Tout ce qui ne ne nous tue pas, un livre de Scott Carney

A la découverte de notre extraordinaire potentiel

Hugo C.
Auto Thérapeute
5 min readApr 27, 2020

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Mise à jour importante en septembre 2018 : Les manuels de médecine américains de troisième année ont été mis à jour pour enseigner aux étudiants que les humains ont le pouvoir de puiser consciemment dans leur système immunitaire. Mes amis, c’est la fin de toutes les maladies chroniques ! C’est vraiment un moment historique, en voici le compte rendu.

source : Le secret de l’immunité — 9 min

Scott Carney est un journaliste d’investigation et un anthropologue qui apporte des études scientifiques pertinentes et des expérimentations personnelles pour comprendre et démystifier les affirmations de “l’homme des glaces” (Wim Hof).

L’homme des glaces prétend être capable de puiser consciemment dans son système autonome, ce qui contredit les connaissances scientifiques établies.

L’enjeu est énorme car si l’Homme des glaces a raison et qu’il est capable d’enseigner cela aux autres, la guérison vient de se doter d’une nouvelle arme redoutable pour combattre toutes formes de pathologies auto-immunes, et ce ne sera pas joli joli pour les industries pharmaceutiques et diététiques.

Je n’ai aucun lien commercial avec ce livre, mais je le recommande pour vous ouvrir l’esprit d'une manière "occidentalement acceptable" sur les super-pouvoirs cachés de notre corps.

Veuillez acheter ce livre car il fournira de nombreux détails supplémentaires qu’il serait injuste pour l’auteur ou l’éditeur de dévoiler ici. Ce livre vous permettra de reconnecter votre âme à votre corps et au monde qui vous entoure.

Attention, ne pas continuer à lire si vous préférez découvrir le livre sans "Spoilers"

En effet, ce que M. Carney constate, c’est que les affirmations de l’homme des glaces sont vraies et confirmées par la recherche médicale. La littérature médicale est en cours d’actualisation dans le monde entier à l’heure où nous parlons. Cela prendra du temps.

Extraits aléatoires du livre

Le secret pour pénétrer dans notre biologie est aussi simple que de quitter nos zones de confort et de chercher juste assez de stress environnemental pour nous rendre plus forts. L’exposition au froid aide à reconfigurer le système cardiovasculaire et à combattre les dysfonctionnements auto-immuns. C’est aussi une méthode assez efficace pour perdre du poids tout simplement.

Ce sont toutes des choses que j’ai vues en moi-même et chez des centaines d’autres personnes qui ont eu la volonté d’approfondir leur propre physiologie évolutive. Mais ce qui est plus profond encore, c’est la compréhension intrinsèque du fait que les humains ne sont pas seulement des corps délimités par la barrière de leur peau : nous faisons partie de l’environnement dans lequel nous vivons.

Le froid vous oblige à utiliser plus d’énergie. C’est comme un entraînement passif de faible intensité pour l’ensemble de votre système cardiovasculaire.

Les recherches (…) indiquent que l’exposition au froid augmente les mitochondries dans tout le corps ; ce qui signifierait une plus grande puissance aérobie globale

Les résultats positifs sont d’autant plus impressionnants que ma véritable routine d’entraînement n’a pas changé plus radicalement que l’ajout de douches froides et de séances de respiration matinales.

(…) Je pense que les raisons qui expliquent l’amélioration des résultats vont bien au-delà de la simple exposition au froid et des exercices de respiration. Elles découlent d’une connexion profonde que je suis en train de former avec le monde qui m’entoure.

Chaque terminaison nerveuse qui relie notre peau à notre cerveau aspire à comprendre le monde qui l’entoure afin d’aider à prendre des décisions appropriées sur la meilleure façon de continuer à vivre. La plupart de ces signaux se produisent en dessous de notre compréhension consciente, dans les relais de nos structures cérébrales les plus proches du cerveau reptilien. Ces voies sont la programmation qui a été transmise à travers d’innombrables générations d’ancêtres depuis la conception même des mammifères.

La relation biologique entre la vie et son environnement est le plus ancien transfert de connaissances qu’un être humain puisse connaître. Elle est tellement ancrée dans notre être que le langage de la programmation évolutive n’est pas une pensée, mais un sentiment : un frisson, un afflux de sang ou un éveil des sens.

Il y a tout juste cent ans, la plupart d’entre nous connaissaient le langage du frisson. Mille ans auparavant, notre corps suivait le rythme des saisons. Dix mille ans ou plus auparavant, notre espèce migrait entre les continents sur des radeaux d’algues et surmontait les montagnes avec à peine plus que des peaux d’animaux et des semelles de cuir. Ces ancêtres ne se considéraient probablement pas du tout comme différents de l’environnement. Ils savaient ce que nous apprenons encore aujourd’hui. Que nous sommes tous là, tout simplement. Que nous survivons. Ensemble.

Même si nos systèmes nerveux ont soif de connexion avec le monde dans lequel ils ont évolué, la tendance de l’ère moderne est de penser que l’humanité est fondamentalement différente de tout le reste. Nous nous obstinons à limiter notre perception de nous-même à notre corps, nos biens, notre ligne de parenté et nos profils de médias sociaux ; et ainsi nous tenons le reste de la planète à distance. L’effet combiné de milliards de personnes partageant le même état d’esprit atomiste a fait dérailler le monde.

(…) nos corps se sont affaiblis parce que nous nous sommes accrochés au confort et avons utilisé nos gadgets pour apaiser notre soif intérieure de vivre en harmonie avec notre environnement, les modifications que nous avons apportées à la planète par la technologie ont miné son équilibre fondamental.

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Hugo C.
Auto Thérapeute

Quelle triste époque où il est plus facile de briser un atome qu’un préjugé ou une croyance. ― A. Einstein