Le jeu vidéo Strange Brigade de Rebellion

“Un mélange de Sniper Elite Zombie Army, Mario Tennis pour la N64 et Snake”, c’est une description largement construite, mais une certaine connexion entre les jeux mentionnés et la Strange Brigade peut encore être vue. Le premier vient même du même studio de développement et peut en fait être considéré comme un cousin quasi indirect du 7ème degré de ce jeu.

Mais pour finir avec ces phrases creuses : Strange Brigade est un “Koop-Third-Person-Shooter”, sorti en août de l’année dernière par le studio de développement indépendant européen Rebellion Developments pour Xbox One, Playstation 4 et PC. Le but du jeu est de parcourir des villes légendaires et de combattre des “ennemis mythologiques” seuls ou avec jusqu’à quatre autres joueurs. Au cours de son voyage, le joueur doit non seulement affronter des créatures sombres, mais aussi des pièges et des énigmes oubliés depuis longtemps. Ceci peut se faire en trois modes de jeu, où mes remarques se référeront en particulier à la campagne de l’histoire et je dirai enfin quelques mots sur les autres possibilités de jeu.

Tellement, au moins, sur les attentes et l’ordre du jour. La version Xbox One a été jouée dans la version optimisée pour la Xbox One X.

Reportage // Action

Là où résident les priorités de Strange Brigade, qui se cristallisent assez clairement au cours du jeu, dans une action très profonde avec des hauts et des bas, ainsi que divers brins effilés, qui deviennent immédiatement clairs, ils ne mentent pas. Pour le dire plus précisément : l’intrigue (si on peut l’appeler ainsi) est si générique, si plate et si sans consistance qu’elle est à nouveau “bonne”. Elle peut être caractérisée comme suit : “Une vieille grand-mère maléfique momifiée d’Egypte s’est réveillée d’une manière ou d’une autre et est en quelque sorte maléfique. C’est pourquoi elle convoque des monstres tout aussi méchants qui sont méchants. C’est pourquoi une équipe “spéciale” d’aventuriers amateurs (ou presque) est créée pour les arrêter. “Même ainsi, ils viennent du Royaume-Uni.”

Les retournements ou les imprévus en général n’arrivent plus. Au moins, au début comme à la fin de chaque niveau, l’intrigue est développée à travers des séquences intermédiaires et même dans un “look rond” très agréable. Mais bien plus que de légitimer les niveaux successifs et éventuellement de faire sourire le joueur, ces extraits d’histoire ne sont pas bons pour vous.

Dans les niveaux individuels eux-mêmes, le gameplay n’est pas activement interférer avec afin de faire avancer l’intrigue. De temps en temps, les personnages laissent tomber un slogan plus ou moins pertinent et pour présenter de nouveaux adversaires, ils sont présentés brièvement par des clips et le narrateur. Plus au niveau des stations complémentaires, qui sont situées avant les étapes importantes du niveau, une voix par radio fait avancer un peu l’action, mais elle n’apporte en aucun cas une réelle valeur ajoutée. Il en va de même pour les éventuelles insertions des antagonistes.

Enfin, il est à noter qu’en trouvant des notes plus ou moins intelligemment cachées dans le niveau, vous pourrez découvrir le monde et les antécédents de l’unité Strange Brigade, et que l’intrigue se termine sur un véritable cliffhanger. Une autre partie est donc tout à fait concevable.

Caractères // Figures

Là où l’histoire de Strange Brigade n’existe que, Rebellion s’appuie sur quatre personnages très différents pour ses personnages. Tous viennent de différentes régions de compétition, mais luttent sous le drapeau du Royaume-Uni contre le mal. Avec le narrateur et quelques personnages secondaires, ils forment, avec le narrateur et quelques personnages secondaires, les sas de la Strange Brigade. Même si tous les personnages ne sont que des stéréotypes et qu’il ne faut pas s’attendre à de la profondeur, ils parviennent à se rapprocher un peu plus de vous au cours de l’histoire. Chaque personnage joue des rôles différents, orientés vers l’action, qui (dans la mesure où ils peuvent être évalués) se complètent très bien les uns les autres.

