Ça commence par nous : 1 an après

Eva Deniel
AssoConnect
Published in
13 min readMar 2, 2020

Un an après avoir partagé notre volonté de réduire l’impact écologique d’AssoConnect, notre équipe revient pour un bilan.

La réflexion sur le sens et l’utilité de notre entreprise s’est notamment traduite, sur le volet écologie, par la création en interne d’une “team planet”. 🌍

La composition de la team Planet

Cette équipe transverse a pour mission d’accentuer le rythme du changement dans l’entreprise. Elle regroupe des membres volontaires de différentes équipes (tech, commerciale, marketing, finance, etc.) qui se réunissent deux fois par mois pour réfléchir à des actions.

Tous les deux mois, la team planet présente à l’ensemble des salariés d’AssoConnect le bilan des actions menées dans l’intervalle et celles à venir. A chaque itération, une thématique différente est adressée : zéro déchet, énergie, numérique, sensibilisation, etc.

La ligne directrice de cette team est claire : il s’agit de réduire le bilan carbone de l’entreprise, et non de culpabiliser/pointer du doigt les habitudes de consommation de chacun hors du travail. Néanmoins, les actions positives menées au sein d’AssoConnect ont eu tendance à influencer les comportements individuels de certain.e.s d’entre nous. Cet effet de résonance est l’un des nombreux points positifs que nous avons constatés.

D’ailleurs, parlons-en ! Voici le détail des actions concrètes que nous avons mises en place jusqu’ici avec, pour chacune, son état actuel (en place ✅ / en cours ⏳/ abandonné ❌) et une évaluation sur la difficulté de mise en place (facile 👍/ délicat 💪/ impossible 👎).

Au programme :

I. Zéro déchet

  1. Les bols pour éviter les emballages du déjeuner
  2. Les couverts pour arrêter d’en demander des jetables
  3. Les corbeilles de fruits pour éviter les snacks
  4. Les torchons pour remplacer les serviettes en papier des toilettes
  5. Le tri des déchets
  6. Les gourdes pour arrêter les bouteilles plastique
  7. Des fournisseurs de thé et café plus responsables
  8. Une bouilloire pour réduire la consommation d’électricité
  9. Une braderie pour limiter l’achat d’objets neufs
  10. Un ménage plus responsable
  11. Dons à la ressourcerie

II. Energie

  1. Le fournisseur d’électricité
  2. Les ampoules
  3. Le chauffage
  4. Le dégivrage régulier du frigo

III. Numérique

  1. Recours quasi-systématique à BackMarket
  2. Communication autour des usages numériques

IV. Sensibilisation

  1. Présentation de la team planet à l’équipe
  2. Création d’un channel Slack dédié au partage d’initiatives
  3. Vidéos de sensibilisation
  4. Création d’affiches pour le bureau
  5. Ateliers/formations menées par un tiers

V. Séminaires

  1. Choix des destinations
  2. Achat des repas
  3. Ateliers de sensibilisation

Hors écologie, sur le volet impact social :

  1. Don du sang
  2. Demi-journée de bénévolat

Ready ? C’est parti !

I. Zéro déchet

1. Les bols pour éviter les emballages du déjeuner

Etat : | Difficulté : 👍

Chaque midi, les trois quarts de l’équipe AssoConnect sortent acheter leur déjeuner dans le quartier du Sentier. Résultat : des sacs, couverts et contenants en plastique/carton à foison. Pour limiter cette production journalière de déchets, nous avons acheté une dizaine de tupperwares en verre avec couvercles. Une communication a été faite en interne sur l’arrivée des bols et, rapidement, nous avons dû en acheter beaucoup plus : la majorité de l’équipe a pris le pli et ne sort désormais plus sans son bol.

Effet positif ricochet : plusieurs commerçants, au départ réticents en nous voyant débarquer avec nos bols, s’y sont finalement habitués et adaptent les quantités servies à la taille de nos tupperwares. Un pas en avant vers le zéro déchet !

2. Les couverts pour arrêter d’en demander des jetables

Etat : | Difficulté : 👍

Dans la même logique, nous sommes allés à la ressourcerie la plus proche pour nous ravitailler en couverts : à bas les cuitochettes en plastique !

