Éclairage sur les métiers de la Tech : Équilibre entre points forts et contraintes

L’univers de la Tech est composé d’une variété de métiers attractifs et 85% de nouvelles professions sont encore à venir d’ici 2030.
Derrière cette expansion, nous vous proposons une mise en lumière des atouts et des défis qui jalonnent ces trajectoires professionnelles. À travers le témoignage d’experts du secteur, nous visons à présenter un aperçu des carrières dans la Tech, permettant aux aspirants et aux professionnels de bénéficier d’une vision éclairée.

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L’Actualité Tech — Blog CBTW
14 min readNov 23, 2023

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Feedback - By celpax

Huit collaborateurs, avec différents profils allant du product management au développement web et mobile, partagent ainsi leurs expériences.
Leurs témoignages sur leur poste, leur quotidien et leurs perspectives et envies d’évolution, permettent de donner un aperçu : Des points forts, des difficultés et des possibilités d’évolution dans le secteur du numérique.

Quel est ton poste actuel et depuis combien de temps l’exerces-tu ?

  • Baptiste (Data Ingé) : Auparavant j’étais développeur back, et je m’occupais d’APIs plutôt standards. Mais pour ma mission actuelle dans le secteur des médias, j’occupe un poste de data ingénieur en Node.
    Après, je me considère toujours comme un développeur back, sauf que je récolte de l’information au lieu de répondre à un client.
    Ma mission est en effet de m’assurer du bon fonctionnement de la collecte des informations sur les différentes plateformes, que ce soit les applications mobiles, les sites web, … Lors de la consommation de contenu sur ces plateformes, des informations sont envoyées sur une API. Mon rôle est de maintenir cette API et la chaîne de traitement.
  • Clément (PO) : Cela fait environ 5 ans que je suis Product Owner. J’ai eu l’occasion de travailler pour différents secteurs comme l’immobilier, le sport et les médias. Et actuellement, je suis en mission chez un acteur du tri.
    Mes missions consistent à récupérer les besoins métiers, à les confronter avec des retours utilisateurs, puis à les spécifier, et échanger avec des experts techniques qui vont développer un produit. Et je suis aussi cette partie développement, tests et livraison, jusqu’à la présentation du résultat.
    Au quotidien, nous nous inspirons de la méthode Scrum, permettant de délivrer un produit avec une certaine philosophie agile. Ceci nous permet de livrer de la valeur, via un incrément, nous aidant à améliorer la qualité de notre produit.
  • Romain (PM) : J’exerce le métier de Product Manager depuis maintenant 8 ans. Actuellement en mission au sein d’un éco-organisme, nous travaillons selon le modèle Value Way. Appuyés d’un Value Leader (expert métier), d’un Responsable Informatique et d’une Scrum Team, nous cherchons à apporter le plus de valeur à nos utilisateurs en combinant des phases de Discovery et de Delivery.
    C’est un changement de paradigme important : Nous temporisons sur les solutions imaginées par les différentes parties prenantes, pour remonter sur les problématiques. Nous menons des interviews, des ateliers et réalisons des supports pour faire converger l’ensemble des équipes métiers vers une solution désirable. Nous cherchons donc à dérisquer notre investissement en développement, en inscrivant l’entreprise dans une démarche itérative et de mesure de la valeur apportée.
  • Melissa (UX/UI Designer) : Après 3 ans en tant que web designeuse et graphiste, je me suis réorientée dans l’UI et l’UX design.
    Aujourd’hui, je travaille sur plusieurs types de projets qui se trouvent au sein du même Lean produit. Il y a donc un produit global qui se ramifie en plusieurs applications, globalement pour de l’import et de la saisie de masse, et de la gestion de contenus multimédia. Dans ce cadre, je travaille avec différentes divisions et équipes métiers qui font office de clients.
  • Nino (Dév Android) : Cela fait 8 ans que je suis développeur Android natif.
    Ma première expérience était dans le domaine de la cuisine connectée. Puis je me suis tourné vers un acteur de la mobilité. C’est dans ce contexte, avec un grand nombre d’utilisateurs, que j’ai découvert l’industrialisation et ses problématiques. Par la suite, je suis aussi passé par les secteurs de la banque, des médias et de la distribution. Un ensemble de domaines très variés !
  • Gaël (Dév Back) : Je suis développeur web en back-office depuis presque 12 ans. Actuellement en mission dans le secteur des médias, je travaille sur un CMS dédié aux journalistes et aussi sur tout ce qui est automatisation de gestion de contenu d’acteurs tiers et sur l’envoi de statistiques.
  • Jeason (Dév Front) : Je suis développeur full stack depuis début 2018. Et je me suis spécialisé en front depuis fin 2019. Je commence également une transition en tant que Tech lead et je suis aussi formé à la réalisation d’audits d’accessibilité.
  • Dimitri (Dév Fullstack) : Cela fait 8 ans que je suis développeur full stack. Je gère des projets de A à Z de la compréhension du besoin client, à la réalisation puis à la livraison. J’interviens autant sur le front que sur le back, car j’estime que les deux vont de pair. Je travaille actuellement sur deux projets d’optimisation avec l’apport de nouvelles fonctionnalités.

