De l’air ! C’est juste une question de survie
Les cartes le montrent, la qualité de l’air est au beau fixe sur l’ensemble du pays. Cet “anticyclone” va-t-il durer ? ☀️
Vous sentez cet air pur traverser vos narines ? Il est 30 % meilleur depuis le début du confinement, même si on n’en profite pas vraiment en restant chez nous. C’est un des impacts positifs de la crise du Covid-19 : moins d’activité veut dire moins d’émissions polluantes.
C’est vrai, c’est encourageant de voir qu’en deux semaines à peine nous sommes capables de réduire drastiquement notre impact. Mais d’un autre côté, on n’a fait qu’appuyer sur “pause”… Alors à quoi ressemblera la pollution le jour d’après ?
Moins de CO2 et NO2 dans l’air
Prenons l’Île-de-France, zone la plus polluée de France. Quatre jours après l’annonce officielle du confinement le 14 mars, l’association de surveillance de la qualité de l’air Airparif constatait déjà :
- une chute de plus de 60 % des particules de NO2, le dioxyde d’azote qui s’échappe des moteurs de nos véhicules, très dangereux pour notre santé.
- une baisse d’environ 30 % des émissions de CO2, issues de la combustion d’énergies fossiles par les industries et les individus
Ces deux polluants raccourciraient nos vies de 2,2 ans en moyenne en Europe. C’est plus que le tabagisme. Alors ceux d’entre nous qui ont la chance de respirer un air peu pollué toute l’année ne sentiront pas forcément la différence à l’oeil nu (“au nez nu”, en l’occurrence). Mais ceux qui vivent dans les grandes zones urbaines ont dû constater une amélioration, pas vrai ?
Dans le reste de la France les émissions de NO2 ont diminué aussi : 50 % en Bretagne et dans la Région Centre-Val de Loire, 40 % dans les Hauts-de-France, 45 % dans les Hauts-de-France.
Et le jour d’après confinement, alors ?
On est tous impatients de reprendre notre vie normale mais d’ici là, les événements récents auront servi à prouver deux choses. 1 ) Changer nos habitudes a un impact visible et immédiat et ça donne de l’espoir. Nous avons vu à quel point certaines d’entre elles sont superflues. 2 ) Il paraît peu probable qu’on reprenne les choses comme si de rien n’était à la sortie de crise. Nous devrons faire des choix collectifs : prioriser le rattrapage économique à tout prix ? Reconstruire l’économie différemment ? Repartir sur une économie bas carbone ?
Chez Bulb, nous faisons le pari que c’est justement le moment ou jamais de construire une économie qui a du sens. Et pour nous, ça commence par la transition énergétique.
Car vous savez quelle action est la plus significative à titre individuel ?
Passer aux énergies vertes. Vous réduisez de presque un tiers votre empreinte carbone par an en choisissant un fournisseur d’énergie renouvelable, que ce soit Bulb ou un autre.
Si vous êtes prêts à passer à l’action dès aujourd’hui, contactez nos Spécialistes Énergie au 08 05 08 04 05 ou inscrivez-vous sur www.bulb.fr
Inspirez, expirez. Recommencez autant que vous voudrez,
L’équipe Bulb
