Paris, la France, et le reste du monde ont la gueule de bois. Bienvenue en 2016. Rien ne change.
Journal d’un manche à couilles (billets d’humeur, comptes-rendus d’escapades nocturnes et d’histoires à la con)
Ils cherchent tous la liberté, et pourtant s’épanouissent dans la frustration.
Je suis fatigué de me saouler la gueule chaque week-end. Il n’y a rien à espérer d’une routine aussi médiocre.
La nuit est toujours pleine de mystères, par contre les gens sont devenus ennuyeux.
Paris est une belle salope. À peine arrivé, j’étais déjà vidé de mon jus jusqu’à la moelle.
Je ne suis peut-être pas le plus malin de la planète, mais j’ai de l’instinct. Je sais lorsqu’il est temps de mettre les voiles.
Je n’envie pas les couples, je les trouve flemmards. Et moi, j’aime la difficulté… du célibat.
Faut-être con quand même, je n’ai jamais aimé rendre des comptes, et je me suis remis en couple.
Les meilleurs amis Delhomme, sa bite et son couteau.
Le pire ennemi Delhomme, ses proches.
Ce que je reproche au réveillon du nouvel an, c’est qu’il n’y a aucun temps mort entre la fin de l’année et l’arrivée de la suivante. Au lieu de faire le réveillon entouré des bons à rien avec qui on a gâché l’année écoulée… on devrait sans doute passer la soirée seul pour réfléchir, se ressourcer, méditer.
Je ne vois pas bien l’intérêt de commencer la nouvelle année avec une gueule de bois agrémentée de mensonges emballés dans le papier cadeau rutilant des bonnes résolutions. Ce n’est pas comme ça qu’on change les choses, et qu’on avance.
Moi j’dis, basta !
