De l’asperge à l’IA : une odyssée personnelle

Stephanie Rebecca Renverseau
4 min readSep 29, 2023

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[Article rédigé le 6 septembre 2023 par Stéphanie Rebecca Renverseau avec le soutien de l’algorithme Open AI GPT-4 pour environ 20%. Images créées avec Adobe Express, tous droits réservés, 2023].

Image générée par Stéphanie Renverseau, via adobe express, tous droits réservés, septembre 2023

Est-ce que vous avez déjà conversé avec une IA ? et quel a été votre ressenti ?

Si vous faites partie des personnes totalement convaincues, je ne peux que vous conseiller de poursuivre votre exploration, bien sûr toujours de façon responsable et éclairée. Pour les autres, cet article est pour vous.

Lors de diverses situations, j’ai été amenée à rencontrer des personnes, des entités même qui ont une réticence à l’utiliser, voire qui en font un rejet total. Et pourquoi me direz-vous ? Leurs raisons sont généralement basées sur la peur, une première expérience négative, ou simplement le manque de compréhension de son potentiel.

Et c’est marrant, parce ce qu’en préparant mon prochain atelier sur ces IA, je me suis demandé comment j’allais aborder le sujet avec les potentielles personnes réticentes dans la salle, et je me suis rendue compte que finalement, on pouvait comparer le rejet des IA à nos expériences avec … les légumes.

Laissez-moi vous raconter une histoire… Lorsque j’étais jeune, je considérais certains légumes comme des ennemis jurés. Les betteraves, les asperges et les épinards étaient le top 3 qui me donnait des frissons rien qu’à les entendre. Parce que, comme beaucoup d’entre nous, mes premières expériences avec ces légumes étaient loin d’être agréables.

Je ne me souviens pas vraiment de la première fois où j’ai goûté des betteraves. C’était probablement à la cantine de l’école, et elles étaient certainement tout sauf appétissantes. Je m’en souviens comme molles, pleines d’eau et ressemblant plus à des morceaux de plastique rougeâtre qu’à de véritables légumes. Les asperges et les épinards n’étaient pas mieux. Si bien que pendant des années, je les ai bannis de mon alimentation, me basant sur ces premières expériences.

Les arguments que je posais étaient solides, du moins le pensais-je. Mais, avec le recul, j’ai réalisé que j’avais pris une décision basée sur des expériences isolées et non représentatives. Que voulez-vous, à ce jeune âge, on revient rarement sur ses positions non ?

Image générée par Stéphanie Renverseau, via adobe express, tous droits réservés, septembre 2023

Cette réaction n’est pas si différente de celle de certaines personnes face à l’IA. Je le dis sans jugement car je ne comprends que trop bien ces sentiments, les ai moi-même ressentis. Oui, mes premières expériences avec l’IA étaient limitées, je ne comprenais pas pourquoi je n’arrivais pas à avoir des réponses “waou” comme les autres. Après une première expérience déconcertante ou décevante, il est tentant de la rejeter complètement. J’étais déçue et confuse, et je n’étais pas loin de jeter l’éponge.

Cependant, tout comme j’ai redécouvert les légumes, j’ai également redécouvert l’IA. Des années plus tard, une personne a réussi à me convaincre de regoûter à ces légumes, cette fois-ci correctement préparés, pour tout vous dire : cuisinés maisons.

Peut-être que ça ne vous étonnera pas, mais c’était une grande expérience pour moi avec beaucoup d’a priori et pourtant ! J’ai découvert que j’adorais les asperges avec leur finesse de goût et les épinards, bien cuisinés, sont d’une saveur douce qui n’avait rien à voir avec les algues vertes de mon enfance. Je dois cependant vous avouer que les betteraves ne font toujours pas partie de mon alimentation régulière, mais au moins, elles me sont plus tolérables.

C’est là que j’ai compris l’importance de donner une seconde chance, de ne pas se fier à une seule expérience. De ne pas juger un livre à sa couverture comme on dit, ou un légume à sa première dégustation… De la même manière, j’ai donné une seconde chance à l’IA. J’ai été accompagnée bien sûr et j’ai pris le temps de comprendre comment elle fonctionne et comment l’utiliser efficacement. J’ai découvert que l’IA pouvait être un outil précieux. Elle a le potentiel de transformer notre façon de travailler, d’apprendre et de communiquer.

Ce que je souhaite faire comprendre aux lecteurs, c’est que ce n’est pas parce qu’une première expérience a été décevante, ou parce que vous ne voyez pas en quoi l’IA peut vous être utile, ou encore parce que son potentiel est aussi puissant que sa dangerosité, vous devez vous arrêtez là. Je pense que l’IA n’est qu’un outil, ce qu’elle devient dépend uniquement de ce qu’on en fait.

C’est pourquoi je vous invite à donner une seconde chance à l’IA, tout comme j’ai donné une seconde chance aux asperges. Ne vous laissez pas décourager par une première expérience négative. Prenez le temps de comprendre comment l’IA fonctionne et quelles sont ses potentialités. Qui sait ? Vous pourriez être agréablement surpris.

Si vous ne savez pas par ou commencer, je vous propose ici un rapport gratuit sur l’IA qui contient également un tutoriel pour vous accompagner lors de vos premiers (?) pas. Et si vous souhaitez aller plus loin, je serai ravie de vous aiguiller.

À très bientôt.

[Article rédigé le 6 septembre 2023 par Stéphanie Rebecca Renverseau avec le soutien de l’algorithme Open AI GPT-4 pour environ 20%. Images créées avec Adobe Express, tous droits réservés, 2023].

J’espère que cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager avec le monde entier !

En termes clairs

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