Ce qui s’applique à l’intrigue ne peut malheureusement pas s’appliquer à la façon dont le jeu se joue, car chaque personnage a au départ sa propre arme et ses propres capacités spéciales, mais cela donne au Werder plus de profondeur et une incitation à une coopération coordonnée. De plus, les points mentionnés ci-dessus se dilueront de plus en plus au cours du jeu, car “tout” peut être déverrouillé pour chaque personnage. Ce travail d’équipe n’est supporté par aucune autre fonction du jeu.

Gameplay // Play Feeling

Le gameplay global est à peu près comme vous pouvez vous y attendre d’un tel jeu. Je voudrais souligner, cependant, ici, comme, dans un sens, le cadre de référence, les jeux Sniper Elite Zombie Army du même développeur. Comme d’habitude, la caméra est située derrière le personnage et peut être réglée librement en position debout. Lors de la course et automatiquement après une course, la caméra est alignée statiquement derrière le personnage, de sorte qu’elle ne peut être déplacée que dans une mesure limitée dans cet état.

Afin de lutter contre les créatures peu nombreuses (mais riches en nombre), dont les momies, les “Zombies secs égyptiens”, ainsi que les miniatures sèches, les squelettes et les golems de pierre, qui ont chacun des capacités différentes, les joueurs peuvent utiliser différentes armes de tir ainsi que des capacités spéciales. Les armes sont basées sur de “ vrais “ représentants des années 1930 et 1940 et se présentent sous forme de pistolets, de fusils semi-atomiques, de baïonnettes et de fusils de chasse ainsi que de grenades. En outre, vous pouvez trouver et acheter des syndicats de tueurs spéciaux dans les niveaux, qui d’une part peuvent distribuer beaucoup, mais dont les munitions sont très limitées et ne sont plus exécutables. Malgré cela, leur nombre semble un peu trop petit et un peu plus de variance dans la sélection, vous aurait quand même fait du bien. Cela est d’autant plus vrai qu’il y a des représentants nettement plus forts et plus faibles. Les armes peuvent être améliorées en utilisant des pierres runes trouvées dans les niveaux.

Le gameplay pur va comme indiqué, assez bien de la main et aussi les capacités spéciales des personnages s’adaptent bien dans le jeu. Il en va de même pour les pièges répartis dans les niveaux. Après quelques heures de jeu, un bon contrôle du jeu se développe et un certain “flow”, qui donne au jeu une dynamique particulière. Par conséquent, un projet légèrement stratégique est également possible afin de pouvoir réagir aux particularités de ses adversaires. En fait, faire semblant n’est jamais vraiment nécessaire.

En plus des combats, l’accent est également mis sur les réalisations de niveau et la résolution de divers puzzles. Limitation : vraiment explorer, les niveaux ne peuvent pas être et les puzzles semblent simplistes et quelque peu forcé à tel point qu’ils ne sont même pas à eux seuls la peine de mentionner, en interaction avec les aspects mentionnés un bon contrepoids à la lutte offre. D’autant plus que ce point prend une importance exponentielle en interaction avec trois autres amis.

Conception des niveaux // Conception de l’environnement

Dans la conception du niveau point également, un sentiment de conflit intérieur surgit. D’une part, les toiles de fond sont très belles et la structure des niveaux est concluante. Ils ont juste assez de largeur pour soutenir le gameplay et faire ressortir les différentes capacités des adversaires raisonnablement bien. De plus, les niveaux offrent juste le degré de complexité qui donne l’impression d’explorer, mais en même temps, la progression du jeu est prise en compte. Ceux qui errent dans les cités anciennes les yeux ouverts et suivent des chemins moins évidents seront récompensés. Ceux qui utilisent les environnements ennemis, pleins de pièges, d’insectes et d’autres vers pour eux-mêmes, gagneront de nouvelles possibilités tactiques.

Où il y a de la lumière, il y a de l’ombre. Parce que aussi beaux que les niveaux puissent être conçus en détail, ils sont dans l’ensemble aussi pauvres en variété. Bien qu’il y ait toujours des changements d’emplacement au cours du jeu, ils ont malheureusement moins d’influence notable sur le jeu. Il en va de même pour la répétition croissante des pièges et des puzzles ainsi que pour le débordement des combats d’arène à mesure que le jeu progresse.

