Comment optimiser son site grâce aux méthodes de référencement naturel (SEO) ?

Le SEO (Search Engine Optimization) correspond à l’optimisation du référencement naturel de son contenu en ligne. Il s’agit d’un ensemble de bonnes pratiques applicables pour optimiser l’indexation de son contenu sur les moteurs de recherche et son classement dans les pages de résultat.

Joy Schlienger
L’Actualité Tech — Blog CBTW
13 min readDec 10, 2020

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Recettes SEO — Photo by Katie Smith

Cette optimisation vise à la fois à augmenter le trafic d’un site web et ainsi à améliorer sa visibilité auprès des internautes ciblés. Mais également à veiller à proposer un contenu adapté, qui réponde à un besoin exprimé, pour apporter une réponse claire, fiable et pertinente à l’utilisateur.

Bien que complémentaires, les rôles du référencement naturel, de l’UX (expérience utilisateur) et du marketing sont à distinguer. Le SEO est un apporteur de trafic, mais la transformation des visiteurs en leads doit également s’appuyer sur l’UX et la stratégie marketing appliquées au site. Le référencement est donc uniquement un soutien aux actions d’acquisition marketing, mais ne suffit pas à lui seul.

Le référencement naturel peut également être accompagné d’autres leviers d’acquisition, comme le référencement payant, les liens sponsorisés, les réseaux sociaux, les partenariats et affiliations ou encore les campagnes marketing par e-mail.
Il peut donc être intéressant de varier ses leviers d’acquisition pour limiter sa dépendance à Google, qui reste le principal moteur de recherche utilisé en Europe (93% des Français utilisent Google comme moteur de recherche).
Surtout que dans le domaine du référencement naturel règnent encore beaucoup d’incertitudes, car tout est géré par des algorithmes évolutifs dont les paramètres ne sont pas tous dévoilés afin d’éviter la fraude et la suroptimisation. Google classe les résultats de recherche en fonction d’un score d’autorité attribué à chaque nom de domaine selon de nombreux facteurs.
Mais, pour chercher à améliorer ce score, le SEO reste un outil accessible, qui peut représenter une source majoritaire de trafic conséquente sur le long terme. Et qui peut aussi permettre de réduire ses dépenses en SEA (référencement payant).

Il est possible de se faire accompagner par des agences ou free-lances spécialisés pour y voir plus clair. Mais de nombreuses bonnes pratiques sont aujourd’hui reconnues et facilement applicables.
Et dans tous les cas, une meilleure connaissance de ces procédés vous permettra une meilleure compréhension des enjeux et la possibilité de réaliser un audit et un suivi qualitatif de vos contenus.

En tant que rédactrice de contenus à Linkvalue, je vous livre un ensemble non exhaustif de bonnes pratiques SEO à mettre en place pour optimiser votre site web.
Elles reposent sur 3 piliers : le contenu, la technique et la popularité.

Le SEO n’est pas un sprint mais un marathon.

Il faut garder en tête que le SEO est un travail de fond, qui nécessite du temps et de la patience avant d’en observer les résultats. L’optimisation de son référencement naturel s’inscrit donc dans une stratégie à long terme, bien que des quick wins puissent être réalisés.
Il faut également pratiquer une veille professionnelle régulière, afin de suivre les nombreuses évolutions, notamment induites par les mises à jour des outils Google.

Optimisations SEO : on site et off site
Optimisations SEO : on site et off site

Optimisations SEO par le contenu

Bien que les optimisations de contenu soient préconisées au travers du prisme des attentes de Google, il ne lui est pas destiné. Votre contenu s’adresse à des utilisateurs et doit donc être réfléchi et adapté pour ces derniers.
Les internautes utilisent les moteurs de recherche afin de trouver une réponse à une question ou une problématique. À vous de connaître les attentes de votre cible, et de proposer le contenu correspondant, que ce soit à travers un blog, un site vitrine, un site e-commerce, etc.

