Ce langage que parlait mon cœur…
Il y avait dans son regard ce langage que parlait mon cœur.
Il s’y mouvait par des expressions sentimentales ineffables.
Il fallait le vivre pour apprécier nos battements de cœur.
Elle était sensuelle, charmante et méritait chacune de mes fables.
Ma lectrice, mon Allos, mon autre version de ma personnalité :
Dans ses yeux, j’observais la douceur de sa belle personne. Alitée,
Epuisée, c’est en tenant ma main qu’elle reprenait goût à la vie.
Alors, à travers ses aises, je pouvais m’exclamer : « tout est ravi ! »
Mais elle était une autre version de moi. Donc, au bout de quelques mois,
Elle savait que « La Mort du Loup » était une poésie ancrée en moi.
Elle savait que j’aurais compris son détachement,
Elle savait que j’étais entre solitude et engagement.
Et, son attachement éphémère ne me troublait point.
Nous étions deux âmes sœurs rassemblées sur un point
De l’univers. Unis, vers le futur l’amour annonçait la séparation :
Du donner et du recevoir, nous fûmes prisonniers. C’est par l’action
Puis l’inaction que la vie nous conduisait au bout du tunnel.
Il y avait cette lumière rappelant que notre union devint toxique.
Je ne l’aimais pas, je l’appréciais : mon cœur s’était trompé de lexique.
Elle ne m’aimait pas : elle appréciait m’explorer sous une tonnelle.