Négociez avec son intestin !
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Tous mes contenus ont un objectif unique.
L’objectif de vous aider à booster les performances de votre cerveau pour faire décoller votre carrière professionnelle.
Aujourd’hui, je vais déroger à la règle que je me suis moi-même fixée.
Parlons ensemble alors ensemble de négociation, de manipulation et de digestion.
Le B.A.-BA du négociateur moyen
Quiconque a suivi des études commerciales, ou a lu des livres sur le sujet, connaît par cœur les quelques principes majeurs de la négociation : créer de la confiance, connaître son prix le plus bas, maîtriser son produit, utiliser la preuve sociale, toujours demander une contrepartie, et j’en passe.
Toutes ces règles sont bien, elles sont pratiques et elles fonctionnent.
Problème, elles sont connues de tous.
Tout le monde négocie alors à armes égales et 90% des négociations finissent comment elles ont commencé : rien n’a avancé.
Tout le monde perd son temps. Personne n’est satisfait.
Le commercial se sent mauvais. Le client ou le prospect est frustré.
Vous intéresser aux neurosciences et, plus particulièrement, au fonctionnement du corps, vous permettra de casser très facilement et très rapidement ce statu quo, d’avancer et de faire de vous un négociateur hors pair !
Le genre de négociateur à qui rien ne résiste.
Et ce, grâce à l’utilisation d’une seule et unique stratégie.
Vous ne me croyez pas ? Alors, laissez-moi vous en dire plus.
Mais avant ça, voyons le déroulé d’une négociation “classique”.
La négociation classique
Comment commencent 99% des négociations ?
Par un repas au restaurant.
Repas au restaurant où il est de coutume que le commercial “rince” son client ou prospect.
Tout comme il est coutume que le repas en question soit copieux, bien gras, qu’il se termine par un dessert bien sucré et qu’il soit arrosé d’un peu d’alcool.
Résultat, avec un tel repas, vous et votre client ou prospect vous retrouvez amorphes et léthargiques une fois l’addition payée.
De retour au bureau, vous n’avez alors qu’une envie : en finir au plus vite pour pouvoir enfin déboutonner votre jean et vous avachir sur votre fauteuil.
Vous utilisez tous vos petits principes de base de la négociation, sans conviction. Personne n’a la force de débattre, tout le monde pense à faire sa sieste et résultat : notre fameux statu quo.
Ça, c’est ce que l’on veut éviter.
Passons maintenant à LA fameuse stratégie qui va tout changer.
La négociation… digestive.
On garde le même contexte, les mêmes protagonistes et le même sempiternel repas au restaurant.
Sauf que là, vous n’allez pas faire comme tout le monde.
Vous allez, d’une part, inciter votre interlocuteur à prendre des repas à base de viande et de graisses.
Sans oublier un bon verre d’alcool.
Et vous, de votre côté vous opter pour un repas “salade verte et chèvre”.
Ce faisant, au moment de payer l’addition, vous serez en pleine forme et en pleine possession de vos moyens.
Votre client ou prospect, non.
Il n’aura qu’une envie : dormir.
Ce sera alors un jeu d’enfant pour vous de négocier.
Votre interlocuteur ne vous imposera aucun contre-argument.
Il voudra signer au plus vite pour en finir.
Et plus vous insisterez, plus vous pinaillerez sur les détails, plus il voudra en terminer.
J’ai signé mes plus beaux contrats de cette façon.
Dont une prestation de recrutement à plus de 15 000 euros.
L’explication.
En quoi cette méthode fonctionne si bien?
Simplement, car digérer demande énormément d’énergie à notre organisme.
Énergie qui d’une part nous épuise et qui, d’autre part, n’est pas allouée à notre cerveau.
Ce qui nous prive alors de nos capacités de réflexion, d’analyse, de logique et de communication.
C’est pourquoi il nous est si compliqué de travailler après le repas du midi.
C’est naturel, c’est physiologique.
Et plutôt que d’utiliser ce constat à vos dépens, faites en une arme.
Vous voulez aller plus loin ?
Si vous voulez aller plus loin dans la découverte des mécanismes de votre cerveau et des stratégies pour optimiser le potentiel de ce dernier, je vous invite à découvrir mon podcast hebdomadaire et à rejoindre ma lettre privée.