Analyse du scénario de Citadel : une arène incarnée

Baptiste Rambaud
Comment c’est raconté ?
13 min readJun 3, 2018

CINÉMA — Analysons le scénario du film Citadel (2013) : quel rapport son protagoniste entretient-il au contexte de l’histoire ?

Les décors et l’ambiance d’un film n’ont-ils vocation qu’à combler l’arrière-plan de l’image, qu’à habiller l’histoire, tel un papier peint statique, sans réel impact ni interaction avec le récit ?

Info : Cet article retranscrit un épisode du podcast “Comment c’est raconté ?”, disponible sur Youtube, iTunes, Soundcloud et services de podcast par RSS.

Salut ! Et bienvenue dans ce 19ème et avant-dernier numéro de “Comment c’est raconté ?”, le podcast qui déconstruit les scénarios un dimanche sur deux. Aujourd’hui petite session d’agoraphobie post-traumatique avec le thriller horrifique irlando-britannique Citadel, sorti en septembre 2013 directement en vidéo, écrit et réalisé par Ciarán Foy. Cette œuvre aussi glauque qu’intimiste, et malheureusement trop confidentielle, présente une passionnante composition du contexte dans lequel elle baigne.

Tommy, jeune père de famille agoraphobe suite au meurtre de sa femme par une bande de sauvages mystérieux et ultra-violents, s’emploie à dépasser son traumatisme, afin de sortir sereinement de chez lui et de retrouver une vie normale.

Malheureusement, les étranges agresseurs rôdent de nouveau, et semblent viser cette fois le bébé de Tommy, petite fille prénommée Elsa.

Sont-ce des êtres humains ? Des monstres ? Des fantômes ? Et pourquoi cet acharnement ? Tommy devra alors compter sur un prêtre réac’, une amie bienveillante, et sa propre résilience, pour comprendre, affronter et déjouer ce second drame qui s’annonce.

J’ai conscience que peu d’auditeurs parmi vous ont vu ce film. Du coup je vous conseille grandement de le visionner, puisqu’il me faudra le divulgâcher afin d’aborder la notion qui nous intéresse aujourd’hui. Bref : attention spoilers.

Petit avertissement : Citadel subit pas mal de critiques sur son rapport controversé à la banlieue, je traiterai de la question en fin d’article, notamment car cela fait partie du sujet.

Donc. Le contexte. Pourquoi le contexte ? Que peut-il présenter d’intéressant dans un film ? En premier lieu, penchons-nous sur sa fonction la plus intuitive, c’est à dire ancrer l’histoire.

Dans son éternel ouvrage Story, Robert McKee associe quatre dimensions à ce qu’il appelle le « décor : l’époque, la durée, le lieu, et la typologie de conflit.

Citadel, par exemple, se déroule à notre époque en hiver, dans une ville vétuste et morne aux rues plutôt désertes, sur plusieurs jours, et présente une variété de conflits allant de la psychologie personnelle aux combats contre des inconnus.

CONTEXTE : JUSTE UNE AMBIANCE ?

Que peut-on dire de tout cela ? Et bien qu’effectivement, le contexte, ou plutôt l’arène comme j’aime l’appeler personnellement, enrichit l’histoire d’une ambiance.

En effet, ce thriller plonge le spectateur au milieu d’éléments mystérieux et anxiogènes propres au genre horrifique qu’il compte emprunter. Quoi de moins rassurant que des êtres masqués, imprévisibles et ultraviolents ? Que des rues vides en pleine nuit hivernale ? Qu’un sentiment d’isolation, par la solitude de Tommy livré à lui-même face à ses démons et à des inconnus ?

L’arène de Citadel, contribue ainsi à plonger le spectateur dans l’intimité du cauchemar étouffant qu’affronte le pauvre Tommy.

Dans son livre Save The Cat, Blake Snyder pointe une technique intéressante de narration, qu’il appelle « keep the press out », qu’on pourrait traduire par « Gardez la presse hors de tout ça ».

