethmann–Siefert, Hrsg., Band 2, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1998).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (3): Vorlesungen über die Philosophie der Religion, Teil 1, Einleitung, Der Begriff der Religion, Walter Jaeschke, Hrsg., Band 3, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1983).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (4): Vorlesungen über die Philosophie der Religion, Teil 2, Die bestimmte Religion, in zwei Bänden: Textband (a), Anhang (b), Mit einem Begriffs– Realien– und Personenverzeichnis zum Gesamtwerk, Walter Jaeschke, Hrsg., Band 4, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1985).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (5): Vorlesungen über die Philosophie der Religion, Teil 3, Die vollendete Religion, Walter Jaeschke, Hrsg., Band 5, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1984).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (6): Vorlesungen über die Geschichte der Philosophie, Teil 1, Einleitung in die Geschichte der Philosophie, Orientalische Philosophie, Pierre Garniron & Walter Jaeschke, Herausgegeben, Band 6, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1994).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (7): Vorlesungen über die Geschichte der Philosophie, Teil 2, Griechische Philosophie, I, Thales bis Kyniker, Pierre Garniron & Walter Jaeschke, Herausgegeben, Band 7, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1989).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (8): Vorlesungen über die Geschichte der Philosophie, Teil 3, Griechische Philosophie, II, Plato bis Proklos, Pierre Garniron & Walter Jaeschke, Herausgegeben, Band 8, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1996).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (9): Vorlesungen über die Geschichte der Philosophie, Teil 4, Philosophie des Mittelalters und der neueren Zeit, Pierre Garniron & Walter Jaeschke, Herausgegeben, Band 9, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1986).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (10): Vorlesungen über die Logik, Berlin 1831, — Nachgeschrieben von Karl Hegel, Udo Rameil, Hrsg., Herausgegeben unter Mitarbeit von Hans–Christian Lucas, Band 10, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 2001).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (11): Vorlesungen über Logik und Metaphysik, Heidelberg 1817, — Mitgeschrieben von Franz Anton Good, Karen Gloy, Hrsg., Band 11, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1992).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (12): Vorlesungen über die Philosophie der Weltgeschichte, Berlin 1822–1823, — Nachschriften von Karl Gustav Julius von Griesheim, Heinrich Gustav Hotho & Friedrich Carl Hermann Victor von Kehler, Karl Brehmer, Karl–Heinz Ilting & Hoo Nam Seelmann, Herausgegeben, Band 12, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1996).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (13): Vorlesung über die Philosophie des Geistes, Berlin 1827–1828, — Nachgeschrieben von Johann Eduard Erdmann & Ferdinand Walter,Franz Hespe & Burkhard Tuschling, Herausgegeben, Band 13, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 1994).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (14): Vorlesungen über die Philosophie des Rechts, Berlin 1819–1820, — Nachgeschrieben von Johann Rudolf Ringier, Emil Angehrn, Martin Bondeli & Hoo Nam Seelmann, Herausgegeben, Band 14, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 2000).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (15): Vorlesungen über philosophische Enzyklopädie,
Nürnberg 1812–1813, — Nachschriften von Christian Samuel Meinel & Julius Friedrich Heinrich Abegg, Udo Rameil, Hrsg., Band 15, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 2002).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (16): Vorlesungen über die Philosophie der Natur, Berlin 1819–1820, — Nachgeschrieben von Johann Rudolf Ringier, Martin Bondeli & Hoo Nam Seelmann, Herausgegeben, Band 16, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 2002).

Hegel, Georg Wilhelm Friedrich, Vorlesungen, Ausgewählte Nachschriften und Manuskripte (17): Vorlesungen über die Philosophie der Natur, Berlin 1825–1826, — Nachgeschrieben von Heinrich Wilhelm Dove, Karol Bal, Gilles Marmasse, Thomas Posch & Klaus Vieweg, Herausgegeben, Band 17, (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 2007).

HEGEL’S RECHTSPHILOSOPHIE: SELECT BIBLIOGRAPHY 1821–2013

1. Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Grundlinien der Philosophie des Rechts. Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse. Zum Gebrauch für seine Vorlesungen, [=Originalausgabe] (Berlin: Nicolaische Buchhandlung, 1821).

2. Eduard Gans, Herausgegeber, Georg Wilhelm Friedrich Hegels Grundlinien der Philosophie des Rechts oder Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse, Hrsg., von Eduard Gans, [=Georg Wilhelm Friedrich Hegels Werke, Vollstandige Ausgabe durch einem Verein von Freunden des Verewigten, Band 8], (Berlin: Verlag von Duncker und Humblot, 1833). [Zweite Auflage, Berlin 1840; Dritte Auflage, Berlin 1854]

3. Gerardus Johannes Petrus Josephus Bolland, Herausgegeber, Georg Wilhelm Friedrich Hegels Grundlinien der Philosophie des Rechts mit einer Einleitung, (Leiden: A.H. Adriani, 1902).

