Mes raisons d’avoir confiance en Yers

Sébastien Bailly
Ma vie en Yers
Published in
3 min readDec 8, 2018

Premier article d’une série sur Yers. Et d’abord les raisons pour lesquelles j’ai confiance dans le service.

La confiance, d’abord.

Cela fait un mois que j’utilise Yers. C’est un site web, et c’est comme une carte de fidélité géante, dont je partage les bénéfices avec ma communauté. Je me connecte à Yers, j’achète chez un des 300 partenaires, et là, je gagne un petit pourcentage de “cashback”, comme sur une carte de fidélité. La différence ? Cet argent est réparti avec la personne qui m’a parrainée, et les personnes au-dessus d’elles, qui sont considérées comme des apporteurs d’affaire.

En clair, ça s’appelle du marketing relationnel. Ce que j’ai découvert en un mois, c’est que le mot fait peur. Pourtant, c’est grâce au même système qu’on achète, par exemple, une célèbre marque de boîtes en plastique. Mais il y a plein d’histoires pas reluisantes de gens qui ont détourné la méthode. Alors, j’ai voulu lister les raisons d’être rassuré par Yers.

1 — le relationnel

La première raison d’avoir confiance en Yers, en ce qui me concerne, c’est que j’ai toute confiance en la personne qui m’en a parlé. Cette personne connait les fondateurs. Ils sont en France, payent leurs impôts en France, ont déjà monté des affaires. Bref, je connais la personne qui connait ceux qui sont à l’origine du truc. Mais cela ne suffira pas à vous rassurer vous, n’est-ce pas ? Sauf si vous avez déjà confiance en moi (mais même dans ce cas, je ne vous en voudrais pas de penser que je peux me tromper, pour une fois).

2 — la liberté

La deuxième chose rassurante, c’est qu’on peut se désengager de Yers à tout moment. Aucun engagement dans la durée, si ça ne me plaît pas, je pars. Je n’ai pas prévu de le faire tout de suite : le service est tout jeune et je veux lui donner une chance. L’idée générale est d’arriver à donner un peu de pouvoir d’achat supplémentaire aux utilisateurs pour qu’ils consomment de manière plus responsable. Cela va prendre quelques mois à se mettre en place.

3 — la réalité

La troisième raison d’être rassuré : il ne s’agit pas d’une rémunération sur l’argent investi (ça, c’est un truc de spéculateurs véreux) mais d’une rémunération sur les achats réellement effectués. Donc pas de mauvaise surprise : l’argent distribué c’est de l’argent réel.

4 — les partenariats

Une quatrième raison enfin d’être rassuré : les partenaires de Yers. Il y a plus de trois cents boutiques en ligne, aujourd’hui, dans le club des partenaires. Je ne peux pas les lister ici (en fait, on n’a pas le droit de faire la pub de Yers en utilisant le nom des partenaires, et donc je me plie à cette règle). Mais sachez que si vous avez l’habitude de faire vos courses dans le drive d’un supermarché, il y en a, et pas les plus petits. Vous achetez de la high-tech ? Les plus grandes marques sont là. Vous aimez la mode ? Le choix est impressionnant. Il y a de tout, et les plus grands, et ça, on le voit dès qu’on se crée son compte.

Au fil de mon premier mois, j’ai acheté des livres, un pyjama, une pièce de rechange pour mon PC portable. Que des choses dont j’avais besoin. C’était chez de grandes enseignes, et je n’ai eu aucun souci. Notez que Yers ne pousse pas à la consommation : au contraire les fondateurs du service ont pour ambition d‘inciter les acheteurs à mieux consommer.

J’ai déjà parrainé quelques personnes, qui bénéficient des mêmes avantages, et qui elles-mêmes ont commencé à parrainer quelques personnes. Tout fonctionne.

Et ce n’est qu’un début. J’écrirai bientôt d’autres articles, ici, pour vous raconter ma vie avec Yers.

Et si vous avez envie d’essayer gratuitement Yers sans attendre, cliquez ici.

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