Pour analyser les opportunités créées par les requêtes des utilisateurs et vous positionner sur les bonnes thématiques, vous pouvez vous appuyer sur différents outils numériques et techniques :
- Suivre l’évolution dans le temps de mots-clés ou expressions en termes de volume de recherche via Google Trends.
- Utiliser Google Suggest, la fonction de saisie semi-automatique de Google, qui suggère des requêtes lors de la saisie dans la barre de recherche. Les suggestions sont faites selon les requêtes associées les plus fréquentes.

Propositions de Google Suggest sur le terme ‘Linkvalue’
Propositions de Google Suggest sur le terme ‘Linkvalue’

- Analyser les mots-clés et expressions sur lesquels sont positionnés vos concurrents ou autres acteurs du secteur, notamment en analysant leurs contenus, mais aussi le contenu de leurs annonces Google Ads par exemple.
Vous pouvez alors choisir soit de varier vos mots-clés pour ne pas vous positionner sur certains mots qui peuvent être difficiles d’accès ou d’“attaquer” sur un même mot-clé détenu par un acteur pour essayer de le concurrencer.

Annonces Google Ads pour l’expression-clé ‘formation web’
Annonces Google Ads pour l‘expression-clé ‘formation web’

- analyser les résultats de la première page de mots-clés qui vous intéressent.
- faire un tour sur les forums existants autour de votre thématique pour découvrir les sujets de discussions et questionnements des participants.
- analyser les recherches faites via le moteur de recherche interne de votre site (si vous en avez installé un),
- analyser les performances de vos contenus afin d’en dégager des tendances sur ce qui fonctionne mieux ou moins.
- vous reposer sur des outils professionnels gratuits ou payants (tels que SEM Rush ou Ubersuggest par exemple) qui vous aideront à lister des thématiques et mots-clés intéressants pour vos contenus.

Une fois vos sujets et mots-clés définis, vous pourrez démarrer la rédaction de votre contenu, idéalement en tenant compte des éléments suivants :