Snyder remarque ainsi que la magie d’une situation intime disparaît si les événements s’ébruitent auprès de l’opinion publique. En effet, être confrontés à un contexte coupé du reste monde nous investit, nous spectateurs, dans une forme de confidence, où l’on se sent tout de suite davantage impliqué. Le chef d’œuvre E.T. de Spielberg serait-il aussi enchanteur, si le monde entier était, dans le film, au courant que le jeune enfant s’occupe d’un extraterrestre ? Probablement pas.

© LUMINOR FILMS

De même dans Citadel, le scénariste garde la presse hors de tout ça, ou du moins l’opinion publique, ainsi cela renforce notre connexion avec Tommy et son bébé ainsi que l’impact des événements terrorisant, et présage une absence totale de solutions extérieures. On est intimement dans la merde, quoi.

Tout cela pour dire que le contexte, oui, s’il était vraiment nécessaire de le démontrer, plonge avant tout le spectateur dans une ambiance.

Mais est-ce là sa seule fonction ? Evidement que l’arène d’un film offre bien plus de possibilités.

Le dramaturge le plus attaché au potentiel du contexte d’une histoire s’appelle John Truby, et il en parle dans son livre L’Anatomie du scénario. Pour faire simple : l’arène doit incarner l’histoire, et non seulement l’illustrer.

Autrement dit, le contexte est connecté aux personnages, il évolue avec eux, il est dynamique, et surtout : il interagit. Aucun mur invisible ne sépare les personnages du monde qui les entoure, d’ailleurs, ce dernier n’est pas moins riche dans sa composition que les personnages eux-mêmes. Et ça, nous le verrons, le scénariste de Citadel l’a bien compris.

CARACTÉRISATION DE L’ARÈNE

Pour commencer, de la même façon que les caractéristiques physiques, vestimentaires ou comportementales d’un personnage sont significatifs, les caractéristiques naturelles comme artificielles d’un contexte véhiculent du sens.

Truby cite l’exemple d’une forêt, dans laquelle le citadin se rend pour se retrouver, mais dans laquelle surtout il est aisé de se perdre, sur le plan physique comme spirituel. Voilà pourquoi elle constitue l’arène idéale de films comme Evil Dead, King Kong, Nos Souvenirs ou encore The End. C’est au cœur de la forêt que les personnages urbains courent à leur perte ou à leur rédemption, ils s’y engouffrent comme ils s’engouffrent en eux-mêmes.

Autre exemple de caractéristique naturelle d’une arène : la montagne. Une montagne véhicule une idée de hiérarchie, par la délimitation des écosystèmes en fonction des altitudes, elle inspire également un sentiment de tyrannie, par sa verticalité, ou, dans un registre plus positif, un sentiment de performance, par le défi que son ascension représente, ou encore un sentiment de plénitude, d’omniscience, par la vue à trois-cent-soixante degrés qu’elle confère.

Bref, le contexte véhicule bien plus que de simples émotions, il véhicule un sens, susceptible d’ailleurs de s’accorder avec la thématique d’un film.

Qu’en est-il de Citadel ? Celui-ci est ancré dans un contexte non pas naturel mais artificiel, comme les différencie Truby.

La maison du personnage, dont il n’ose pas sortir au début du film, réfère par exemple tout bêtement à la sécurité, à la protection. Hormis chez des personnes ayant eu une vie familiale traumatisante durant l’enfance, la maison est l’endroit où l’on veut être quand on ne veut être nul part. Voilà pourquoi ce lieu constitue le meilleur point de départ d’une histoire, nécessitant la fameuse sortie de la zone de confort, dont Tommy s’acquitte ici pour, d’abord, reprendre une vie normale, puis, échapper aux personnages encapuchonnés.