Qu’apprécies-tu dans ton poste et ta mission actuelle ?

La dimension humaine : Partage et travail en équipe

  • Clément (PO) : Je trouve enrichissant de réunir plusieurs experts dans une même équipe et d’être en permanence dans l’échange avec les différentes parties prenantes.
  • Romain (PM) : Ce qui me plaît particulièrement, c’est d’être à la croisée des chemins entre toutes les équipes : À la fois métiers, techniques, mais aussi transverses comme la communication, le service client, …
    Le rôle de Product Manager permet d’être un électron libre entre l’ensemble de ces équipes. On s’appuie sur des experts techniques et sur des experts métiers pour définir ensemble la meilleure solution.
  • Nino (Dév Android) : J’ai toujours apprécié la culture du partage dans les équipes. On a souvent l’occasion de faire des reviews communes, des présentations et autres retours d’expérience. Et pour cela, j’aime autant être orateur, que d’écouter les autres.
    De plus, j’ai toujours rencontré des personnes curieuses et stimulantes avec qui j’ai eu la chance d’avoir de bonnes collaborations.
  • Jeason (Dév Front) : Jaime le fait d’être en relation avec différentes personnes et métiers quand je travaille : Designers, PO, … Cela favorise l’échange et permet d’apprendre et de transmettre à ses collègues.

Le challenge, la maîtrise et la résolution de problèmes

  • Clément (PO) : J’apprécie d’être toujours dans la remise en question et de voir les acquis initiaux parfois bouleversés au fil du temps.
    Je participe à la réflexion de pourquoi et du comment on va répondre à une problématique. Ce qui implique d’être présent en amont sur la partie discovery et de faire des benchmarks pour poser des hypothèses, d’aller les vérifier avec des métriques et d’être continuellement challengé pour adapter au mieux le produit.
  • Dimitri (Dév Fullstack) : Ce qui me motive principalement c’est de résoudre les problèmes en apprenant d’eux.
  • Jeason (Dév Front) : Il y a aussi l’aspect technique. C’est stimulant d’avoir des challenges pas évidents à résoudre.
  • Melissa (UX/UI Designer) : J’ai la chance d’avoir la double casquette UI et UX designer. Dans l’UX j’aime particulièrement la résolution de problèmes, affiner le besoin utilisateur et mener des ateliers. Et grâce à ma casquette UI, je peux concrètement mettre en application ce que je recueille durant ma phase UX pour créer des maquettes, refaire des chartes graphiques et confirmer auprès du client et des utilisateurs, le bon déroulé des sprints à venir.
  • Nino (Dév Android) : C’est gratifiant de pouvoir répondre à un besoin d’évolution ou de correction rapidement et de manière pérenne. J’ai toujours aimé faire évoluer un produit pour répondre aux attentes du client.
  • Gaël (Dév Back) : Avec la pratique, je trouve ça tellement intéressant de pouvoir collaborer avec différents métiers, comprendre un besoin et le transformer en code.