3. Les gourdes pour arrêter les bouteilles plastique

Etat : | Difficulté : 💪

Si les bénéfices de ce changement sont évidents, sa mise en place l’est un peu moins et a suscité différents questionnements :

  • met-on les gourdes en libre-service ou les attribue-t-on individuellement ?
  • comment faire pour que les personnes qui en possèdent déjà une ne se sentent pas lésées de ne pas se voir proposer la gourde AssoConnect ?
  • quel est le meilleur rapport qualité-prix pour des gourdes qui ne soient pas en plastique à acheter pour 45 personnes ?

Résultat : après un sondage interne, nous avons décidé d’en fournir à ceux qui en expriment l’utilité. Nous verrons comment la situation évoluera naturellement. To be continued !

4. Les corbeilles de fruits

Etat : | Difficulté : 💪

Pour concurrencer les snacks, paquets de cookies et autres goûters entourés de plastique, nous avons introduit des paniers de fruits hebdomadaires. Le challenge a été de trouver des fournisseurs proposant des fruits à la fois locaux, bio et de saison, à un prix raisonnable : pas facile !

Après un benchmark exhaustif, nous avons opté pour La Ruche Qui dit Oui qui, en plus de remplir les critères précédents (sauf l’aspect local, pas toujours possible), embauche ses préparateurs de commandes et livreurs en CDI et fait appel à un service de transport responsable en cas d’afflux important de commandes (Ecolotrans).

Chaque lundi, nous recevons désormais 6 kilos de fruits. Le succès est tel qu’il n’en reste quasiment jamais en fin de semaine !

5. Les torchons pour remplacer les serviettes en papier des toilettes

Etat : | Difficulté : 👎

Belle idée sur le papier (vous l’avez ?)… Mais qui pose deux problèmes pratiques :

  • dépend de la motivation de l’équipe à laver régulièrement les serviettes (sans avoir de machine à laver dans les bureaux, c’est compliqué)
  • conséquence si ce n’est pas fait : l’image pour nos associations qui viennent dans nos bureaux et l’inconfort pour les salariés d’avoir des torchons sales au quotidien.

Impact : nul. L’équipe revient naturellement à l’utilisation du papier. Nous sommes donc revenus aux serviettes jetables en incitant l’équipe à n’utiliser qu’une feuille pour se sécher les mains et en achetant auprès d’un fournisseur qui fait du papier recyclé.

6. Le tri des déchets

Etat : | Difficulté : 💪

Pierre angulaire de la thématique du zéro déchet, le tri était un sujet central à mettre en place pour la team planet. Concrètement, nous avions déjà différentes poubelles à cet effet, mais dans les faits le tri était très mal effectué.

Affiches de sensibilisation, rappel des règles de tri affichées au-dessus des poubelles, présentation du sujet à l’équipe (règles de tri, chiffres liés au tri des déchets, fonctionnement d’un centre de tri…) : la team planet a rempli son devoir de sensibilisation !

Néanmoins, le tri reste encore imparfait et des rappels réguliers ont besoin d’être faits. C’est un changement d’habitudes lent et donc in progress.

7. Des fournisseurs de thé et café plus responsables

Etat : | Difficulté : 👍

Chez AssoConnect comme dans n’importe quelle autre entreprise, la consommation de thé et surtout de café est plutôt impressionnante. Nous sommes conscients que ces produits ne sont pas écolos et tendons vers des marques éthiques pour limiter les dégâts. De plus, nous commandons toujours de grandes quantités pour restreindre les emballages. Finis les thés en sachets sous plastique, bonjour le thé en vrac !

8. Une bouilloire pour réduire la consommation d’électricité

Etat : | Difficulté : 👍

Cela peut sembler trivial, mais … Combien de litres d’eau utilise-t-on au bureau chaque jour ? Ou plutôt, combien de litres sont gâchés et finissent dans l’évier parce que l’eau croupit depuis plusieurs heures ? Pire encore, combien de fois relance-t-on la bouilloire dans la journée, pour chauffer 1L alors qu’on n’en versera pas la moitié dans sa tasse, et alors même que cette eau a déjà été chauffée plusieurs fois par les collègues ?

Parce qu’il était à notre portée d’agir sur ce critère, nous avons donné notre bouilloire à la ressourcerie et opté pour une bouilloire plus grande (5L) qui garde l’eau chaude à basse consommation d’énergie. Résultat immédiat : plus de gâchis d’eau et surtout la bouilloire est mise en route 1 ou 2 fois par jour uniquement. Une vraie (petite) victoire !