  • Chaque page doit se suffire à elle-même afin de pouvoir être comprise hors contexte.
  • Susciter l’envie à travers vos balises ‘title’ et ‘métadescription’ grâce à du contenu authentique et unique qui incite à visiter la page. Ce sont généralement les premiers éléments visibles par l’internaute, ils doivent donc susciter son intérêt et l’attirer sur votre site. Cette description doit également être représentative du contenu associé pour ne pas être déceptive.
Exemple snippet avec balise title et description
  • Sur votre page, le contenu doit être structuré et hiérarchisé afin que le plan en soit facilement compréhensible par les internautes et les outils de crawl. Pour cela vous pouvez employer différents niveaux de titres, de H1 à H6. A minima, vous devrez avoir : un seul titre H1 par page, unique à chaque page, contenant le titre de l’article et les mots-clés principaux de la page.
    Préférez des mots-clés variés et représentatifs, plutôt que de répéter le nom de votre marque dans chaque titre.
    Dans vos paragraphes, vous pouvez aussi utiliser le traitement de texte (gras, italique, etc.) pour mettre en relief ce que vous considérez comme important.
  • Google avantage les contenus d’expertises à valeur ajoutée. Afin de se positionner qualitativement sur un sujet, une estimation d’un minimum de 2000 mots par page est retenue.
  • Mais il faudra toutefois veiller à la lisibilité de ce contenu et privilégier des phrases courtes, entre 12 et 17 mots. Au-delà, le contenu risque de ne pas être entièrement lu ou compris.
  • Autre point important, une fois vos mots-clés définis, il ne s’agit pas de les répéter le plus possible. Cela peut même vous nuire, car associé par Google à de la suroptimisation.
    Il vaut donc mieux jouer avec la richesse lexicale des mots choisis (pluriel/singulier, synonymes, univers sémantique), créer du contenu qui contextualise les mots-clés et donner des exemples.
    De plus, utiliser différents mots-clés vous permettra éventuellement de vous positionner sur plus de requêtes.
    Autre conseil, évitez d’utiliser des mots-clés trop génériques, qui seront très concurrentiels et parfois moins pertinents. Et n’hésitez pas à utiliser des expressions de plusieurs mots (longue traîne) qui peuvent représenter une audience de niche moins adressée et être favorisées par le développement de la recherche vocale.
  • Il est recommandé de limiter son site à un maximum de 3 niveaux de profondeur. C’est-à-dire que chaque page doit pouvoir être accessible en 1 à 3 clics maximum. Les pages accessibles au-delà auront moins de visites et seront plus difficilement référencées, car Google les considérera comme moins importantes au vu de leur emplacement.
    Il est donc intéressant de se servir du maillage (organisation de liens) interne et externe pour privilégier des liens vers vos pages les plus profondes afin d’optimiser leur autorité.
  • Le maillage interne entre vos pages favorisera également le passage de Google sur l’ensemble des pages de votre site.
    Toutefois il faut veiller à ne lier que des pages qui ont un rapport entre elles, afin de privilégier des silos sémantiques. Et de plus, il est préférable de ne pas cumuler les liens d’une même page à une même autre.
    Il est aussi plus pertinent de mettre le lien sur un mot-clé associé plutôt que sur des expressions de type ‘par ici’, ‘lire la suite’ ou sur une url ‘masociete.com’. Enfin évitez de mettre des liens sur vos images ou vers des pages ou des sites d’une autre langue.
  • Concernant les images, celles-ci peuvent aussi être référencées et optimisées.
    On peut renseigner la balise ‘alt’. Les balises doivent être dans la même langue que la page, donc il ne faut pas utiliser une seule et même image pour un site multi-langues.
    Il faut aussi être vigilant au poids et à la résolution de vos visuels, afin qu’ils n’impactent pas le temps de chargement de vos pages.
    Si vos visuels comprennent du contenu texte, autant créer directement du contenu textuel ou alors coupler les deux.
  • Enfin Google et les internautes privilégient un contenu directement accessible et visible sans nécessiter d’action supplémentaire. Il vaut donc mieux éviter les pop-ups ou un contenu qui ne se déroule qu’au clic par exemple.

Au-delà de ces éléments de forme, le fond doit également être de qualité, en proposant un contenu unique à valeur ajoutée, fiable et de préférence sans faute d’orthographe, ni de syntaxe.
Privilégiez donc la qualité à la quantité, que ce soit en longueur de contenu, mais aussi en termes de publication.
Entretenir et mettre à jour régulièrement du contenu sur son site envoie un signal positif à Google. Cependant il vaut mieux publier ou actualiser du contenu moins souvent mais à une fréquence régulière, que de publier à la chaîne des contenus peu travaillés.
Vous pouvez planifier la rédaction et la publication de nouveaux contenus, selon un planning éditorial établi, mais également optimiser ou actualiser des contenus existants (ajout actualités, restructuration, ajout textuel, …).

Optimisations SEO par le socle technique

Selon le CMS ou le langage utilisé pour le développement de votre site et le paramétrage de votre back-office et de votre plateforme d’hébergement, vous serez plus ou moins autonome pour gérer les points suivants.
Mais n’hésitez pas à vérifier leur application et à demander à un interlocuteur interne ou externe d’intervenir si nécessaire.
Certains points sensibles nécessitent également d’être réalisés avec précaution pour veiller à ne pas avoir d’impact négatif sur votre site.