La diversité des missions

  • Clément (PO) : Un des points forts de mon métier est de pouvoir naviguer sur des missions variées.
  • Baptiste (Data Ingé) : Je suis en mission dans une grande entreprise où il y a la possibilité de toucher à beaucoup de domaines. Je fais du Node et je m’occupe de la collecte, mais il y a aussi un projet dans notre scope sur un système de recherche avec de l’indexation Elastic Search. Et il y a aussi un système de recommandations en Python. Donc, si j’ai la volonté et la détermination, je peux complètement m’orienter vers des sujets MLOps et me rapprocher de la data science.

Le sens au travail

  • Romain (PM) : J’évolue dans un environnement chahuté par de nouvelles lois, de nouveaux enjeux qui visent à limiter/réduire notre impact sur la planète. C’est très enrichissant et cela demande un vrai don d’ubiquité : Je suis ravi d’y jouer un rôle et donne du sens à mon travail.
  • Gaël (Dév Back) : Un des aspects de ma mission qui me motive, c’est le sens et l’utilité de mon travail. Je transfère de l’information, et je vois donc du concret, une plus-value et une certaine éthique derrière ce que je fais.
  • Baptiste (Data Ingé) : J’aime beaucoup le produit et l’univers des médias. J’ai tendance à me dire que c’est quand même agréable de travailler sur de la consultation de contenus et pour moi c’est important de me sentir concerné par le produit. Ça n’a pas toujours été le cas, mais c’est quand même plus confortable d’être un environnement que je connais, que j’apprécie et qui fait sens.
  • Jeason (Dév Front) : Ce que j’apprécie beaucoup aujourd’hui c’est de rendre le web accessible à tout le monde. Et j’entends accessibilité au sens large, comme par exemple que le web ne soit pas trop lourd pour des personnes qui n’ont pas forcément accès à la 4G, mais aussi à l’accessibilité en tant que réponse à une situation de handicap.

L’apprentissage continu

  • Melissa (UX/UI Designer) : Un point positif dans mon poste et ma mission actuelle, c’est de toujours apprendre de nouvelles choses.
    J’ai commencé une nouvelle mission client il y a 3 semaines, et je suis encore en phase de discovery. Il y a tellement à apprendre, c’est très intéressant !
  • Dimitri (Dév Fullstack) : En tant que développeur, on apprend énormément des autres métiers. Car il faut comprendre le métier des personnes pour lesquelles on développe. Donc pour chaque nouveau client et nouveau projet on découvre de nouvelles choses. Et c’est très intéressant !
  • Baptiste (Data Ingé) : Techniquement ce qui m’anime, ce sont aussi les technologies utilisées sur le projet. En ce moment je travaille sur du Kafka, ce n’est pas forcément très commun et cela me permet d’apprendre. J’apprends aussi à monitorer du code avec Prometheus et Grafana, je fais de l’alerting, etc.

Autres avantages

  • Gaël (Dév Back) : Si je fais ce métier, c’est aussi parce que c’est un métier coup de cœur. Je suis développeur depuis 12 ans, mais j’ai commencé à faire du code depuis que je suis petit. Donc je continue dans ma passion pour l’informatique en général.
    C’est aussi un métier qui a un fort potentiel d’évolution. Malgré les récessions économiques que l’on voit, c’est toujours un métier qui recrute et qui est recherché.

Quelles sont les contraintes que tu as pu rencontrer ?

Manque de visibilité et de communication

  • Baptiste (Data Ingé) : Entre différents métiers, on ne se comprend pas toujours. On travaille par exemple beaucoup avec le marketing, qui n’a absolument pas la même conception d’un projet et des interactions interéquipes. De plus en tant que Tech, nous avons un vocabulaire commun qui n’est forcément pas partagé par les autres.
  • Jeason (Dév Front) : Il peut arriver de se retrouver dans une équipe très verticale. Dans ce cas, on n’a peu de visibilité sur le produit au global et cela peut amener à développer des solutions qui ne correspondent pas au besoin client par manque de visibilité.
  • Clément : Dans ma mission actuelle, je retrouve l’aspect collaboratif mais moins d’implication sur la partie réflexion en amont. Cela est géré par l’équipe Discovery, menée par le Product Manager. L’ensemble des besoins sont définis, et il n’y a plus qu’à les prioriser et à délivrer, avec l’aide de l’équipe technique.

