5 astuces pour bien observer sa glaire cervicale
Quand on débute la symptothermie c’est souvent l’aspect qui fait le plus peur, car on en a très peu, voire jamais entendu parlé auparavant et on se demande si on va vraiment y arriver. C’est tout à fait normal d’être un peu perdu au sujet de la glaire cervicale et toutes les personnes qui débutent sans exception sont passées par là. Pourtant, aujourd’hui elles se débrouillent super bien et réussissent à l’observer correctement !
Souvent, on a tendance à vouloir tout savoir et tout connaître en 5 secondes, mais ici on parle du corps humain qui n’est ni un robot, ni un livre théorique. Il n’y a donc pas de règle parfaite et applicable à 100 % de l’humanité, par contre, il existe des petites astuces qui te permettront d’enfin découvrir et comprendre la glaire cervicale et c’est ce qu’on va découvrir ensemble dans cet article.
Déchiffrer son schéma de glaire cervicale
Chaque personne a son propre schéma de glaire cervicale et il va falloir réussir à le comprendre. En un ou deux cycles c’est déjà possible de comprendre l’évolution de nos propres pertes fertiles.
Le schéma permet de voir les différents changements de glaire qui se répètent cycle après cycle. En passant de rien à une glaire sèche/pâteuse puis blanchâtre/translucide et enfin de type blanc d’oeuf cru voire pour certaines personnes à un aspect très liquide comme de l’eau au moment le plus fertile. Puis cette qualité décrois après l’ovulation.
La qualité, la couleur et la souplesse dans les livres restent toujours indicatives, elles peuvent varier légèrement selon les personnes. Le plus important est de repérer les jours où le pouvoir fertile de la glaire cervicale est à son maximum en observant les variations.
S’aider avec le ressenti
Le ressenti interne est un très bon indicateur pour accompagner la glaire cervicale. Il est facile à noter et il est même vivement recommandé d’en tenir compte. Il s’agit de la sensation de lubrification au niveau du vagin et de la vulve. Il est possible de ne rien observer ou bien d’avoir un ressenti : sec, humide ou mouillé. Le ressenti a souvent une bonne corrélation avec le type de glaire cervicale observé.
Bien s’hydrater
La glaire cervicale étant composée en grande partie d’eau, il est important que le corps soit suffisamment hydraté pour que l’observation puisse se faire correctement. C’est une astuce plutôt basique à mettre en place et c’est important d’y penser.
Noter la meilleure qualité de la journée
Il peut arriver de réaliser plusieurs observations de pertes fertiles au cours d’une même journée. Dans ce cas, il est indispensable de toujours noter la qualité de glaire la plus fertile. Il s’agit d’un principe de prudence surtout en contraception.
Aux toilettes ou sous la douche
Pour éviter les oublis et ancrer ce geste dans sa routine, on peut choisir d’observer sa glaire dans certaines circonstances. Par exemple, en allant aux toilettes au moment de s’essuyer ou encore sous la douche en cherchant la matière directement dans le vagin. On rappelle qu’il est indispensable d’avoir les mains propres pour faire ce geste.
Si tu as un doute n’hésite pas à faire appel à une formatrice en symptothermie qui saura te guider et répondre à toutes tes questions !
C’est désormais à toi de jouer et de découvrir ta glaire cervicale. Pour savoir comment bien l’interpréter sur ton graphique de symptothermie n’hésite pas à lire notre ebook disponible ici et en permanence dans le menu de l’application Moonly.