9. Une braderie pour limiter l’achat d’objets neufs

Etat : | Difficulté : 💪

Moules à gâteaux, vêtements, livres, matériel informatique, bijoux… Le temps d’une soirée, les échanges entre collègues ont bien fonctionné. Le reste des objets a été emmené le lendemain à la ressourcerie du quartier.

Les salariés ont reçu deux semaines avant l’événement un message et une invitation par e-mail listant tous les objets qui pouvaient être amenés pour la braderie (nous avons volontairement écarté les meubles pour plus de simplicité) et nous avions prévu un apéro zéro déchet pour accompagner les échanges.

Résultat : du travail pour l’équipe organisatrice, mais un beau moment de partage et de rassemblement pour l’équipe. Combo gagnant ! Une marge de progression subsiste néanmoins sur un point : convaincre plus de personnes d’apporter des dons. Beaucoup avaient oublié ou avaient tout simplement eu la flemme de faire un tri et d’apporter des gros sacs au bureau. Work in progress !

10. Un ménage plus responsable

Etat : | Difficulté : 👍

Une partie de l’équipe AssoConnect est adepte de la fabrication maison des produits ménagers. Ni une ni deux, la team planet a voulu étendre cette logique au bureau, où les produits utilisés étaient chimiques toxiques à la fois pour l’humain et pour la planète.

Avec l’accord d’Aurore, notre super agent d’entretien, nous n’utilisons désormais plus que des produits naturels : vinaigre, citron et bicarbonate.

Les idées reçues sur leur forte odeur ou leur inefficacité n’ont pas résisté bien longtemps : les bureaux sont toujours aussi propres, et l’air plus respirable !

Promouvoir des produits naturels pour le nettoyage c’est aussi penser à la santé des salariés, des clients et du personnel qui travaille dans nos locaux.

11. Dons à la ressourcerie

Etat : | Difficulté : 👍

Une partie de l’équipe est désormais familière de la ressourcerie du quartier et organise des collectes de dons environ tous les deux mois.

Les ressourceries sont des lieux où sont collectés tous les objets et matériaux donné par des personnes n’en ayant plus le besoin. C’est à la fois un centre :

  • de récupération,
  • de valorisation et réparation si besoin,
  • de revente à des prix minis, accessibles à tous,
  • d’éducation à l’environnement.

Bonne nouvelle, il y en a partout en France, et surtout dans de nombreux quartiers parisiens. Petite astuce pour mettre cela en place, prévoyez un grand carton où chaque personne de l’équipe peut venir déposer les objets, vêtements, matériel, etc. dont il ou elle veut se débarrasser.

II. Energie

1. Le fournisseur d’électricité

Etat : | Difficulté : 👎

Condition indispensable pour pouvoir mettre en place cette mesure dans les locaux : avoir la main sur le choix du fournisseur d’électricité. Dans notre cas (location), le propriétaire, qui a choisi un fournisseur d’électricité standard pour l’ensemble de l’immeuble, ne nous permet pas d’en changer.

Nous avons donc abandonné le projet jusqu’à l’emménagement dans nos prochains bureaux.

2. Les ampoules

Etat : | Difficulté : 👍

Nombreuses sont les ampoules qui ne sont pas LED® dans nos locaux, et les remplacer quand elles seront en fin de vie par des ampoules à basse consommation est une action simple et moins coûteuse que de changer tous les luminaires. Notre conseil : prévoir un stock d’ampoules basse consommation plutôt que chercher à changer toutes les lumières d’un seul coup.

3. Le chauffage

Etat : | Difficulté : 👎

Avoir la main sur le réglage du chauffage s’est avéré bien plus facile à dire qu’à faire. Dans nos bureaux actuels le chauffage est central, il est donc impossible de le régler et nous nous retrouvons souvent en t-shirt à l’intérieur en hiver…

L’accès au réglage du chauffage est devenu un critère de choix pour nos futurs bureaux.

4. Le dégivrage régulier du frigo

Etat : | Difficulté : 👍

Tout est dans le titre ! La seule difficulté de cette mesure est… de se motiver. Généralement, nos valeureux volontaires s’en occupent à deux pour briser la glace (pardon).

