Étude d’impact socio-économique des FIA en immobilier non coté
Compte-rendu de l’atelier l’ASPIM-Ey du 1er avril 2019
L’Association française des Sociétés de Placement Immobilier (ASPIM) « promeut, représente et défend les intérêts de ses adhérents, les gestionnaires de fonds d’investissement alternatif (FIA) en immobilier (SCPI, OPCI et autres FIA par objet).» C’est donc dans le cadre de sa mission que l’ASPIM a lancé sur l’année 2019 une campagne de sensibilisation ayant pour thème « la contribution économique des FIA en immobilier non coté (SCPI, OPCI et autres FIA par objet) ».
Cette campagne, qui s’inscrit dans une démarche à la fois informative et prospective, se déroule en régions sous la forme d’une série de rencontres réunissant décideurs politiques et patronaux locaux. Articulé autour de 3 axes, la dernière réunion de travail visait à mettre en valeur la capacité des FIA en immobilier non coté à soutenir l’économie réelle et à apporter des réponses fiables et concrètes à certaines problématiques majeures de notre société. Il s’agit de promouvoir une activité d’investissement
1Au soutien de la retraite des Français, de la fabrique de la ville/du logement (et des grands projets d’investissement)
2 Au cœur des lieux de travail et lieux de vie sur tous les territoires, à Paris, en région et en Europe
3 Qui s’inscrive dans le temps et dans notre temps : les transformations & usages
En effet, face à l’épineux problème des retraites auquel notre pays est confronté, ce type de véhicule d’investissement représente une solution pertinente, susceptible de permettre aux épargnants de mieux préparer leur retraite ou de s’assurer un complément de revenu.
L’attention des décideurs a par ailleurs été attirée sur la capacité des FIA immobiliers à générer non seulement de la valeur pour l’investisseur mais, plus largement, de la croissance au niveau macro-économique grâce à leur aptitude à créer de nouvelles richesses et de nouveaux emplois dans la filière de l’immobilier et de la ville.
Le volet prospectif de cet atelier a, lui, permis d’identifier quatre défis majeurs pour les 3 à 5 prochaines années :
- la démocratisation de l’épargne immobilière,
- la valorisation des initiatives ISR,
- le développement de nouvelles offres de services en lien avec l’évolution des usages,
- et enfin l’européanisation du secteur.
