JonathanRouxel
2 min readJul 3, 2015

Après une très petite nuit à écrire une trentaine d’angles sur l’idée de base, je sens que je tiens une idée solide et j’ai très hâte de la partager à l’équipe. Nous nous rencontrons vers 10h au Palais et nous avons le privilège de commencer la journée avec Lucie Jameson, CEO of Grey Londres et stratège globale du groupe. Cette historienne de formation nous présente son plan de match typique quand elle reçoit une demande de planification stratégique.

Son plan est simple et s’articule sur l’idée qu’il faut poser le plus de question possible pour se rendre à la question ultime. The purpose of the company. Pourquoi ce produit existe-t-il et quelles sont les valeurs qui découlent de son adoption. Elle mentionne au passage que bien souvent les briefs clients sont enjargonnés de mots qui ne veulent rien dire et nous rappelle d’élever nos questions au-delà des objectifs de com. Quels sont les problèmes mkt à résoudre et surtout, quels sont les problèmes buisness. Comment peut-on aider nos clients à faire plus d’argent. Est-ce un problème de pénétration (chercher à acquérir plus d’utilisateurs), de fréquence (comment faire pour que les consommateurs consomment plus) ou de prix premium (comment faire pour que les conso acceptent de payer plus.) Elle termine en insistant sur le fait que la pub, auparavant jugé comme un pari par les entreprises, est devenu, grâce à tous les outils dont les agences ont à leur disposition, l’une des voies d’affaire les plus sécuritaire.

Sachant que mon partenaire Simon Cazelais allait assister à la prochaine conférence sur la démonstration de l’efficacité commerciale de la créativité (Merry Baskin & Gurdeep Puri), je décide de sauter mon tour et d’aller rejoindre mon équipe. Nous sommes tous sur la même longueur d’ondes. Comme nous avons le droit d’utiliser nos agences, je brief donc la créa chez BBR pour nous aider à créer les différentes pièces créatives de notre campagne.