Est-ce nécessaire de manger 3 fois par jour?
Qui est le Docteur Yoshinori Nagumo?
Dans son livre Un jour. Un repas : La méthode japonaise pour être en forme, prévenir les maladies, et rajeunir, le Docteur Yoshinori Nagumo raconte comment nous nous sommes retrouvés à manger 3 fois par jour et comment cela est en fait un fléau pour la santé publique, et un véritable danger pour la survie de la dernière espèce humaine, homo sapiens sapiens.
Ses études universitaires ont été centrées autour des thérapies contre le cancer. Sa clinique est spécialisée dans le traitement du cancer du sein et dans la santé du sein en général.
L’aspect physique de Nagumo est très vendeur
Il est intéressant de souligner que Nagumo a plus de soixante ans (né en 1955), et en parait moins de quarante.
Le lecteur est invité à consulter le billet “Faire 20 ans de moins, naturellement !” pour connaître le style de vie à suivre, tel que défini dans son livre “Un jour, Un repas”.
Dans ce livre, il décrit son combat personnel contre le surpoids (+20kg par rapport à son Index de Masse Corporelle) et la malbouffe, tous deux liés au stresse de la reprise de la clinique familiale lorsque son père est parti en retraite. C’est à ce moment, dès ses 38 ans, qu’il se sert de son propre corps comme “cobaye” pour développer la méthode “Un jour. Un repas.”.
Son but est que chacun qui la pratique puisse retrouver, sans compter les calories et sans restrictions, son poids naturel, une silhouette juvénile, des cheveux et une peau de qualités, car sa conviction fondamentale est que ces critères, à priori “artificiels”, sont en réalité le miroir de la santé des organes et autres systèmes internes au corps.
Il finit par expérimenter sa technique avec d’autres sujets humains, mais tout bon scientifique qu’il est, deux doutes cruciaux l’empêchent de publier:
- Comment est-il possible de ne pas souffrir de malnutrition en ne mangeant qu’une fois par jour?
- La méthode peut-elle être déployée au reste du monde sans mettre quiconque en danger de malnutrition?
C’est lorsque les études internationales démontrent l’existence et les rouages de la sirtuine lors de tests sur des macaques qu’il se décide à publier.
Voici un extrait de ce livre qui m’a ouvert à la puissance naturelle du jeûne thérapeutique et intermittent. Ceci est une traduction automatique, donc il peut y avoir des passages ou des expressions quelque peu bizarres mais compréhensibles après tout, un peu comme si l’I.A. qui avait traduit ça était belge ou canadien et qu’il serait marrant pour un français d’entendre son accent ou son vocabulaire vétuste. Ne nous laissons pas distraire pour autant du message que ce texte véhicule…
«Le gène de la force vitale : la clé de la survie de l’homme
Trois repas par jour : la chose la plus normale au monde ! La grande majorité des citoyens au Japon le pense et n’en douterait probablement jamais.
Cependant, si nous examinons l’histoire depuis que nos ancêtres sont apparus il y a cent soixante-dix mille ans, que l’homme fasse trois repas par jour, jusqu’à ce qu’il soit complètement rassasié, est un comportement qui ne se produit pas depuis plus de quelques décennies. Quel que soit le nombre, il n’atteindra pas le siècle, c’est-à-dire que cela se fait depuis très peu de temps.
Au Japon, c’est le cas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, lorsque le pays est sorti de la dévastation et a atteint une forte croissance économique ; en d’autres termes, il était impensable pour un citoyen ordinaire de manger à sa faim avant et pendant la guerre. La réalité était qu’il était habituel de ne pas pouvoir manger trois fois par jour, et encore moins de se rassasier. De cette situation est né, je suppose, le mythe selon lequel le secret de la santé est de manger suffisamment de nutriments.
D’autre part, manger à des heures prédéterminées est une coutume qui a été établie depuis le début de la culture. En Chine, la culture du sol a commencé vers l’an 2000 avant J.-C., ce qui signifie qu’il n’a pas plus de quatre mille ans. Les cent soixante-six mille ans avant cela, nous étions des chasseurs, et s’il n’y avait pas de proie, nous pouvions passer des jours sans goûter une bouchée.
Même depuis le début de l’agriculture, tout au long de l’histoire et dans tous les coins du monde, les famines ont été causées à maintes reprises par des catastrophes naturelles, des épidémies et le changement climatique. En d’autres termes, nous pourrions dire que l’histoire de l’humanité a été une lutte constante contre la faim et nous n’aurions pas tort.
La famine existe encore aujourd’hui, bien que ce ne soit pas au Japon, en Europe ou aux États-Unis, mais dans la plupart des régions du monde où la malnutrition et la dénutrition continuent de sévir, notamment en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud.
La faim est “la situation dans laquelle nous sommes incapables de maintenir le poids minimum pour notre taille et d’absorber un nombre minimum de calories pour les activités de base”.
