Le restaurant Tamam Kitchen choisit la caisse tactile Melkal
S’il y a un domaine où Paris excelle encore, c’est bien celui de la restauration ! Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, c’est une ville très ouverte sur l’extérieur, pas du tout autocentrée sur une cuisine locale ou uniquement française.
On y trouve donc de petits bijoux culinaires, et le Tamam Kitchen en est un ! Niché au fin fond du XIVe arrondissement, 46 rue Didot, il vaut le détour.
Le Tamam Kitchen, c’est avant tout le parcours et l’expérience de Nurdane, surdouée de la cuisine, d’origine kurde, et ayant bourlingué dans de nombreux pays, du Moyen-Orient à l’Amérique du Sud, en passant par l’Inde et le Japon !
Mais Nurdane n’a pas fait que passer, elle s’est imprégnée de chaque territoire, de chaque rencontre. De cette vie de cultures, elle a su faire le tri entre l’important et l’accessoire.
Et pour notre plus grand plaisir gustatif, elle applique cette philosophie de vie à sa cuisine. Le Tamam Kitchen n’est pas un restaurant kurde, ni un restaurant français, et encore moins un restaurant international sans âme.
C’est avant tout la cuisine d’une femme profondément humaine et touchante, dont on sent la sensibilité à chaque instant.
Pas étonnant que cette cuisine si particulière, à la fois fine et diverse, ait été remarquée par le regretté journaliste Bruno Caussé, passionné de cuisine, de cultures, et de voyages, et qui avait écrit un bel article sur les talents de Nurdane dans le journal Le Monde.
Au Tamam Kitchen, il n’y a aucune ambiguïté, il n’y a qu’une seule cuisinière, et elle cuisine d’ailleurs devant vous !
Chaque fois que je pense à Nurdane, je la revois penchée sur ses fourneaux, donnant toute son énergie et son attention à ses créations. Je dois dire que parfois c’est avec un peu de vague à l’âme, car je connais la dure réalité de ces métiers et le coût de l’indépendance, surtout sur le long terme, mais au moins elle apporte un peu de vie à chaque “visiteur” du Tamam !
Accompagnée en salle par la dynamique et indispensable Emmanuelle, aussi vraie qu’accueillante, l’équipe est donc entièrement féminine, et bizarrement, on sent comme un poids en moins dans ce restaurant !
Et se sentir insouciant tout en étant dans un restaurant d’une grande finesse, dont les plats, peu nombreux, mais choisis avec soin, changent en fonction du marché, des saisons, et des envies de notre enchanteresse, c’est franchement plutôt rare !!
Bref, c’est avec grand plaisir que j’ai pu voir Nurdane arriver enfin au bout de son projet, certes épuisée, - tous les entrepreneurs savent à quel point créer quelque chose contre vents et marées est littéralement éreintant -, mais heureuse, je pense, d’avoir pu faire éclore le Tamam Kitchen.
Pour la gestion du restaurant, des additions, des notes de frais, et des encaissements, elle a choisi le logiciel de caisse Melkal, accompagné par la caisse Star MpPop et un iPad qu’elle avait déjà.
C’est Emmanuelle qui s’en sert principalement lors de chaque service, pendant que Nurdane est toute concentrée à nous préparer les meilleurs plats possible.
En dehors des services, Nurdane utilise Melkal aussi bien sur l’iPad que sur son Mac (Melkal pouvant être utilisé sur plusieurs appareils simultanément, au restaurant, au bureau, à la maison, sans frais supplémentaires !), ce qui lui permet de consulter ses résultats à tête reposée, car malgré tout, on est aussi condamné à s’occuper des chiffres dans ce monde !
Si vous passez par Paris, allez donc faire un tour au Tamam Kitchen, 46 rue Didot dans le XIVe, vous ne le regretterez pas, car quel que soit le plat que préparera Nurdane ce jour-là, vous pouvez être sûr d’une chose : il sera aussi bon que frais !