Handi d’élite

Vous aimeriez mieux communiquer avec votre enfant, frère ou sœur qui est handicapé.

Vous désirez très fort qu’il ou elle vous comprenne et vous parle mieux.

Vous mourrez d’envie de vous entendre. Et de vivre une relation épanouissante pour vous deux.

Vous vous dîtes que vous avez déjà tout essayé. Que vous même vous n’en n’avez pas besoin contrairement aux autres membres de la famille. Et que c’est la personne en situation de handicap qui en a le plus besoin. Vous êtes prêt (e) à lui offrir mes services, presque comme cadeau d’anniversaire ou de Noël.

Je vous arrête tout de suite. C’est la pire des idées depuis la bombe atomique. Le résultat peut être explosif et destructeur.

C’est pourquoi j’ai créé ce service pour vous. Les familles et aidants d’abord, les handi ensuite. Lisez toit ce que j’ai écrit. Nous verrons nos points de convergence et divergences lors de la première rencontre. Je vous laisserai me poser vos questions, même les plus indiscrètes sur la perception du handi sur son monde, sa famille et le monde. Puis je vous donnerais des outils et je vous inviterais à écrire vos nouveaux discours face à cette personne que vous aimez. Et qui vous aime je n’en doute pas. Mais parfois l’Amour est ensevelis sous un tas de peurs et de souffrances.

Lisez ce texte Ainsi que celui-ci

https://farzadfelezzi.wixsite.com/parle/handi-d-élite

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Le contexte

Nous vivons un monde d’illusions. Plus l’on s’y sent inpuissants plus on nous vend l’image du super héro qu’on peut devenir ou qui va venir. Il y a un modèle de héro souvent masculin, toujours en faveur du régime où il se trouve. Il se bat pour une cause d’apparence noble. Toujours sous la bannière du pays ou du système de pensée qui l’emploi.

Ce héro semble être une propagande. Créé pour orienter les rêves de chacun à combattre un ennemi commun. Et quiconque refuse de collaborer et de combattre aux côtés de ce héro est aussitôt jugé, condamné et exclus. C’est le cas de l’handicapé. Il n’a pas les moyens de rentrer dans la norme. Il sera exclus. Et toi, oui toi qui lit ce texte. Tu es peut être sa soeur, son frère, son père ou un ami. Tu es peut être un professeur, un médecin ou éducateur qui croit le connaitre.

Je m’adresse à toi à titre personnel maintenant. Oui, toi qui est en train de lire. Cet individu, cet handi, tu es loin de le connaître.

Tu ne connais que ceux dont la notoriété a percé les murailles institutionnelles médiatiques : Albert Einstein, Stéphan Hawking, Temple Grandin.

Tu es loin, très loin de connaître celui qui se trouve être ton ami, ou de ta propre famille.

Je suis là pour t’aider à le comprendre. Et peut être, si le cœur lui dit, de se hisser aux sommets les plus élevées de l’humanité.

Ton attention s’il te plaît

J’emploie le mot handi. Parce-qu’il y en a marre des surnoms institutionnels et philosophiques. Personne en situation de handicap comme pour ne pas blesser la sensibilité des concernés. Les mots sont inutiles, le monde l’a déjà exclus et vos regards l’on déjà assassiné. La
Version philosophiques ? Personnes autrement capable. Lui même sait tout les jours que dieu fait, l’ampleur de ses incapacité. Car le monde est ainsi fait que cette incapacité lui est sans cesse rappelé. La phrase '’tu es un incapable’' est suggéré chaque fois qu’il sort, à l’école, au milieu de sa famille ou dans les transports. Les '’qu’est-ce qui t’es arrivé’' ou encore les '’pourquoi t’es comme ça ?’’, c’est quoi ta maladie ? t’as ça depuis quand ? Les regards, sur son corps malade où seule ta maladie gagne de l’importance aux yeux de l’autre. Tu n’es plus être humain. Tu es un corps porteur de handicap. Et seul ce handicap est considéré, médiatisé et célébré. Imagine toi à cette place. Est-ce agréable ?