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Bon, là, je m’arrête tout de suite : en quoi est-ce intéressant ? D’accord, l’habitat du personnage véhicule un certain sens, mais ne s’agit-il pas d’une signification commune et impersonnelle ? Quel que soit le film, les caractéristiques susnommées d’une arène véhiculeraient le même sens, du coup ? Donc on retombe dans quelque chose de statique, une forme d’accessoire un peu rigolo ?

Bien sûr que non, Citadel va au-delà. Truby parlait d’incarnation de l’histoire. De quoi parle le film de Ciarán Foy ? À l’évidence, de phobie post-traumatique, ou plus généralement d’ailleurs : de peur. « Ressens la peur et laisse-là passer », se répète Tommy régulièrement, suite à ses thérapies, pour vaincre son agoraphobie.

Justement, la fameuse citadelle, paramètre artificiel de l’arène du film pour revenir à Truby, incarne thématiquement l’histoire. Dans une interview sur les internets, le scénariste-réalisateur de Citadel insiste sur le fait que l’agoraphobie n’est pas techniquement une peur de l’extérieur ou de la foule elle-même, mais une peur de ne pas pouvoir s’en échapper. Tommy est effrayé non pas par le monde qui l’entoure, mais par le fait de ne pas pouvoir s’en extraire, comme durant cette scène où il manque le bus de peu, et risque alors de devoir s’éterniser de longues heures dans les rues à déambuler, avant de rejoindre sa maison.

Voilà pourquoi j’estime que la citadelle incarne elle-même le thème du film. Plus Tommy grimpera les étages dans l’espoir d’y retrouver sa fille et de la détruire, plus il s’éloignera de l’entrée et affrontera sa peur de ne pas pouvoir s’échapper. La citadelle constitue la peur-même du personnage.

De plus, l’agression de sa femme s’est également déroulée dans l’enceinte de cette tour. Donc, la tour incarne en plus le trauma intense que Tommy désespère de dépasser.

Voilà donc comment, par exemple, l’arène d’un film peut spécifiquement interagir thématiquement avec le protagoniste, et donc avoir le même impact sur lui qu’un personnage secondaire.

Mais tout cela demeure statique, bien que personnalisé. Or, Truby parlait d’un développement de l’arène, d’une connexion avec l’évolution du personnage.

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DYNAMISME DE L’ARÈNE

C’est ici qu’entrent en scène les personnages mystérieux, que Foy appelle les « capuches » dans son scénario. On découvre bien vite qu’il s’agit en réalité de démons, des créatures fantastiques anthropomorphes assoiffées de sang et de violence. Ces personnages font partie du décor. Faute de dialogue, de caractérisation, de backstory, d’intelligence, de but clairement signifié, d’enjeu personnel ou de quelconque attribut humain si ce n’est leur forme, ces entités sont présentées comme des éléments chaotiques anonymes, incluses dans le contexte de l’histoire.

Continuons de les appeler « personnages mystérieux » dans un but purement pratique, ils se fondent néanmoins dans le décor, et sont un élément constitutif de l’arène, du contexte.

Eux, traduisent l’évolution du personnage principal. Plus Tommy a peur, plus ils l’attaquent, ce qui engendre un cercle vicieux, et à l’inverse plus il est serein, et plus ces créatures l’ignorent. Pourquoi ? Sont-elles dotées d’un libre-arbitre, d’un avis, d’une motivation soudaine ? Absolument pas. Elles sentent tout bêtement la peur chez Tommy, via sa sécrétion de cortisol, hormone de l’anxiété. De même que certains animaux aveugles se meuvent grâce aux ultrasons, que les zombies sentent le sang, les personnages mystérieux de Citadel captent la présence de cortisol chez leurs proies. Ainsi, ces personnages deviennent le reflet de l’état de Tommy, le reflet de son évolution, autant qu’ils présentent une menace pour lui.

Cette idée plutôt maligne permet effectivement de matérialiser à l’image l’évolution thématique du film, puisque l’intensité de l’hostilité des ennemis traduit l’intensité de la peur chez Tommy.