  • Un élément essentiel à gérer sur votre site comprend les redirections de liens. Que ce soit lors d’une refonte de site, de la suppression ou le déplacement d’une page ou la définition d’une url canonique, il faut bien penser à rediriger l’url de la page supprimée ou déplacée vers une nouvelle url valide.
    Si vous n’effectuez pas ces redirections, les internautes et Google pourront atterrir sur une page d’erreur en consultant votre site, ce qui est mal vu, et de plus vous perdrez l’ancienneté et l’historique acquis.
    Il est recommandé de ne pas effectuer de chaîne de redirections, mais une seule redirection de type 301.
  • La page d’erreur correspondant à une url non valide s’appelle page 404. Il faut prévoir de proposer une page 404 personnalisée, qui conserve le menu du site et la charte graphique. On peut aussi y faire remonter des liens vers d’autres pages actives du site, pour rediriger l’internaute vers des informations récentes.
  • Pour la création d’url google friendly, on évite les caractères spéciaux, les ‘_’, les majuscules et les doublons de mots-clés.
  • Le choix du serveur d’hébergement est aussi déterminant. Il est recommandé de choisir un serveur situé sur le même territoire que son audience (en France pour un site .fr), sécurisé et avec une performance adaptée à son trafic actuel et prévisible. Et de délaisser les hébergements lowcost qui peuvent présenter des failles de sécurité.
  • Il est aujourd’hui absolument nécessaire d’installer un certificat HTTPS sur son site pour garantir la sécurisation des échanges de données.
    Un certificat HTTPS est noté entre A et F, et cette note peut influencer votre score d’autorité. Attention donc aux certificats gratuits ou valables pour plusieurs sites, qui de plus ne sont souvent pas renouvelés automatiquement.
  • L’adaptation de votre site sur mobile est indispensable. Si ce n’est pas le cas vous pouvez être pénalisé sur le référencement par ordinateur et possiblement écarté du référencement sur mobile.
  • Et le temps de chargement de vos pages doit être de maximum 3 secondes, à la fois sur mobile et sur ordinateur. Au-delà, environ 60% des utilisateurs abandonnent le site.
    Il faut être vigilant aux images, aux polices utilisées, aux appels à des serveurs externes, etc.
  • Vous pouvez aussi vérifier et mettre à jour le fichier ‘robot.txt’. Ce fichier destiné aux crawlers des moteurs de recherche indique les pages que l’on ne souhaite pas indexer, car non pertinentes pour le référencement. Souvent on y mentionne les mentions légales, les CGV, les pages issues de votre moteur de recherche interne, la page de connexion au back-office, etc. Attention à ne pas désindexer l’intégralité de votre site ou des pages capitales !
  • Enfin pensez à générer ou vérifier régulièrement le fichier ‘sitemap.xml’. Ce fichier est destiné aux robots des moteurs de recherche et liste l’ensemble des urls indexables de votre site et aide à l’indexation des pages. Vous pouvez directement le soumettre sur Google Search Console pour une prise en compte plus rapide.

Optimisations SEO par la popularité

Les optimisations sur le contenu et les aspects techniques font partie des optimisations appelées ‘on site’. Elles sont indispensables et constituent la base d’une plateforme saine et attractive pour soutenir son référencement. Toutefois elles doivent être appuyées par des optimisations ‘off site’ pour être efficaces.
En effet pour optimiser son référencement il n’est pas suffisant de proposer du contenu de qualité sur un site performant, il faut également que votre site et que votre contenu soit populaire. C’est la popularité de votre contenu, de votre plateforme et de votre marque qui conforte votre crédibilité, votre désidérabilité et votre indice de confiance (TrustRank).
Cette popularité doit être acquise de la manière la plus authentique possible, car Google pénalise les méthodes artificielles.
Il s’agit souvent d’un challenge, car le développement de cet aspect s’inscrit sur la durée et dépend d’un environnement externe que l’on ne maîtrise pas.