Problématiques liées aux choix et à la dette technique

  • Dimitri (Dév Fullstack) : Il est parfois compliqué de reprendre un projet déjà lancé. J’ai par exemple travaillé sur un projet qui avait été mal évalué au départ et donc réalisé avec une architecture et des choix techniques complexes, beaucoup plus évolués par rapport à la demande initiale. Cela ne correspondait pas forcément au besoin et aurait nécessité de tout reprendre. Ce n’était pas forcément possible, donc il a fallu jongler avec la dette technique.
  • Nino (Dév Android) : Je fais partie d’une petite équipe, mais nous sommes soumis à d’autres équipes qui nous donnent des librairies non modifiables, vieillissantes et mal documentées. Il est donc difficile de les faire évoluer. Du coup on ne maîtrise pas entièrement notre code car la moitié est produit par d’autres équipes qui ne sont plus ou pas disponibles. C’est assez frustrant de devoir travailler avec une base non robuste, qui nous empêche d’être rapides, indépendants et évolutifs dans notre code.
  • Romain (PM) : On a l’habitude de dire que chaque ligne de code représentera, un jour, une dette technique. Ça fait donc partie du jeu. On essaie de faire passer des tickets pour améliorer en continu nos projets et équilibrer le ratio de l’itération (valeur client / améliorations techniques) mais ce n’est pas toujours évident. Les audits de sécurité nous aident à corriger les failles le plus tôt possible et à maintenir à jour les technologies que nous utilisons.

Manque de connaissance du métier

  • Romain (PM) : Quand je discute de mon métier de Product Manager, je finis souvent par dire que je suis chef de projet. Parce qu’il y a une méconnaissance du métier de PM et du coup, il y a souvent des malentendus sur le rôle associé. Nous avons une vraie pédagogie à apporter. Cette pédagogie est mise en œuvre dans les phases de Discovery : La démarche collaborative et de coconstruction montre que c’est une démarche produit qui cherche à s’affranchir des biais que nous avons tous. Les gens en voient souvent les bénéfices après nous avoir fait confiance !
  • Melissa (UX/UI Designer) : Dans un premier temps, le contact avec le client et l’évangélisation du métier d’UI/UX designer, qui est encore peu connu, peuvent être laborieux. Et je dirai que l’UX est encore plus mal perçu, car l’UI paraît plus concret grâce aux maquettes.
    Après, j’aime être force de proposition, donc je pense que finalement cette contrainte est aussi un moteur. Et les contraintes nous poussent à nous dépasser et à trouver des solutions.

Problématiques d’organisation du travail

  • Baptiste (Data Ingé) : Nous ne sommes pas forcément assez solides en termes de méthode de travail. Il n’y a pas assez de tickets, les tickets ne sont pas assez écrits, on ne suit pas assez les recommandations agiles, … Alors le projet fonctionne, mais cela rend l’environnement toxique pour certains. En effet, le travail que tu accomplis demande un investissement différent, qui n’est pas toujours évident au quotidien. Même si après, cela représente aussi une certaine forme de liberté.
  • Nino (Dév Android) : J’ai ressenti dans certaines missions une présence parfois un peu trop forte des équipes transverses. Cela a pour conséquence de freiner l’indépendance dans le développement. D’autres fois, il y a aussi un déséquilibre dans la répartition des équipes, comme plus de PO que de développeurs. Ce qui ralentit grandement le processus de décision et la marge de liberté sur l’implémentation. Bien sûr, il peut être bénéfique de ne pas être seul décisionnaire, mais je pense qu’il y a des organisations qui peuvent être trop lourdes malgré tout.
  • Clément (PO) : Je pense qu’il serait intéressant de prendre davantage le temps de réfléchir avant d’agir. Ce rythme (effréné), c’est nous qui nous l’imposons. Mais nous devrions prendre plus de temps, pour prendre du recul et mettre en place les bonnes métriques, permettant de vérifier nos hypothèses.