Par exemple, durant la sortie finale du bâtiment, lorsque Tommy a récupéré sa fille, il déambule sereinement au milieu des démons qui ne le calculent pas, traduisant la transformation et la résiliation effective du héros.

D’une certaine façon, le contexte devient l’antagoniste, et se faisant il traduit le réel antagoniste de l’histoire : Tommy lui-même.

D’ailleurs, le film va plus loin que cela. Prenons son twist final : les bébés volés par les démons deviennent ensuite eux-mêmes des démons assoiffés de peur.

La salle aux cages remplies de bébés en transformation traduit le cœur du propos du film. Non seulement nous nous créons nos propres obstacles avec nos peurs, mais plus encore la peur se répand par filiation et contrevient ensuite à la communauté globale. En effet, plus vos peurs vous dominent, plus votre bébé a de chances d’être enlevé puis métamorphosé en démon, phénomène irréversible qui le rendra sans pitié par la suite.

Pour revenir au contenu général de l’arène, au-delà des paramètres naturels et artificiels, Truby évoque également les paramètres « technologiques ». Il ne fait pas référence ici à de l’informatique, mais tout simplement au petits éléments du contexte qui sont l’œuvre de l’humain.

Dans Citadel, les miroirs sont par exemple utilisés d’une façon particulièrement signifiante. Symboliquement, un miroir évoque la réalité. Faire face à son reflet, faire face au miroir, c’est affronter le monde véritable, même si celui-ci diffère de nos croyances.

Ici, que ce soit dans une portière ou dans une théière, les personnages mystérieux sont régulièrement présentés dans un reflet. De même, sur les vitres du bus emprunté par Tommy, apparaît à un moment le reflet de l’écrasante citadelle. Montrer les incarnations de la peur du protagoniste à travers des reflets traduit davantage encore combien elles s’inscrivent dans la réalité du personnage, il s’agit de vérités desquelles il ne parvient pas à échapper.

Ainsi, lorsque Tommy se bat dans la tour contre l’un des démons, il l’achève en l’égorgeant, justement, avec… un morceau de miroir brisé. Non seulement le protagoniste tourne en sa faveur une promesse de malchance — on sait tous combien les miroirs brisés incombent aux plus superstitieux une malchance prochaine — mais Tommy utilise surtout un symbole de vérité (le reflet du miroir) pour terrasser une incarnation de sa peur (le démon), signifiant que la peur n’a plus sa place dans la réalité. Waow. Je ne sais pas si cette signification est intentionnelle, mais j’aime à y croire.

MESURER L’IMPORTANCE DE L’ARÈNE

Bon, je me branle pas mal les neurones depuis tout à l’heure, évidemment que toutes ces symboliques et ce rapport au contexte doivent propulser et enrichir le récit, mais surtout pas le remplacer.

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Egorger un personnage avec un objet tranchant, c’est une action attendue dans un film d’horreur. Présenter une menace dans un reflet la rend encore plus inaccessible donc perturbante. Des bébés en mutation qui crient dans des cages constituent une situation dignement terrifiante, pour un film d’horreur. Tout ça pour dire que les interactions du personnage avec son contexte s’inscrivent avant tout au premier degré dans un récit horrifique efficace, avec lequel ils ne dissonent pas, mais lui apportent simplement une portée émotionnelle et cérébrale sous-jacente supplémentaire.

Aristote disait dans son traité Poétique, qu’une expression est de qualité lorsqu’elle est claire sans être plate, avec un mélange de noms courants et de figures de style. Citadel mêle parfaitement un minimalise horrifique clair, concret et efficace, avec un propos stylisé via une arène figurative et interactive.

AU FAIT… IL N’EST PAS UN PEU RÉAC, CE FILM ?