En raison de catastrophes naturelles, d’épidémies et de conflits qui se prolongent dans le temps, ou de l’extrême pauvreté, de nombreuses personnes ne peuvent même pas manger le minimum nécessaire.
Cependant, les pays qui souffrent le plus de la famine ont également un taux de natalité plus élevé. Dans les pays développés qui semblent à première vue plus heureux, parce qu’ils ont le privilège de la satiété alimentaire, le taux de natalité est extrêmement bas et la population diminue. Dans le monde animal, on parle d’”espèces en voie de disparition”. Si cela continue, les chiffres indiquent que dans quelques milliers d’années, seule la population des régions souffrant de la faim restera sur la surface de la Terre.
(…)»
Fin de l’extrait
Donc, là où on mange à sa faim, on se reproduit moins. Tiens tiens : c’est étonnant tout de même ; il semblerait que les « crève la dalle » ne semblent pas avoir de problèmes à se reproduire ; il semblerait même que se serait le contraire.
Mais comment ? Si je ne mange pas assez, je ne devrais pas pouvoir être porteur de “graines” fertiles…si j’étais dénutriti, je ne devrais pas pouvoir semer (pour l’homme qui devrait être stérile) ni recevoir la vie et encore moins être en mesure de la nourrir jusqu’à sa naissance (pour la femme qui n’aurait point de nutriments à transmettre au fétus qui tire sur la paille, le cordon, comme un assoiffé pour se développer)…
On pourrait aussi explorer ça sous un autre angle : si je sais que manger 3 fois par jour est bon et nécessaire pour ma santé, pourquoi sommes-nous si nombreux dans nos sociétés à être malade ? Comment se fait-il que nos peuples soient vieillissant alors que « ceux qui n’ont rien » sont toujours autant de jeunes, génération après génération ? Ne devrions-nous pas, nous les « bide-plein », être plus nombreux qu’eux ? Après tout, on a des médecins, des centres de maternité, des sage-femmes, des scientifiques, nous savons et nous nous nourrissons bien, non !????
Alors, sont-ce nos styles de vie, notre culture, nos croyances, nos habitudes alimentaires, nos produits pharmaceutiques, l’air pollué, les perturbateurs endocriniens, les ondes, et les virus qui nous rendent aussi malades chez nous ?
Comment des locaux peuvent-ils se baigner dans le Gange et survivre à ça ? Que mangent-ils ? À quelle fréquence ? Quel est leurs style de vie ? Quelles sont leurs croyances ? Quelle est la nature de leur pharmacopée ? Comment se soignent-ils ? Pourquoi voit-on dans les pays « en voie de développement » tant de vieux qui soient capables de porter des charges que moi-même je trouverais pénible déjà à un âge tant moins avancé ?
Comment, pourquoi, comment ?
De l’autre côté du spectrum, du cotés de nos pays riches (d’atomes et de savoir restreint), et bien j’ajouterai en dernier rappel que ce que les expériences scientifiques menées sur les rats rapportent comme conclusion majeure est que, manger 40% en moins, les fait vivre 40% de plus !
Et quelle part du code génétique partageons-nous, nous, homo sapiens sapiens, avec les rats ? Le code génétique n’est-il pas le blueprint des instructions qui pilotent l’activation ou la désactivation des fonctions de chaque cellule qui le porte ? Si ça marche pour les rats alors, peut être que…
Si les africains meurent, ce n’est pas de malnutrition, enfin, ce n’en est qu’une conséquence, un symptôme plutôt qu’une cause, mais parce qu’on leur applique des vaccins.
Pourquoi les vaccins les tueraient-ils ? Parce que leur système immunitaire est détruit.
Mais pourquoi est-il détruit ? Parce que leurs ressources naturelles sont pillées, et celles qui restent sont polluées, etc, cela ne permettant plus à la situation naturelle de l’homme, qu’est celle d’avoir faim dans un environnement sain et abondant, d’opérer sa magie auto-réparatrice cellulaire (télomères et compagnie).
Je tiens à rappeler que l’humain est apparu sur Terre sans hôpitaux, sans supermarchés, sans bouteilles d’eau en plastique, sans médicaments, sans OGM, sans vaccins et, que si nous sommes aujourd’hui ici présents pour en parler, c’est bien la preuve que notre espèce n’a aucunement besoin de tout ça pour exister, puisque cela fait moins d’un siècle que ces dispositifs de domestication massive existent !
Mais, me direz-vous, si moi je sais ça, enfin si tout ce que j’affirme est vrai, ils, "nos grands sachants", ceux qui pilotent nos croyances, devraient le savoir eux aussi, non ? C’est que ça doit être faux alors ! Je dois avoir tort…
Et c’est quand quelqu’un parviendra à expliquer ce que sont les couleurs à quelqu’un qui est malheureusement aveugle de naissance, que les poules auront des dents…
Perso, j’ai mis trois ans à retrouver la vue qu’on m’avait ôtée à la naissance, je le répète, cela fait trois ans au moment où j'écris ce billet.
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