Il était une fois, le futur
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Ce qu’on fait à Bitproof, Inc. et pourquoi on le fait.
L’unisprit
Oubliez les papiers, stylos et erreurs administratives. Tout est interconnecté. Chaque individu est représenté par une clé cryptographique sur le réseau. Le réseau d’intelligence commune dépasse le simple partage de connaissance, il embarque également toutes les communications et assure le bon fonctionnement de la société (contrats, settlements, tracking de l’execution…).
Interconnexion et architecture
Le réseau facilite les interactions entre individus. La friction est réduite au maximum. Mais contrairement aux aliens de Buzz l’eclair et pour des raisons de fiabilité évidentes, l’unisprit n’est pas centralisé.
En fait on n’a rien créé de nouveau par rapport á 2015, on n’a pas construit de super ordinateur pour gérer l’humanité, on a juste connecté intelligemment les différents acteurs.
Interconnexion et sécurité
Quand on interconnecte, il faut s’assurer de l’authenticité des données. C’est la fin des APIs classiques qui push/pull des data “naives”, chaque interaction dans le réseau est authentifiée grâce à des fonctions cryptographiques très puissantes, assurant ainsi l’integrité des interactions entre chaque individu ou groupe d’individus.
Par exemple, un contrat échangé entre une société d’assurance et un hôpital contient la signature électronique (entendre cryptographique) du patient ainsi qu’un historique inviolable de l’évolution du contrat.
La propriété ne connait pas les frontières
C’est la fin de l’Etat-nation : les gens bougent, on voit l’émergence de cités. Dans ce contexte, la propriété ne peut pas rester dépendante d’un pouvoir limité géographiquement. La propriété (argent, real estate, stocks…) est donc décentralisée, ou du moins semi-décentralisée pour des raisons de scalabilité.
De grands serveurs gèrent les échanges (comme les serveurs SMTP géraient les emails en 2015) mais le protocole permet l’exportation des assets du système à tout moment (il est possible d’envoyer un email sans utiliser de SMTP relay).
Comment on en est arrivé là : 2015 est frustrant
Usurpations d’identité, confusions administratives, absence de communication… Des centaines de milliards de dollars sont gaspillés tous les ans en 2015 dans des bordels sans nom, par tout le monde : le gouvernement qui prévient, les grandes institutions qui rafistolent, le citoyen qui attend et le consommateur qui paie 3% pour convertir son argent.
Le Bitcoin (et donc la cryptographie) n’auront pas de mal à créer ce futur, parce que TOUT LE MONDE L’ATTEND.