Plusieurs pistes existent cependant pour vous aider à optimiser votre popularité :

  • Vous appuyer sur le référencement local avec la création d’une fiche Google My Business, d’une fiche sur les pages jaunes et un référencement dans les annuaires locaux.
    De plus avec Google My business et Pages Jaunes vous allez pouvoir créer des fiches personnalisées avec du contenu renvoyant vers votre site, et cumuler des avis d’internautes.
    N’hésitez pas à solliciter vos clients pour qu’ils vous laissent un commentaire sur ces plateformes et à répondre et interagir aux avis laissés.
Exemple de page et d’avis sur Google My Business
  • Créer de la synergie avec vos réseaux sociaux pour engendrer des engagements et des interactions avec des posts liés au contenu de votre site.
  • Et surtout mettre en place une stratégie de netlinking.
    Les liens entrants provenant de site de qualité, reconnus et traitant de thématiques similaires aux vôtres peuvent vraiment marquer une différence.
    Pour obtenir des backlinks supplémentaires, vous pouvez :
    - Diversifier vos interventions et prises de parole dans des articles de presse, podcasts et autres conférences et événements en demandant une redirection vers votre site, associée à votre présentation.
    - Co-créer du contenu sur d’autres sites ou avec des intervenants externes, pour assurer une plus large diffusion de votre contenu et bénéficier de la popularité de la plateforme ou de l’intervenant externe.
    - Créer du contenu optimisé pour le partage et intégrant un lien vers votre plateforme (infographie, visuel Pinterest, présentation Slideshare, …).
    - Proposer des échanges de liens gratuits à des sites d’univers correspondants sans être concurrentiels. Pour plus de pertinence, veillez à ce que les liens mutuels ne se répondent pas (mettre un lien sur mon article A vers un article externe B, l’article externe B comporte un lien vers mon article A). Il est recommandé d’éviter les liens payants, surtout s’ils proviennent d’un site qui en cumule beaucoup, car Google pénalise ces pratiques s’il les découvre.

Suivre et mesurer ses actions SEO

Google reste un acteur incontournable aussi bien pour les leviers d’acquisition de trafic, que pour les outils de suivi et de mesure de son activité en ligne.

On peut distinguer deux types d’analyse SEO, selon que vous souhaitez analyser et suivre l’évolution de vos KPIs génériques ou réaliser une analyse de performance plus globale.

Analyse et suivi de KPIs SEO

Pour suivre l’évolution de l’activité de son site web, les outils Google Analytics et Google Search Console sont indispensables. Vous pouvez les coupler à d’autres outils professionnels gratuits ou payants selon les métriques qui vous intéressent, mais les outils Google vous offrent déjà un panel de données intéressant.
Les principaux KPIs à suivre sont alors : nombre de visites, nombre de pages vues, temps de visite, taux de rebond, nombre de vues par page, canaux d’acquisition, nombre de liens entrants, nombre d’interactions, taux de conversion, nombre de mots-clés référencés, mots-clés référencés, etc.
Il est toujours intéressant de comparer l’évolution de ces KPIs tout au long de l’année et également de les mettre en corrélation avec les différentes actions réalisées online et offline (optimisations SEO, création de contenu, campagne marketing, …).
Ils vous permettront également de piloter votre stratégie SEO selon les résultats obtenus, en capitalisant sur les succès et en dégageant des axes de progression. De plus, il s’agit d’éléments tangibles pour justifier de votre investissement et appuyer vos plans d’actions.

Audit de performance SEO

Il est aussi intéressant d’analyser ponctuellement et de façon plus détaillée la performance de votre plateforme d’un point de vue contenu, technique et popularité.
Cela vous donnera une vision de la santé de votre site et du chemin restant à parcourir.

Différents éléments peuvent être analysés séparément, au regard des bonnes pratiques et indicateurs reconnus et via de nombreux outils et extensions.
Je vous partage quelques exemples de données intéressantes à relever, parmi les nombreuses métriques disponibles : score d’autorité, vitesse de chargement de vos pages (Google Page Speed), validité de vos liens (Check My Links), type de redirections mises en place (Redirect Path), note de votre certificat HTTPs et rapport d’erreur de votre hébergeur, contenus indexés (recherche ‘site:votrenomdedomaine’ dans Google), balises renseignées (Screaming Frogs), etc.

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