Imagine toi devenir quelque chose d’abstrait et de flou derrière cette maladie qui te handicap, personne même les mieux intentionnés et bienveillants, personne n’est venue te voir, nulle ne te connait et tout le monde t’ignore. Imagine.

Imagine que tu arrives à comprendre ça. Un instant. Et que tu arrives à communiquer avec un handi. Autrement qu’au travers de sa maladie. Au-delà des habitudes de penser et communication.

Je m’appelle Farzad Felezzi, je suis né handicapé. Tout ce qui précède je le connais. Et je l’ai dépassé. J’aimerais vous dire comment.

De nombreuses familles m’appellent pour aider leurs membres handi. Enfants, frères, sœurs amis parents, à améliorer leurs attitudes et languages pour communiquer avec eux. C’est peut être la pire des demandes, mais j’ai fini par l’accepter. À une seule et unique condition :

Qu’avant de commencer avec le handi. Toute sa famille vienne d’abord se former. Ce n’est pas un aveu de faiblesse, de vulnérabilité ou d’ignorance de ta part. C’est un premier pas qui prouve que pour le bien être de l’autre tu es toi même prêt (e) à te bouger.

En pratique Voici le programme

• Confronter nos Divergences et Convergences. Toit ce dont sur quoi vois n’êtes pas d’accord dans ce que je vous ai donné à lire.
• Vos peines et vos souhaits. Toute situation pénible que vous souhaitez voir être changée. Toute relation de rêve et de complicité joyeuse et sereine vers laquelle vous souhaitez cheminer.
• Les outils pour une communication qui augmente vos relations dans L’Amour
• Vos questions sur mon vécu et celui d’une centaine d’autres handi que j’ai récolté comme cas d’école de rejet, d’échecs, de succès, de renforcement et d’épanouissement.

Conclusion

Dans la vie réelle il n’y a pas de super héro. Il y a toi, moi, nous.

Avec nos blessures de guerres et nos limites. Mais aussi avec nos qualités, nos talents et vertus.

C’est avec ça qu’on avance. Ni plus ni moins. Nous sommes parfois et même souvent impuissants et sans pouvoirs magiques. Mais la force qui nous anime c’est l’Amour. C’est cet amour qui nous guide. Et qui fait le meilleur.

Le monde sombre chaque fois que par peur nous avons manqué à notre devoir d’aimer.

C’est l’histoire d’un jeune homme. Écoute, elle est digne d’intérêt.

Ce garçon était rejeté de toute sa famille. Pour sa façon de penser. Il aimait écrire, peindre et parler. Il fut rejeté de tous. Mais accepté de quelques uns car sa colère face aux persécuteurs de son peuple résonnaient en eux.

Il grandit, sauva son peuple de la misère et du chômage. Il fit nommé, elu et titré. Devint chef d’État et maître de guerre. Et avec son peuple ils envahirent et humilièrent ceux qui les avaient autrefois humiliés.

Puis il fit construire des camps où il faisait travailler ses ennemis jusqu’à ce qu’ils meurent de faim, de maladie ou d’épuisement.

Seuls ceux qui pouvaient travailler étaient emmenés dans ces camps. On raconte qu’il y avait là beaucoup de juifs. Mais le garçon avait fait tuer plus d’handicapés que de juifs.

Pour lui un handicapé c’est quelqu’un qui n’a pas les moyens d’obéir pour produire. Un enfant, un vieillard, une mère enceinte, un amputé, un sourd ou un aveugle, malade mentale, un attardé, un autiste sont tous considérés comme handicapés. Et tout handicapé ne pouvant rentrer dans la norme de la société et de l’effort de travail était une bouche à nourrir sans qu’elle n’apporte aucune valeur en retour.

Toi qui entend cette histoire. Comment aurais-tu fais pour les libérer ? Sachant qu’une majorité de gens adoptant la norme, ont déjà votés pour leur mort, par haine ou pire par indifférence.

L’histoire est triste.

Pour changer l’histoire ou éviter qu’elle ne se répète. Je vais vous invitera puiser en vous beaucoup d’amour. Une fois chargé de cet Amour indestructible vous pourrez avancer sereins sur les chemins les plus rocailleux de votre destin, sans que la mort ne jette une seule ombre sur l’arbre de vie dont la source est entre vos mains.