#1jour1texte — Jour 7 — Comment améliorer son fil d’actualité?

David Sankar
JOURNAL D’UN RECRUTEUR EN VADROUILLE
2 min readSep 4, 2019

Je continue la réécriture d’anciens articles.

Mon challenge sur les prochains textes sera de glisser de l’atemporel dans l’anecdote.

Ca veut dire quoi ? Réponse bientôt.

En attendant, je vous parle de votre fil d’actualité LinkedIn.

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Tous le monde l’a remarqué: le fil d’actualité est rempli de posts “malaisant”.

Enfin j’avoue que sans le compte Disruptive humans of linkedin, ces posts me seraient restés inconnu.

Mon feed est plus intéressant que jamais.

Certes, j’y passe moins de temps. Mais surtout, j’interagis avec ce qui m’y est montré.

Du coup, et parce que les jérémiades sur le manque de qualité du fil d’actualité m’ennuient autant que les contenus qui m’y sont rapportés, je vous partage une video muette.

Elle dure 45 secondes.

Si vous vous êtes toujours demandés à quoi ressemblait de cliquer sur TOUS les boutons d’un post, sans avoir jamais osé le faire: cette vidéo est pour vous.

Merci Anna et Matthieu pour le post exemple :)

Ca prends 2mn par jour.

2 mn pour faire remonter les contenus que nous disons vouloir voir, de la part de personnes que nous disons vouloir suivre.

Oui, il faut éduquer l’algo.

Et celui-ci est revêche.

So what?

2 principes, sur lesquels nous n’avons heureusement aucune prise.

Chacun est libre de poster ce qu’il souhaite donner à voir.

Chacun est libre de décider de ce qu’il ne souhaite pas recevoir.

Si nous râlons sur ce que nous voyons, c’est parce-que nous n’aimons pas avoir à travailler ce que nous regardons.

Vous connaissez la posture stoïcienne? Inutile de râler sur ce sur quoi nous n’avons aucune prise.

Mauvaise nouvelle. A nous d’agir sur ce sur quoi nous avons un impact.

Dit autrement, inutile de se sentir coupable mais nous sommes responsables.

Nous choisissons:

  • de ne pas unfollow une personne dont l’activité nous déplaît.
  • de ne pas masquer un post qui nous choque.
  • de ne pas signaler un auteur qui abuse.
  • de ne pas signaler les # qui nous intéressent.
  • de ne pas liker/commenter les posts qui nous font réfléchir.
  • de ne pas publier nous même le type de contenus que nous voulons trouver.

Par contre, nous prenons le temps de faire des copies d’écran, de râler que c’était mieux avant.

Quoi, si je suis pas content, j’ai qu’à unfollow?

Ok, on commence maintenant?

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David Sankar
JOURNAL D’UN RECRUTEUR EN VADROUILLE

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