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BTM est une blanchisserie industrielle au service des professionnels de l’hôtellerie, de la restauration, de l’industrie et de la santé. Elle propose l’entretien de tous types de textiles afin d’améliorer la gestion quotidienne des stocks de leurs clients. Grâce à l’expertise de Lesterius, BTM est sereine à l’idée d’avoir un logiciel répondant à ses besoins.

Lesterius Team
Lesterius FR
3 min readApr 30, 2017

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Jean Eudes Renou, BTM

«BTM est une entreprise de blanchisserie industrielle. Nous lavons du linge pour les professionnels de l’hôtellerie, de la restauration, métiers de bouche, l’industrie, la santé… On est loueur et blanchisseur, c’est-à-dire que tout le linge que nous traitons, nous appartient et on le met à disposition de nos clients.

Nous avions auparavant un logiciel de gestion commercialequi gérait également les vêtements de travail, avec une traçabilité. On avait juste un problème de personne, c’est-à-dire que nous étions face à un seul informaticien qui avait cinquante ans à l’époque, qui avait truqué son système pour nous obliger à passer sur la nouvelle version, c’est-à-dire qu’à une date prédéfinie, le système buguait et le seul moyen de se débloquer, c’était de passer à la nouvelle version.

Ma sœur étant relativement proche de l’informatique, je lui ai demandé quel était le système qui pouvait correspondre le mieux en termes de stabilité et de continuité dans le temps. Elle m’a dit : « Tu ne t’embêtes pas, tu passes sur FileMaker ». J’ai rencontré Lesterius, ma sœur encore m’a dit : « Tu appelles trois entreprises » et il y avait deux finalistes, Lesterius et un autre. Ce qui a fait pencher la balance, c’est le contact et le sentiment que le suivi et la réactivité allaient être là.

On a expliqué le projet, ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas faire la partie traçabilité. Ce n’était pas grave. On a gardé Lesterius pour faire le programme de gestion commerciale et à côté, on a adossé un programme spécifique de vêtements de travail avec traçabilité. Après, à eux de communiquer ensemble.»

Vincent Gilet, Lesterius

«Donc on a travaillé, je ne sais plus, 45 ou 60 jours sur ce projet. Ça gère les clients, les habits, le fait qu’il y ait du linge porté ou du linge plat. Le linge plat, ce sont les draps, des taies d’oreiller, comme ça. Le linge porté, ce sont des habits pour le boucher, le boulanger, etc. Et ça gère le contrat du client avec plusieurs points de vente. Ca gère donc les habits par point de vente, par taille de personnes sur les points de vente etc. Et il y a aussi des codes-barres.»

Jean Eudes Renou, BTM

«Le défi était de comprendre le métier, qu’on travaillait avec deux jours d’avance par rapport à la finalité de notre métier qui est de laver le linge et de livrer. Ce que je produis aujourd’hui, que je lave aujourd’hui, je ne vais le livrer que lundi ou mardi ou mercredi de la semaine prochaine. Ca a donc été compris et assimilé. Le logiciel est en adéquation avec ça et pour gagner en intuitivité et limiter les erreurs, on a créé un écran spécifique, « Expéditions ». Au-dessus, on cherche le nom du client, on sélectionne la date de livraison et derrière le système a présélectionné des articles liés à ce client. Ensuite, il y a juste à sélectionner l’article et la quantité. L’avantage est que je n’ai pas d’erreurs. Enfin, j’ai un minimum d’erreurs de manipulation.»

Vincent Gilet, Lesterius

«C’est très intéressant car ça va jusqu’à la facturation. Et le système de facturation est hyper compliqué. Vraiment, c’est un des systèmes de facturation les plus compliqués qu’on ait eu à régler parce qu’il y a des taxes et de forfaits dans tous les sens. Et si ça dépasse le forfait, c’est… vraiment, c’était très compliqué.»

Jean Eudes Renou, BTM

«Le logiciel m’a surtout permis de ne plus être stressé ni d’être inquiet, car à tout moment ça pouvait casser. L’un des gros changements, c’est la tranquillité d’esprit. Même s’il peut y avoir des bugs, je sais que c’est un système qui est stable, pérenne, et que j’ai quelqu’un derrière qui à tout moment peut me dépanner.

Nous avons compris que si vous reveniez, il fallait qu’on remette du vin blanc au frais puisque vous en étiez amateur.»

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