Apparence // Humour

Une compétence clé du jeu n’a pas encore été abordée : son humour. Les héros qui sont créés dans des lieux mystiques sont un envoi de la reine. La Reine du Royaume-Uni dans les années 1930 et 1940. Ce thème ne s’exprime pas seulement dans la conception du monde, des objets, des héros et des armes, non. Aussi dans la langue. C’est pourquoi un récit qui semble plus ou moins familier aux héros commente également les événements à l’écran dans un anglais extrêmement cliché. Incapable de comprendre l’événement dans son ensemble, il semble presque impuissant à être exposé aux actions des héros. Ses remarques représentent le grotesque involontairement dans la situation générale à laquelle le joueur se trouve exposé en tant que héros et parfois même encourage la réflexion. Ses remarques restent néanmoins assez maladroites. Du côté positif, il est possible de régler la fréquence des dictons. Malheureusement, cette fonction ne peut pas être complètement désactivée. En général, on peut dire que le jeu ne se prend pas trop au sérieux.

Modes de jeu // Options de jeu

En plus de la campagne de l’histoire, le jeu offre deux autres modes de jeu. Mais il ne s’agit pas seulement d’accessoires. Vous pouvez choisir entre un mode “Horde”, dans lequel vous devez vous défendre contre des vagues adverses de plus en plus fortes (ce qui est particulièrement attrayant en mode multijoueur) et un mode appelé “Score Attack”, dans lequel vous préparez des niveaux d’histoire avec de petits changements, une pression temporelle et des adversaires modifiés. Vous serez récompensé par des points et le classement sur une liste de classement.

Technologie // Qualité

Pour m’attraper : OKAY ! Sur toutes les plateformes où ce jeu est disponible, Strange Brigade n’est pas un miracle technique. Il a l’air plutôt bon et les modèles de l’adversaire sont même très bons. Les animations ont l’air naturelles. Il en va de même pour les effets sonores. La bande son, en revanche, est extrêmement discrète, jusqu’à ce qu’elle ne soit plus disponible et que le jeu fonctionne sur la Xbox One X largement sans problèmes à 30 FPS stable. Sur la PlayStation 4 Pro, on dit qu’il y a quelques limitations liées à la performance, qu’il devrait exprimer soit dans une fréquence d’images instable ou un regard plus mauvais (selon le réglage).

Idée // Conclusion

Générique mais bon ! C’est ainsi que vous pourriez décrire l’idée que j’ai tirée de ce jeu jusqu’à présent. Bien sûr que si. Strange Brigade n’a pas beaucoup de profondeur et parfois elle peut sembler monotone. Mais d’un autre côté, je me suis beaucoup amusé avec le jeu. Surtout avec des amis, il déploie tout son potentiel. Pour les joueurs occasionnels, il est tout à fait approprié et vous obtenez du plaisir pour votre argent. Mais il ne faut pas s’attendre à un chef-d’œuvre.

Note:

Puisqu’il s’agit de ma première critique que je publie ici, j’espère une critique constructive pour améliorer mon style d’écriture (et le style/structure de mes tests). Nous vous remercions d’avance.

Veuillez noter que ce texte a été traduit par machine, des erreurs peuvent donc se produire. Je m’excuse pour tout inconvénient.

Toutes les informations fournies sont sans garantie et de nature subjective. Ils reflètent mon opinion sur le produit à l’heure actuelle (31.1.19). Je ne garantis pas l’exhaustivité ou l’exactitude des informations (même si j’essaie de remplir ces conditions). Le traitement correct des informations fournies relève entièrement de la responsabilité du lecteur. Les droits à dommages et intérêts ou droits similaires sont exclus.

Je n’ai été ni payé ni tenté de tester ou d’évaluer ce produit de quelque façon que ce soit. Les frais de financement du produit ont été pris en charge par moi-même.

Les images utilisées des scènes de jeu, ainsi que tous les logos sont la propriété des propriétaires des droits (Rebellion Developments Ltd.). L’utilisation dans ce cadre m’a été autorisée.

Sources:

Wikipédia: Strange Brigade (appelée le 30.01.19)