III. Numérique

1. Recours quasi-systématique à BackMarket

Etat : | Difficulté : 👍

Tous nos achats de téléphones portables, casques et même bouilloire passent désormais systématiquement par le site Backmarket.fr. Nous sommes satisfaits des produits achetés et de la réactivité de leur service client. De plus, malgré les différents fournisseurs, BackMarket s’est engagé à nous fournir toutes les factures sous 48h maximum.

Seul bémol : nous n’y trouvons pas toujours les modèles recherchés, pour les ordinateurs de notre équipe technique par exemple.

2. Communication autour des usages numériques

Etat : | Difficulté : 💪

Les émissions de CO2 générées par les mails et leurs pièces jointes, les GIF dans Slack, les vidéos YouTube en HD simplement pour écouter une chanson, les différences écologiques entre les moteurs de recherche… Sont autant de points sur lesquels la team planet a fait de la pédagogie auprès du reste de l’équipe. Néanmoins, les habitudes sont bien ancrées et les changements lents à constater.

Il en va de même pour les multiprises et les écrans d’ordinateurs à éteindre le soir… Nous ne sommes pas encore irréprochables, mais nous y travaillons !

IV. Sensibilisation

1. Présentation de la team planet à l’équipe

Etat : | Difficulté : 👍

Comme pour chaque team transverse créée chez AssoConnect, une présentation en bonne et due forme a été faite au reste de l’équipe pour expliquer les objectifs de ce groupe, qui existe depuis août 2019. Depuis, de nouvelles personnes l’ont rejoint et d’autres en sont parties pour s’investir ailleurs, ce qui permet de renouveler les idées et la motivation de chacun.

La team planet est évidemment ouverte à toutes les suggestions et le partage d’idées se fait de manière naturelle et spontanée.

2. Création d’un channel Slack dédié au partage d’initiatives

Etat : | Difficulté : 👍

L’idée ? Avoir un réservoir d’inspirations positives et de bonne humeur pour informer les salariés sur les thématiques écologiques et donner envie d’agir.

On vous voit venir d’ici : “On est déjà assommés par les chaînes sur Slack, il y en a trop !”. Certes. Mais ce choix de format présentait plusieurs avantages indéniables :

  • il est facile d’y partager du contenu, sans besoin de mise en forme particulière : rapide et efficace
  • on ne la consulte que si on le souhaite : aucune obligation
  • Slack est déjà utilisé par toute l’équipe : on réduit ainsi le nombre d’outils et de supports où l’information est partagée : efficacité.

En moyenne, deux publications par semaines sont partagées : ni trop, ni trop peu ! Le format fonctionne très bien jusqu’ici et nous en sommes satisfaits.

3. Vidéos de sensibilisation

Etat : | Difficulté : 💪

À l’occasion de la mise en place de tote bags dans l’entreprise (pour faciliter le transport du déjeuner), nous avions réalisé une courte vidéo mettant en scène l’une de nos collègues pour expliquer de manière fun et ludique l’intérêt des tote bags.

Le format vidéo avait beaucoup séduit et davantage marqué les esprits qu’un énième Powerpoint. Seulement, le temps nécessaire à la réalisation (écriture, tournage, montage) n’est pas négligeable et nous n’avons pour le moment pas renouvelé l’expérience. Ce n’est que partie remise (…au 15 août par exemple, quand le rythme de travail est plus calme) !

4. Création d’affiches pour le bureau

Etat : | Difficulté : 👍

Depuis que nous en avions créé pour inciter l’équipe à passer l’éponge sur la table après déjeuner et faire la vaisselle en partant le soir, nous sommes convaincus par que ce “nudge” est efficace !

Du coup, nous avons réfléchi à plusieurs slogans qui seront prochainement affichés sur de beaux posters créés par notre équipe design. À notre sens, c’est une manière sympa de personnaliser nos bureaux avec de la déco colorée, homemade et sensibilisante.

Pour vous donner des idées, en voici quelques exemples (en anglais, car notre team est composée de Français et d’anglophones (UK, USA, Canada)) :

  • Refuse it if you won’t use it
  • Don’t hide, join the green side
  • Turn off the lights, it’s not Versailles
  • First turn off, then take off

5. Ateliers/formations menées par un tiers

Etat : | Difficulté : 💪

Depuis longtemps, nous souhaitons faire venir des intervenant.e.s extérieur.e.s pour faire une formation/atelier auprès de notre équipe sur une thématique verte. À ce stade, nous en avons contacté plusieurs mais rien n’a encore abouti pour des raisons à la fois de timing et de finances. Néanmoins, nous allons persister et trouver l’intervenant.e idéal.e !

