GOW#11 : “Remote Work : culture de l’écrit, du rituel et de la confiance”

Spécial Goal of the Week enregistré lors du Salon des Entrepreneurs de Paris en février 2019. Dans ce 11ème épisode, nous abordons le sujet du Remote Work avec Christophe Pasquier fondateur et CEO de Slite !

NUMA
2 min readMar 29, 2019

A découvrir également sur Spotify, Deezer, Itunes

Intervenants :

“if you have hired people you trust, trust that they are working” ; Buffer Copyright ;-)

Dans cet épisode vous apprendrez que :

  • La question du remote peut se présenter alors que l’entreprise ne l’a pas pensé au début. Dès lors qu’il existe 2 bureaux, on se trouve dans une situation de Remote.
  • Le Remote invite à un e culture de l’écrit très forte où tout est consigné et tout est accessible par les collaborateurs !

Le management humain est 1000 fois plus exigeant quand t’es en remote, du coup tu dois te forcer à avoir des process qui sont incroyablement stricts !

  • Le Remote demande de recruter des gens qui ont un énorme ownership, un grand sens de l’éthique et une forte responsabilité !
  • Le Remote permet de réunir autour de son entreprise un véritable pool de talents, condition première pour grandir (cf podcast recruter à l’intuition)
  • Le Remote permet de créer une culture forte et de structurer sa boîte : process écrits, Knowledge, one to one et rituels de management…

De toute façon cette structuration auraient du arriver lorsque l’on atteint 30 personnes. Nous, on les a déjà aujourd’hui ! Du coup on se concentre sur la croissance !

  • Cette culture du Remote permet d’autres organisations projets : Slite travaille sous forme de “squads projets” (des Tribus chez Evaneos) et n’est pas divisée entre les products, les developpeurs, le marketing, le business…
  • L’efficacité (en Remote ou non) se situe aussi dans le fait de limiter la sur-notification et le dérangement permanent. Les outils “asynchrones” tels que Slite sont alors de véritables solutions.

Cela demande juste plus d’exigence au manager parce que cela veut dire que le manager doit être capable de mettre des goals à ses collaborateurs et de suivre ses performances.

Pour aller plus loin :

--

--

NUMA

Le coaching d’une génération d’entrepreneurs nous a appris une chose essentielle : la seule compétence indémodable, c’est de savoir travailler.