Formation “from idea to backlog”
Dorénavant, je publie mes articles sur mon blog nilslesieur.fr
Pourquoi cette formation ?
Les méthodes agiles ont été pensées dans le contexte de l’industrie logicielle, la présence du mot software dans le manifeste agile l’atteste. Elles ont franchi depuis, quelques barrières notamment dans celles des départements RHs. Par ailleurs, le monde et les métiers de l’expérience utilisateur intègrent les entreprises et, les designers sortent petit à petit du rôle de “dessinateur/décorateur” qui leur a longtemps collé à la peau : “Tu pourrais rendre ça joli ?” ou “Tu pourrais faire un effet waouh ?”
Nous observons que, précédemment délégué à une agence web, l’UX Design est de plus en plus internalisé pour gagner en maturité, que le produit est développé en agile par la DSI, que beaucoup de prototypes, issus de design sprints par exemple, finissent leur vie avant de s’être transformés en produit, que l’UX s’arrête souvent aux départements “créa”, que l’agile s’arrête souvent à la DSI et/ou dans les départements métiers.
Pourtant ces deux mondes accordent une attention commune à l’utilisateur ; pour l’UX c’est assez clair, c’est dans le titre, en agile on parle de user story, de user story mapping, de use cases, … Deux mondes avec des pratiques et des outils propres, mais qui à notre sens, au sens de Jonathan Litty et moi, ne se connaissent pas assez, n’interagissent pas assez. L’idée de notre atelier à la conférence Flupa UXDays était de montrer :
- que les deux mondes n’interviennent pas séquentiellement l’un après l’autre, que la “valeur” apportée par l’UX n’est pas simplement d’être en amont du développement du produit,
- que l’équipe de développement ne “consomme” pas les livrables des équipes UX,
- qu’un impact mapping peut (doit ?) se faire très tôt dans la réflexion, que les UX peuvent y participer,
- que les POs peuvent participer aux tests utilisateurs des prototypes papiers et récupérer très tôt des feedbacks.
Nous n’avons pas la prétention d’avoir découvert la “roue” en disant que UX et agile devraient travailler ensemble, ni d’avoir découvert comment il fallait la faire rouler, comment il faut faire ; il n’y a au moins mille recettes.
NON, nous vous proposons une manière de faire interagir les personnes avec des pratiques issues de l’UX et de l’agilité : une formation pratique conçue par itération au contact des utilisateurs (cf. partie Comment est née la formation).
Comment vont se passer les 2 jours ?
La formation a pour vocation de vous rapprocher le plus possible des situations réelles, il y sera donc question de fabriquer un produit, produit que vous définirez en équipe.
Le contexte et les problématiques rencontrées vous seront exposées, plusieurs éléments vous seront fournis pour vous approprier un peu plus de la situation.
Ensuite, un cadre en plusieurs phases vous permettra de générer beaucoup d’idées, de vous assurer de la bonne stratégie, de dessiner quelques idées, de présenter une idée, de l’argumenter, de la tester, de générer un backlog, d’écrire les premières user stories.
(les bases de l’UX et de l’agilité seront rappelées et seront expérimentées)
A qui s’adressent la formation ?
- Les Scrum Masters
- Les développeurs
- Les UX Designers
- Les Product Owners
- Les testeurs
- Les UX Engineers
- Les Product Managers
Pour s’inscrire
Les inscriptions peuvent se faire en passant par la page de formation
ou directement par mail à l’adresse formation@benextcompany.com.
Comment est née la formation ?
Février 2019 : Atelier 1h30
Jonathan Litty anime un design sprint en 1h30 à la conférence School of Product Ownership. C’est le début de notre mélange UX / Agile.
40 personnes. Les feedbacks sont bons.
Juin 2019 : Atelier 3h30
Nous animons un atelier de 3h30, intitulé “From Idea To Backlog”, à la conférence Flupa UX Days. Un atelier mêlant des outils tels que design sprint, elevator pitch, impact map, … Suite du mélange.
30 personnes. Les feedbacks sont bons.
Septembre 2019 Formation sur 2 jours
Rendez-vous les 16 & 17 septembre dans les locaux de beNext (12, rue Vivienne, Paris 2e)
2 jours soit : 4 x plus de temps que l’atelier pour :
- découvrir les différents outils et la démarche
- les expérimenter en détail
- devenir un expert métier
- débriefer
- apprendre et partager encore plus
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