V. Séminaires

1. Choix des destinations

Etat : | Difficulté : 👍

Trois fois par an, nous organisons des séminaires d’équipes de deux jours à une semaine. Nous avons instauré une règle stricte : les seuls moyens de transports éligibles sont les trains ou les voitures. Exit les avions ! Cela restreint l’éventail des destinations possibles, mais nous trouvons toujours notre bonheur dans un coin de la France.

Bonus : notre équipe grandissant à vue d’oeil, nous avons souvent le privilège d’avoir des compartiments de train presque entièrement pour nous ! Ambiance colo de vacances garantie.

2. Achat des repas

Etat : | Difficulté : 👎

Difficile de n’effectuer que des courses bio et locales lorsque l’on part en séminaire. Plusieurs raisons à cela :

  • le budget
  • la logistique : pour optimiser le temps sur place, nous faisons nos courses en ligne en amont et les récupérons au Drive sur place. Cela implique de passer par des enseignes de grande distribution, qui proposent peu de bio/local et beaucoup d’emballages.

À ce jour, nous sommes bloqués sur ce sujet et essayons de notre mieux de compenser en achetant des produits frais (fruits/légumes/fromages) au marché sur place. De plus, nous préparons des menus en amont afin d’éviter le gâchis de nourriture.

3. Ateliers de sensibilisation

Etat : | Difficulté : 👍

Nous réfléchissons à des thématiques d’ateliers à mettre en place pour sensibiliser l’équipe à des sujets relatifs à l’écologie et au développement durable.

Lors de notre dernier séminaire, en Normandie, nous avions visité la brasserie bio d’un brasseur de bière locale qui nous avait informés sur l’économie locale, l’importance des circuits courts et la culture du bio. Comme quoi, on peut tout à fait joindre l’utile à l’agréable !

VI. L’Impact social

Au-delà de l’impact écologique, nous veillons également à notre impact social. Sur ce volet, nous partageons avec vous deux aspects notables :

1. Systématiser le don du sang

Etat : | Difficulté : 👍

Sur un channel Slack dédié, des sorties “don du sang” s’organisent spontanément plusieurs fois par an, sur le temps du déjeuner. Simple, gratuit et nécessaire.

2. La demi-journée de bénévolat

Etat : | Difficulté : 💪

Puisque la mission d’AssoConnect est d’aider un maximum d’associations à changer le monde, il semblait assez naturel de mettre en place une mesure significative en faveur de l’engagement associatif.

Une demi-journée de bénévolat mensuelle est donc proposée à chaque salarié. Cela permet aux nombreuses personnes de l’équipe déjà bénévoles de conserver leur engagement, et pour les autres de se lancer, de tester. Rien de plus simple, il suffit de prévenir son manager en amont. Et pour l’inspiration… avec les 10 000 associations que l’on accompagne, nous n’avons que l’embarras du choix !

Il nous reste du progrès à faire pour aider les salariés à trouver une cause qui les touche mais une équipe transverse est en train de se monter pour améliorer l’accompagnement sur ce sujet.

Durant l’année écoulée, chaque pas fait dans la direction d’une entreprise plus responsable et porteuse de sens a été pour nous un précieux succès. À notre échelle, nous allons continuer d’avancer et d’élargir nos réflexions. Nous avons conscience qu’il nous reste énormément de sujets à traiter, dont certains plus profonds, stratégiques et compliqués à mettre en place. Par exemple :

  • Comment gérer l’internationalisation ?
  • Comment optimiser notre logiciel AssoConnect pour qu’il soit le moins polluant possible ?
  • Comment mettre en place une comptabilité verte ?
  • Comment développer AssoConnect sans détériorer notre impact carbone ?

Nous n’en sommes qu’au début ! Comme lors de notre précédent état des lieux, nous serions très heureux que ces billets puissent faire émerger des réflexions, déclenchent des échanges, des rencontres et pourquoi pas la création d’un mouvement plus grand.

À nous, entreprises à mission, de donner l’impulsion !

Après tout : ça commence par nous.

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