Pourquoi j’ai investi dans Blade, le créateur de Shadow

Ulrich Rozier
3 min readDec 14, 2017

--

Qui suis-je ? Ulrich Rozier. Depuis 2012, mon métier est de développer des marques média, comme FrAndroid et Numerama, et je co-dirige un groupe média, Humanoid. Pour ça, je me suis entouré de personnes talentueuses qui partagent (au moins) une chose en commun avec moi : la passion des nouvelles technologies et de l’innovation. Je baigne dedans et j’aime ça.

J’avais entendu parler de Shadow à quelques reprises, lorsque les journalistes de Numerama et FrAndroid revenaient enthousiastes des premiers tests. Qu’est-ce que c’est Shadow ? Shadow est l’ordinateur du futur, et ce qu’ils font est ambitieux et prétentieux. Ils veulent remplacer les PC, tablettes, smartphones… que nous connaissons tous aujourd’hui. Par quoi ? Justement.

Les rencontres sont comme le vent

Les rencontres dans la vie sont comme le vent, certaines vous effleurent juste la peau, d’autres vous renversent. Ce n’est pas une déclaration d’amour, mais le démarrage de cette aventure a été ma rencontre avec Emmanuel Freund. Co-fondateur et Directeur Général de Blade. Il est non seulement intelligent, créatif et ambitieux, mais il est aussi marrant. L’une des choses les plus impressionnantes à propos d’Emmanuel est sa conviction de l’inévitabilité du succès de Shadow. Dès notre première rencontre, il m’a parlé avec passion de l’ordinateur du futur et n’a eu besoin d’évoquer longtemps sa feuille de route (tournant autour de l’acquisition de millions d’utilisateurs, et même de milliards) pour me convaincre. Ce n’était pas un plan d‘investissement, mais plutôt une croyance profonde et authentique dans ce qu’il construit.

Pourquoi j’ai investi dans Shadow ?

J’ai donc décidé d’investir dans Shadow à ce moment-là. Pourquoi j’ai investi dans Shadow ? Simple. Parce que c’est difficile, innovant et inspirant.

Parce que c’est difficile, innovant et inspirant.

J’ai investi comme quelqu’un qui croit profondément dans quelque chose. Comme ces pionniers du Bitcoin, ces gens qui ont compris la technologie et la philosophie derrière, et qui l’achètent quand elle est ignorée et sans aucune valeur — “ça ne marchera jamais”, “d’autres se sont déjà plantés”, “c‘est impossible’”.

Évidemment, ce n’est pas qu’une histoire humaine. Shadow débarque dans un environnement global qui soutient sa croissance avec l’écosystème dont il a besoin pour se développer. Les États investissent des milliards d’euros/dollars/cequevousvoulez dans le développement de la fibre optique et des réseaux sans fil de nouvelle génération. Les usages explosent dans tous les secteurs. Nous y sommes. Ce qui se passe est passionnant.

Deux principes essentiels

Si je décide aujourd’hui d’annoncer ma participation dans Blade (Shadow), c’est par honnêteté et éthique professionnelle. En tant que fondateur d’un groupe média, j’ai deux principes essentiels : la recherche d’indépendance des rédactions et la nécessité de transparence. Depuis mars dernier, j’échange régulièrement avec les équipes de Shadow pour apporter ce que je peux apporter, avec mon point de vue et mon expérience. Les rédactions n’ont jamais été engagées dans ces activités et ont couvert les différents événements de la startup en toute indépendance. À partir d’aujourd’hui, mon investissement dans Shadow sera notifié sur tous les contenus publiés par FrAndroid et Numerama, en toute transparence.

J’aime les paris. Comme ceux qui j’ai pu faire jusqu’à maintenant, avec FrAndroid, Numerama, Humanoid Content, Sidereo, mais aussi avec toutes les personnes qui m’entourent au quotidien.

Je n’arriverai sans doute pas à vous convaincre que Shadow est l’avenir avec ce simple article. Par contre, contactez-moi : je vous montrerai à quoi ça ressemble et on en parlera autour d’un café (ou sur Twitter).

Certains d’entre vous vont arriver là depuis ma page Facebook, j’imagine que vous n’avez pas tout compris. N’hésitez pas à me contacter pour en discuter, néanmoins je vous invite (pour commencer) à lire les articles de Numerama, FrAndroid mais aussi à regarder la vidéo de Jérôme (Nowtech).

--

--