4. Georg Lasson, Herausgegeber, Grundlinien der Philosophie des Rechts, Mit den von Eduard Gans redigierten Zusätzen aus Hegels Vorlesungen, Neu hrsg., von Georg Lasson, [=Hegels sämtliche Werke, Band VI], (Leipzig: Verlag von Felix Meiner, 1911). [Zweite Auflage, Leipzig 1921; Dritte Auflage, Leipzig 1930]

5. Alfred Baeumler, Herausgegeber, Hegels Schriften zur Gesellschaftsphilosophie: Teil I, Philosophie des Geists und Rechtsphilosophie, [=Die Herdflamme, Sammlung der gesellschaftswissenschaftlichen Grundwerke aller Zeiten und Volker, Band 11], (Jena: Verlag von Gustav Fischer, 1927).

6. Hermann Glockner, Herausgegeber, Grundlinien der philosophie des Rechts oder Naturrecht und Staatswissenschat im Grundrisse, Mit einem Vorwort von Eduard Gans, [=Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Jubiläumsausgabe in zwanzig Bänden, Auf Grund des von Ludwig Boumann, Friedrich Förster, Eduard Gans, Karl Hegel, Leopold von Henning, Heinrich Gustav Hotho, Philipp Marheineke, Karl Ludwig Michelet, Karl Rosenkranz & Johannes Karl Hartwig Schultze besorgten Originaldruckes im Faksimileverfahren, Siebenter Band], (Stuttgart–Bad Cannstatt: Fromann, 1928).

7. Johannes Hoffmeister, Herausgegeber, Grundlinien der Philosophie des Rechts, mit Hegels eigenhändigen Randbemerkungen in seinem handexemplar der Rechtsphilosophie, [=Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Sämtliche Werke, Neu kritische Ausgabe, Band XII], (Hamburg: Verlag Felix Meiner, 1955).

8. Karl Löwith & Manfred Riedel, Herausgegeben, Grundlinien der Philosophie des Rechts oder Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse, [=Georg Wilhelm Friedrich Hegel: Studienausgabe in 3 Bänden, Ausgewählt und eingeleitet von Karl Löwith und Manfred Riedel, Band 2] (Frankfurt und Hamburg: Fischer Verlag, 1968).

9. Berhard Lakebrink, Herausgegeber, Grundlinien der Philosophie des Rechts oder Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse, mit einer Einleitung hrsg., von Berhard Lakebrink, (Stuttgart: Reclam, 1970).

10. Eva Moldenhauer & Karl Markus Michel, Herausgegeben, Grundlinien der Philosophie des Rechts oder Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse, mit Hegels eigenhändigen Notizen und den mündlichen Zusätzen, [=G.W.F. Hegel, Werke in zwanzig Bänden, Band 7], (Frankfurt: Suhrkamp Verlag, 1970).

11. Helmut Reichelt, Herausgegeber, Grundlinien der Philosophie des Rechts oder Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse, mit Hegels eigenhändigen Notizen in seinem Handexemplar und den Mündlichen Zusätzen, (Frankfurt–Berlin–Wien: Ullstein, 1972).

12. Karl–Heinz Ilting, Herausgegeber, Die “Rechtsphilosophie” von 1820 mit Hegels Vorlesungnotizen 1821–1825, [=Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Vorlesungen uber Rechtsphilosophie, 1818–1831: Edition und Kommentar in sechs Banden von Karl–Heinz Ilting, Zweiter Band], (Stuttgard–Bad Cannstatt: Frommann–Holzboog, 1974).

13. Hermann Klenner, Herausgegeber, Grundlinien der Philosophie des Rechts oder Naturrecht und Staatswissenschaft im Grundrisse, nach der Ausgabe von Eduard Gans herausgegeben und mit einer Einleitung versehen von Hermann Klenner, (Berlin: Akademie Verlag, 1981).

14. Klaus Grotsch, Elisabeth Weisser–Lohmann & Hermann Klenner, Herausgegeben, Grundlinien der Philosophie des Rechts, Verfasser des Anhangs Hermann Klenner, [=Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Gesammelte Werke, Band 14, 1–3], (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 2009–2011).

15. Horst D. Brandt, Herausgegeber, Philosophische Bibliothek: Grundlinien der Philosophie des Rechts, Band 638, [Auf der Grundlage der Edition des Textes in den Gesammelten Werken, Band 14], (Hamburg: Felix Meiner Verlag, 2013).

©2017–2018–2019 Christopher Richard Wade Dettling, Américanisme: Nouvelle orthodoxie hégélienne, 4e édition revue et augmentée, et première édition de langue française. Tous les droits sont réservés. Cet ouvrage est pour MEDIUM et la MEDIUM CORPORATION et à ses utilisateurs: Les utilisateurs ne sont pas autorisés à monter cet ouvrage sur n’importe quel serveur réseau. Aucune partie de cet écrit ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit par aucun moyen électronique ou mécanique (y compris la photocopie, l’enregistrement ou le stockage et la récupération de l’information) sans autorisation écrite de l’auteur, à l’exception de la lecture et de la navigation via le World Wide Web.

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