Voilà qui conclue le cœur de mon sujet, mais je ne peux vous laisser sans aborder le sujet qui fâche : la portée réactionnaire du film. En effet, frontalement, Citadel présente des individus menaçant à capuche qui vivent dans des gratte-ciels affreux, se droguent, attaquent des inconnus, tout ça tout ça. Pire encore, le personnage bienveillant à l’égard de leur misère et de leur situation — Marie, incarnant une forme de bien-pensance — finit abattue par certains d’entre eux, et cela s’avère d’autant plus étrange qu’elle ne les craint pas, donc que thématiquement elle n’est pas censée être repérée. Par ailleurs, le prêtre réac, fidèle soutien du héros jusqu’à la fin, affirme que « toute la merde vient de cette cité Nord-Est », et qu’il faut la brûler. Ambiance. La symbolique catholique ambiante légitimise davantage encore ce prêtre, depuis la croix autour du cou du héros jusqu’aux nombreuses évocations de la sainte trinité — le numéro cent-onze sur la porte, Tommy + sa compagne + leur bébé, Tommy + Marie + le bébé, ou encore Tommy + le prêtre + un enfant aveugle. Par ailleurs cette trinité est martyrisée à chaque fois, puisqu’un chiffre « un » tombe du nombre cent-onze, que Joanna décède, que Marie décède, et enfin que le prêtre décède. Symbolique affirmée par l’auteur en interview. Et pour finir, à la fin du film, une fois Tommy réconcilié avec ses peurs, alors qu’il pourrait déambuler désormais dans la tour sereinement, il choisit d’accomplir le plan du prêtre et donc de faire péter les tours, de nettoyer la citadelle de ses démons.

Si on fait la somme de tout cela, oui, on n’est pas loin du rapport sarkoziste aux banlieues : virer les « racailles » au karcher et j’en passe. Je comprends ainsi parfaitement le malaise qu’on puisse ressentir à l’égard de Citadel.

Tout de même, j’aimerais me faire l’avocat du diable sur quelques points, qui certes n’excuseront pas tout.

Pour commencer, cette œuvre s’avère en partie autobiographique, puisque Ciarán Foy a subi une agression par un gang dans sa jeunesse, gratuite et violente, à l’origine d’une agoraphobie dont il a peiné à se relever. Le meilleur moyen qu’il a trouvé pour restituer cette situation initiale consiste à ne pas montrer les agresseurs. Il pourrait effectivement sombrer dans une approche stigmatisante, montrant des jeunes de banlieue en train de tuer sa femme, au lieu de cela il présente des personnages sans visage, à l’apparence dissimulée, des démons quelconques, bref : il présente des personnages fantastiques, n’ayant d’autre but que d’incarner le chaos et de traduire les peurs du héros.

Par ailleurs, le contexte de la banlieue est utilisé, je trouve, à bon escient. C’est l’histoire d’un personnage qui dépasse ses peurs ; de même, le spectateur est invité à dépasser les siennes. L’inconscient collectif se méfie malheureusement des banlieues désaffectées et des capuches, mais le personnage trouve la survie dans la cessation de la peur : c’est en déambulant sans nervosité dans cette banlieue qu’il lui découvre un caractère inoffensif. Il dépasse d’une certaine façon ses préjugés, basés sur une unique mésaventure.

En outre, faire exploser le bâtiment c’est faire exploser les manifestations de ses peurs, d’une certaine façon, donc confirmer que cet épisode de sa vie est totalement derrière lui.

Enfin, rappelons que le contexte du film est isolé, que la ville n’est pas nommée, qu’elle n’existe pas, ainsi l’arène du film Citadel peut se voir exclusivement considérée sous sa dimension métaphorique, au-delà des apparences, donc au-delà d’une dichotomie terre-à-terre de type « banlieue et capuches » versus « métropole et victimes ».

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Fondu au noir pour ce 19ème numéro de “Comment c’est raconté ?”, merci pour votre écoute, j’espère qu’il vous aura intéressé !

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Je m’appelle Baptiste Rambaud, disponible sur Twitter pour répondre à vos questions, à vos réactions, et vous donne rendez-vous donc dans 2 semaines, pour la 20ème et dernière séance de la saison 2017/2018. Tchao !

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