Les premiers inscrits racontent leur expérience et leurs découvertes dans l’école des robots Flint

Zizanie
La bibliothèque des robots
6 min readJul 16, 2018
(Une future maman de bébés robots lors du festival Futur-e-s à Paris, en juin 2018)

L’école des robots Flint te permet d’adopter des bébés robots et de les spécialiser sur les sujets qui t’intéressent. Tu peux découvrir tout ce que tu peux faire avec eux en cliquant ici. Tu peux aussi lire les témoignages des premiers inscrits. Leurs expériences sont toutes différentes.

Patrice Bonfy, entrepreneur, co-fondateur du “Paternel” :

Samuel Monthuley, consultant, Little Wing :

“Au sein de Little Wing, nous avons décidé de nous pencher plus en détail sur ces questions. En avril 2018, après une rencontre avec l’innovateur Benoît Raphaël, qui a lancé le projet collaboratif entre humains et robots Flint, nous avons recruté notre premier robot-stagiaire, Jimi. Il a rapidement été rejoint par d’autres assistants virtuels, également issus de la famille Flint. Leur mission au sein de l’agence : fournir à nos équipes des articles pertinents sur des thématiques de notre choix, afin de faciliter notre travail de veille médiatique et la recherche de contenus.

“Mon expérience m’a montré”, raconte-t-il, “que les outils dotés d’IA peuvent, dès à présent, faciliter grandement notre travail quotidien, en apportant une puissance de calcul ne pouvant être atteinte par un humain et une main d’œuvre disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Bien entendu, ils n’ont pas vocation à remplacer nos équipes, mais à les assister dans leur travail. “

“Au sein du projet Flint, les éleveurs de robots sont ainsi en échange continu sur leurs expériences d’éducation. Cet échange permet de partager les bonnes pratiques entre « parents » de robots et d’alerter sur des évolutions inattendues des assistants virtuels. Ensemble, nous co-construisons le cadre du projet et contribuons à l’IA centrale, à laquelle l’ensemble des robots sont connectés.

“Appliquée à une plus grande échelle, ce modèle de collaboration ouvert permettrait de créer un cadre éthique et démocratique pour le développement d’une IA au service de la société.

Samuel a depuis raconté ses premiers mois d’expérience dans un long article sur LinkedIn (à lire ici).

Philippe Roussière, head of Innovation, Accenture Research :

“Flint amplifie Accenture Research et prépare notre imaginaire à la collaboration homme machine.

« Une cinquantaine de cobots Flint améliorent le quotidien de nos analystes et managers Accenture Research dans une vingtaine de pays dans le monde. Ils augmentent notre productivité et nous préparent de façon pratique et ludique à l’apprentissage des machines et à la collaboration nécessaire à l’évolution de notre métier.

« Mon ambition est que ces co-bots soient un jour des collègues bienveillants en qui nous ayons confiance pour ne pas manquer une information critique et hyper spécialisée et de se débarrasser du FOMO — Fear Of Missing Out »

Philippe a depuis raconté son expérience sur le blog d’Accenture (à lire ici en anglais)

Mélissa Casagrande, business developper, Les Sismos :

« Mes petits robots m’ont aidé dans mon travail, à gagner en connaissance, à partager des articles que je trouve pour des clients. J’ai entrainé mes bébés robots en les spécialisant sur une thématique précise. “Databoulinet” sur les datalab, “Kittcar” sur la mobilité du futur, “Bluek” sur la blue economy, “Johnny 5” sur les robots.

“Ce qui est commun à nous, éleveurs de robots, c’est qu’on a tous remarqué qu’élever un robot nous faisait gagner du temps de veille, que cela soit pour nous mêmes ou pour nos clients. Ça nous permet de trouver de nouvelles sources d’informations très rapidement. On s’en sert pour valoriser notre expertise et celle de notre entreprise en spécialisant les robots sur des sujets pointus. C’est aussi un moyen de passer plus de temps sur notre valeur ajoutée en tant qu’humain : celle de l’analyse des informations que l’on trouve grâce à nos assistants personnels.

«- C’est une entreprise de 3 personnes qui font des choses grandioses en France .

- C’est une expérience dans laquelle j’ai pu embarquer facilement.

- Cet univers est cohérent et beau.

-Tout le monde dit “tech for good”, d’autres disent “tech for all”. Bah là c’est du “tech for good for all” ! »

Thomas Dubernet, analyste en finance de marché :

“Merci d’avoir pu nous donner accès en avant première à une technologie qui cristallise tout les fantasmes et les peurs. Cela aide à démystifier L’IA et en fin de compte et de manière inattendue cela nous rend service pour découvrir ce que nous sommes et notre capacité à créer par l’éducation.

“Bienveillance et autocritiques sont les pierres d’achoppement pour éduquer son IA. Plutôt que d’y voir l’outil précurseur à la fin du monde, je pense que c’est peut être le point de départ pour un monde plus humain !

Isabelle Defay, CMO chez Limber a utilisé l’école des robots Flint en interaction avec Limber, un outil de veille et de diffusion pour le marketing de contenus.

Flint permet aussi, sur abonnement, d’élever ses propres robots par thématique et ainsi de recevoir des propositions sur des environnements ou écosystèmes très différents. Pour la veille Limber, nous avons ainsi créé des robots spécialisés sur le sujet de l’Employee Advocacy, sur le Social Selling, sur les Ressources Humaines, sur le SEO, sur l’Inbound Marketing… Chaque matin, nous recevons une sélection d’articles par thématique.
Mais il est possible d’aller encore plus loin…
Grâce à la plateforme Limber et à son système d’indexation de flux RSS, il est possible de centraliser et de filtrer l’ensemble des articles proposés par les robots de Flint Media, en fonction de mots clés ou d’ensemble de mots clés.

Isabelle explique en détail dans un article (à lire ici) comment elle a opéré et les résultats qu’elle a obtenus.

Magali Dansac, Partner et Thomas Defaux, Senior Associate, Baker McKenzie :

Notre robot collaborateur, Lancelaw, apprend désormais tout seul et continue d’affiner ses selections d’articles sur le futur du métier d’avocat. En tant que tuteurs de Lancelaw, nous avons consacré plusieurs mois à l’éducation du robot, avec le soutien de différents avocats de l’entreprise impliqués dans le projet. Ce robot “Made in Baker McKenzie” est devenu une source très précieuse dès les premières semaines d’utilisation.

Vous pouvez lire le communiqué de Baker McKenzie sur le robot Lancelaw, un des premiers promus de l’école des robots, ici (en anglais).

Lancelaw, nouveau collaborateur de Baker McKenzie.

Si toi aussi tu veux vivre ton histoire avec tes bébés robots Flint, tu peux t’inscrire à l’école et découvrir toutes les offres en cliquant ici.

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