Mon GOTY 2017
C’est la fin d’année, alors par tradition, plutôt que de regarder vers l’avenir, on ressasse les mois écoulés. En 2017, j’ai beaucoup écrit : sur des jeux que j’aime (j’ai de la chance), sur des histoires qui m’intéressent, sur des sujets que j’ai essayé de traiter du mieux possible. Plutôt que d’essayer de lister mes trois jeux préférés de l’année, voici une sélection de mes textes préférés de cette année (il y en a beaucoup : ce n’est pas parce que je n’ose pas choisir, mais bien entendu parce qu’ils sont tous excellents).
La plupart des articles (sauf ceux en gras, qui sont consultables gratuitement parce que nous ne sommes pas des monstres) sont réservés aux abonnés de Canard PC. L’abonnement pour un an coûte 39 euros (et contient l’accès à tous les anciens numéros déjà publiés sur le site, un peu plus de 25 depuis fin 2016). Ce n’est pas très cher.
Sans plus attendre, voici donc quelques textes petits ou gros, sur des jeux eux aussi petits ou gros, sortis ou en accès anticipé (il n’y a pas d’ordre particulier, mais on peut cependant y voir une sélection de mes jeux favoris de l’année, même s’il est parfois arrivé qu’un collègue forcément moins talentueux me pique le test d’un de mes chouchous qui n’apparaît donc pas ici. C’est triste, je sais, mais ainsi va la vie) : What remains of Edith Finch, Arms, The Lion’s Song, Assassin’s Creed Origins (ainsi que ses previews pour l’E3 et la Gamescom), The Norwood Suite, Far From Noise, Snipperclips, Vignettes, Everything, For Honor, Destiny 2 (et sa preview), Under Leaves, Golf for Workgroups, Dead Cells, Hidden Folks, Oἶκoςpiel, Book 1, Cosmic Express, Getting over it with Bennett Foddy, Opus Magnum, Claybook, Enterre-moi mon amour, Another Lost Phone : Laura’s Story, Attentat 1942, Engare, Geostorm, Code 7, Triple Agent, Nidhogg 2, Ravenfield, Sudoku Sweeper, Miss Fisher and the Deathly Maze, Hidden Agenda, Mario + The Lapins Crétins Kingdom Battle (et sa preview) et Where the water tastes like wine (qui n’est pas encore sorti mais ce n’est pas arrivé en fin de liste qu’on va commencer à pinailler, merci bien).
Mais aussi !
À lire également, des autopsies (nos post-mortems à nous) variées : Furi, Decksplash, Majestic (d’un temps que les moins de vingt ans…), Frog Fractions 2 et le duo Orion & Interstellar Marines.
Mais encore ?
Lors des fêtes, on a un peu de temps pour se poser. Le moment idéal pour lire quelques dossiers, par exemple sur l’AAApocalypse (rappel : quand c’est en gras, c’est que c’est gratuit), les évolutions du financement participatif pour les jeux vidéo, l’arrivée des cyberpolars, thrillers du réel et autres jeux dont l’interface rappelle nos machines de tous les jours, Roblox, la plate-forme de jeux pour enfants, la montée de l’éditeur Annapurna Interactive et les meilleurs films et séries documentaires sur les jeux vidéo.
Comment ça encore ?
Terminons par des textes sur des obsessions personnelles, comme Cookie Clicker et Tumbleseed, l’enfer des applications d’entraînement cérébral et une lettre pleine d’amour aux créateurs de quelques-uns de mes jeux favoris (soit Morphblade, Imbroglio et bien entendu Hoplite. Vous ne croyiez tout de même pas que j’allais oublier Hoplite ? Il y a des traditions en ce bas monde, et ici la tradition c’est de mentionner Hoplite tous les ans).
C’est bientôt fini ?
Oui, c’est fini. La suite en 2018 (bonne année, joyeuses fêtes, attention à la neige sur la route et n’oubliez pas de vous abonner).
OK non, il reste un dernier truc. Il est sorti trop tard pour qu’on en parle cette année dans le magazine (ce sera donc pour le numéro de la rentrée) et de toute façon ce n’est pas moi qui m’en occuperai mais la brillante Maria Kalash (qui avait déjà mieux écrit que tout lemonde sur The Witness), mais Gorogoa est sorti la semaine dernière. Vous devriez y jouer.
