STBF (Brochart & fils) : une histoire de famille

FretLink présente ses partenaires

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Si l’actualité du transport est souvent monopolisée par les géants du transport qui font les gros titres, ce sont bien les milliers de PME implantées dans nos régions qui font vivre le secteur. FretLink souhaite mieux faire connaître leur quotidien et mettre en avant leur professionnalisme. Cette semaine, nous vous présentons la STBF, partenaire de confiance de notre réseau en Picardie.

Des débuts “légers”

Le patriarche Marc Brochart a lancé la STBF (Société de Transport Brochart & Fils) en 1995 à Proyart, dans la Somme. Le secteur, à l’époque était déjà difficile et il fallait redoubler d’efforts pour perdurer. Les débuts se font avec un 20m3 qui a ainsi sillonné les routes du nord de la France. Le vénérable VUL prend aujourd’hui une retraite méritée dans le fond de la cour de l’exploitation.

C’est le fils Alexandre qui, à ses 18 ans, passe son permis poids lourd et permet à la STBF de franchir un cap avec l’achat d’un porteur. La société picarde va ainsi monter en puissance avec les années, passant du porteur à la semi remorque pour finir aujourd’hui avec 3 tracteurs Scania qui font essentiellement du tautliner.

La STBF a fait une incursion, pendant 7 ans, dans le secteur de la benne céréalière attirée par les productions massives de la région (betterave, céréales, etc…) mais le calcul s’est révélé de moins en moins intéressant avec le temps.

Le travail en famille

La STBF, à l’image de nombreuses PME de transport françaises, s’appuie sur une cellule familiale soudée. Marc passe ainsi progressivement la main à sa fille Sandrine qui gère actuellement l’activité. Cependant il continue de prêter main forte à l’occasion. Le cousin par alliance, Nicolas, est aussi mobilisé ! Le fils Alexandre se charge des longues distances surtout lorsqu’il y a des découchés.

Une stratégie payante

Résister aux géants du transport n’est pas chose aisée quand on dispose d’une petite flotte. Pour cela, il faut miser sur la qualité de service et la disponibilité.

La STBF se concentre sur le nord de la France en débordant sur la Normandie (Eure, Seine-Maritime et même Sarthe).

Mais tout n’est pas rose loin de là !

Comme de nombreux dirigeants de PME, je souffre des charges imposées par l’Etat qui grèvent son budget.

Elle a aussi du mal à trouver du fret bien rémunéré, notamment pour charger au retour, en direction de la Somme. Les prix proposés sur les bourses de fret sont ainsi trop bas pour être vraiment intéressants.

FretLink constitue, à ce titre, une vraie opportunité pour la PME picarde car nous disposons de la force de frappe commerciale et marketing pour aller convaincre des grands chargeurs autrement difficilement accessibles.

“FretLink nous positionne sur une ligne régulière et bien rémunérée, pour nous c’est ce qu’il y a de mieux.”

Par ailleurs, nous n’avons jamais cru au tout-automatique qui aboutirait, selon nous, à une déshumanisation du transport. Nos affréteurs nouent des liens de confiance avec la STBF, notamment Hichem qui nous a rejoint à l’automne et qui est en relation directe avec Sandrine.

“Sandrine, je la place sur le podium de mes exploitants préférés, on s’entend très bien !”

Hichem, affréteur chez FretLink, est en relation continue avec Sandrine de STBF

FretLink donne un accès direct au marché des chargeurs — PME et grands groupes. Sans intermédiaire, la STBF réalise des marges conséquentes qui facilitent le développement de son activité.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à venir nous rencontrer au SITL du 20 au 23 mars 2018 ou retrouvez-nous sur les réseaux sociaux.

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