Bootcamp Ironhack Paris : finalement, que retenir de ces 2 mois ?
J’ai finalisé le bootcamp il y a quelques semaines. Suite à un repos bien mérité, je me suis dit qu’il serait peut-être utile pour toute personne intéressée par un bootcamp d’avoir une vision globale de cette expérience.
Ainsi, voici comment je la résumerais :
2 mois de dur labeur !
Si vous avez lu mes premiers articles, vous avez pu vous rendre compte que les débuts étaient éprouvants : nous nous confrontions à de nouvelles difficultés quotidiennement, le rythme était soutenu… je me suis ainsi demandée assez régulièrement ce pourquoi j’étais ici. Et pourtant, j’ai fini les dernières semaines avec le sourire aux lèvres en codant mon dernier projet nelene.co (enfin jusqu’au stress procuré par la présentation finale 😅)
Me voici, polyglotte !
Je sais aujourd’hui parler HTML, CSS, JS coté serveur (avec Node.js) et côté client (avec Vue.js)
Je sais donc mettre en place des prototypes assez rapidement grâce à la méthodologie acquise lors des « project week ». Nous en avons eu 3. 3 projets à réaliser pour dépasser la peur de se lancer et pour améliorer notre gestion du temps en tant que débutant afin de finaliser notre projet dans les temps impartis.
Un nouveau mindset : « Voir grand mais par étape réalisable »
Maintenant, lorsque je pense « produit » je pense « fonctionnel avec le moins de fonctionnalités possibles ». C’est dans cet état d’esprit que j’ai réalisé mes différents projets lors du bootcamp et c’est ce qui m’a permis de les rendre fonctionnels dans les temps et d’avoir une base solide pour les améliorer par la suite. C’est une manière de voir que je réutilise au quotidien dans différentes situations : « Voir grand mais par étape réalisable ».
Je crois encore plus à la puissance du travail collaboratif. Ainsi, je suis en mesure de continuer mon apprentissage aux côtés d’un autre développeur grâce à la découverte du pair programming.
Une envie incompréhensible de coder régulièrement 😉
Eh oui, j’ai besoin chaque semaine de ma petite dose de code. Je n’ai pas trop compris pourquoi au début (mon objectif n’étant pas de devenir développeur) mais finalement cela semble évident : c’est vrai que l’apprentissage de la programmation est assez douloureux mais une fois que les bases sont suffisamment solides, celui-ci peut se poursuivre de manière plus légère voire agréable.
Vive les enseignants !
Quelle aurait été cette aventure sans les professeurs ? J’ai eu la chance d’avoir des professeurs dévoués, passionnés par leur discipline et avec de réelles aptitudes à la transmission de leurs connaissances bien que jeunes : (26 ans d’âge moyen). Ils ont clairement fait la différence et contribué dans ma persévérance au fil des semaines. Je recommanderais ce bootcamp aux personnes totalement novices, avec une moindre confiance en soi rien que pour ces professeurs 😄