Booster son activité de Freelance avec LiveMentor

Présentation de l’expérience LiveMentor de Laureline Foucault, graphiste et conseillère en communication pour les TPE et entrepreneurs.

À quoi ressemblait ton parcours avant que tu rejoignes LiveMentor ?

Je venais de finir une formation de reconversion en infographisme quand j’ai pris neuf mois de coaching LiveMentor. Auparavant, je travaillais en hôtellerie où j’étais salariée en CDI. J’ai connu LiveMentor grâce à Facebook. J’ai suivi les cours gratuits qui m’ont beaucoup plu. À côté de ça je faisais beaucoup de veille sur le marketing digital et je sentais que ça pouvait m’aider mais j’avais besoin d’un coach pour m’épauler dans ma stratégie.

J’étais freelance à temps partiel donc il n’y avait pas de stress mais je voulais en faire mon activité principale. Quand j’ai voulu passer à la vitesse supérieure et quitter mon emploi pour passer à temps plein j’ai pris les formations storytelling, freelance et marketing digital de LiveMentor que j’ai suivi de front. Aujourd’hui j’accompagne les TPE sur leur communication et je vis de mon activité, ce qui était mon objectif de départ.

Quand je me suis lancée j’étais déjà maman de deux enfants. C’est eux qui m’ont poussé à me diriger vers un métier qui d’une part me plairait vraiment et d’autre part me libérerait du temps pour ma famille. Finalement, le temps manque toujours mais j’ai beaucoup plus de liberté qu’en tant que salariée !

Qu’as-tu appris chez LiveMentor ?

Les cours de la masterclass freelance m’ont beaucoup aidé. Ils m’ont fait prendre conscience que si je voulais facturer ma prestation au bon tarif il fallait que je le justifie dans ma proposition commerciale. Dès le moment où j’ai fait ce qu’on me conseillait dans les cours, les tarifs élevés (à leurs juste valeurs) sont passés comme une lettre à la poste.

Maintenant je fais des vrais tarifs de freelance junior.

Maintenant je suis à l’aise avec mes prix !

Je sais que ce que je fais est qualitatif et que je propose un prix juste. Suivre les trois formations m’a permis d’y piocher en continu les informations dont j’avais besoin pour me développer plus vite. En parallèle, lors des coachings, je sentais que Théau, mon mentor, comprenait vraiment mes problématiques. Il a su me parler pour que je comprenne.

Peux-tu résumer en une phrase ton expérience chez LiveMentor ?

C’est rassurant. La communauté Facebook est un atout énorme pour ne pas se sentir seul et trouver des solutions qui ne sont pas apportées par le mentor et les cours. Ça a été enrichissant, rassurant et ça m’a ouvert des portes.

Où en es-tu aujourd’hui ?

Au lancement de mon activité je fonctionnais surtout par bouche à oreille. J’avais un site internet, qui est toujours le même depuis deux ans et qu’il faudrait que je change ! Cela me porte un peu préjudice car il n’est pas à jour mais il faut que je prenne le temps et pour le moment j’ai beaucoup de prestations en cours. J’ai également commencé un blog, ou j’écris des articles conseils sur la communication des TPE.

En effet, le bouche à oreille s’est étendue jusqu’à me permettre de trouver des nouveaux clients très éloignés de mon cercle de connaissances.
Je fonctionne beaucoup grâce aux recommandations et à mes publications sur les réseaux sociaux. (Facebook)
J’ai une page qui est suffisamment active pour remplir mon calendrier. Je ne pensais pas que ça passerait comme ça ! Parfois je suis obligée de lever un peu le pied sinon je ferai que travailler.

Quels sont tes prochains objectifs ?

J’aimerais devenir formatrice certifiée. À la base j’ai fait une reconversion professionnelle en tâtonnant. Désormais, plus j’avance et plus je me dis que former à ce que j’aime faire ce serait le pied. Je fais déjà des formations sur-mesure mais elles ne sont pas certifiées (donc pas remboursées !). J’aimerais pouvoir les faire Datadocker. (Malheureusement datadock est bientôt caduc, donc on verra pour la nouvelle certification).

Pour le moment je forme certains de mes clients. Au début je ne le proposais pas spontanément. Cela s’est fait petit à petit. Les clients étaient enthousiastes, ils m’ont dit que c’était trop bien quand j’expliquais, qu’ils comprenaient tout. Alors je l’ai fait et ça marche ! Les personnes sont super contentes et moi ça me plait ! J’aimerais que ça fasse partie de mon quotidien. Pour le moment je suis encore freinée par ma gestion du temps.

Que dirais-tu à quelqu’un qui souhaite entreprendre aujourd’hui mais qui n’ose pas encore se lancer ?

Je pense qu’être freelance c’est un état d’esprit. Si tu n’aimes pas la hiérarchie, que tu es indépendant et que tu n’es pas toujours à l’aise avec le salariat… Il faut tenter le coup ! Tout le monde ne peut pas être salarié et tout le monde ne peut pas être freelance.

Les doutes sont normaux quand on entreprend. J’ai toujours au fond de moi une peur qui m’empêche de faire des choix irréfléchis. Mon conjoint est en CDI et moi j’ai des droits au chômage. Donc je savais que j’avais un an devant moi, que je pouvais me planter et au pire retrouver un emploi par la suite. J’ai réfléchi mon choix. Parce que ça fait peur et qu’il y a toujours des enjeux.

Aussi ce que je conseillerais c’est de tester, en parallèle du salariat, l’activité de freelance. Au moins cela donne une idée. Avant de tout abandonner c’est bien de pouvoir tester et cela n’engendre pas grand-chose hormis du travail. C’est sécurisant !