Fort turnover des équipes

  • Gaël (Dév Back) : Cela semble assez inhérent au secteur de l’informatique en général : Il y a beaucoup de turnover dans les équipes. Je le constate d’autant plus en étant sur une mission de longue durée. Je vois passer beaucoup de monde, et il est à chaque fois nécessaire de tout expliquer à nouveau.
    Après, c’est bien aussi dans un sens, car les nouveaux arrivent parfois avec de nouvelles idées et perspectives. Il y a donc finalement du pour et du contre.

Manque d’alignement

  • Clément (PO) : Ce qui me manque également, c’est que je trouve qu’on ne met pas assez en avant la réflexion sur l’écoconception et l’accessibilité. Ce sont des notions, que l’on met souvent en second plan car ce n’est pas considéré comme prioritaire, encore une fois par manque de temps. Mon idéal est que ces notions soient pensées dès la naissance du produit et restent un prérequis tout au long de la vie du produit.
  • Jeason (Dév Front) : Je trouve que l’accessibilité n’est pas encore assez un sujet, à part pour des entreprises déjà ouvertes aux sujets de l’inclusivité. Même les réglementations ne semblent pas faire bouger les lignes, enfin pas assez vite à mon sens. Je comprends que ce soit compliqué d’optimiser sur une base existante, mais il n’y a plus de raison de créer de nouvelles solutions numériques que des personnes ne pourront pas utiliser.

Au vu de ces éléments, quels sont tes projets à moyen ou long terme ?

  • Baptiste (Data Ingé) : Je ne sais pas si je vais persévérer sur un poste de data ingénieur. C’est intéressant car ce sont des architectures que j’apprécie. Mais je ne me mets pas de limite sur la direction que je vais prendre.
    Après dans tous les cas, j’aime que mon code soit utile et qu’il y ait un minimum de trafic pour avoir des enjeux techniques. Et ce serait sûrement une question de langage également.
    Mais il n’y a pas de changement à l’ordre du jour, et je me vois bien rester encore sur ce poste et cette mission pendant quelque temps.
  • Clément (PO) : Je me projette toujours sur mon poste de Product Owner. Même s’il y a des difficultés, elles ne m’empêchent pas de faire mon métier. Et d’ailleurs dans chaque poste, il y aura toujours des choses à améliorer. Donc, je souhaite au contraire aller le plus loin possible pour devenir un expert du rôle de Product Owner.
  • Romain (PM) : Je ne me vois pas changer de poste car je suis aujourd’hui à un niveau de discussions qui me semble suffisant et intéressant. C’est-à-dire avoir le bon niveau d’interlocuteurs sans tomber dans de la politique et du management humain. Aujourd’hui je ne gère pas des personnes, mais des produits et des fonctionnalités.
    Et généralement les postes supérieurs ensuite sont ceux de CPO ou Head of Product. Dans ce cas on est plus dans la formation et l’accompagnement d’autres Product Managers, et pour l’instant ce n’est pas mon but.
  • Melissa (UX/UI Designer) : Au-delà de ma montée en compétences sur mes projets actuels, j’essaie de me perfectionner sur ma double casquette en UI et UX design. Puis, à moyen terme, je me projette davantage sur un poste de Product Designer. Ainsi, je pourrais bénéficier d’une partie stratégique et décisionnelle sur l’ensemble de la stratégie produit.
  • Nino (Dév Android) : Je souhaite continuer à faire du développement Android. Par contre être Tech Lead peut aussi m’intéresser, tout en gardant ma capacité à développer au quotidien.
  • Gaël (Dév Back) : J’aime bien ce que je fais actuellement, donc j’aimerais surtout me perfectionner. Soit en avançant sur de l’expertise technique, soit en devenant leader d’une équipe, mais en restant dans la continuité de ce que je fais actuellement.
  • Jeason (Dév Front) : Je me projette en tant que lead Tech à moyen terme. Mais à long terme, je me vois plutôt en tant que manager non-tech ou formateur. J’apprécie énormément l’échange de connaissances. Et j’ai l’impression que j’arrive à un point où je connais déjà un certain nombre de choses que j’ai envie de partager.
  • Dimitri (Dév Fullstack) : Je me vois bien continuer sur le même poste et le même mode d’intervention, qui me permet de travailler sur des projets de A à Z. En revanche, je souhaiterais davantage travailler sur des projets à mission.

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