Yers : pourquoi je me suis laissé séduire

Sébastien Bailly
Ma vie en Yers
Published in
2 min readDec 8, 2018

Deuxième article sur ma vie avec Yers. C’est un work in progress. Je vous raconte pourquoi comment je teste ce service.

Je ne serais sans doute pas sur Yers si je ne connaissais pas de très près un de ses plus fervents participants. Mon arrivée sur Yers, c’est un coup de téléphone de Romain, et sa capacité à trouver des arguments qui m’ont touché. Pas les histoires d’argent, ni de pouvoir d’achat, voyons : si l’argent était un moteur, j’aurais plus d’une fois fait des choix bien différents de ceux que j’ai derrière moi.

Romain a su éveiller ma curiosité. J’ai découvert internet fin 1994. Et puis il a eu les blogs, la participation, les réseaux sociaux. Bien des espoirs et quelques déceptions. Et Yers, c’est une sorte de continuité nouvelle de tout cela. Quelque chose d’assez neuf pour que j’ai envie de m’y amuser un peu.

Oh, je ne découvre pas l’affiliation : cette mécanique fait partie des pistes que j’ai explorées très tôt lorsque j’ai commencé à réfléchir modèles économiques pour la presse en ligne, notamment. J’ai un compte d’affilié chez le plus gros e-commerçant mondial depuis qu’ils ont lancé le service.

Le marketing relationnel, en revanche, je n’avais jamais donné. Parce qu’une simple réflexion mathématique montre les limites du système : soit vous arrivez au début, et il y a peut-être moyen de bien profiter de la chose, soit vous êtes en queue de peloton, et c’est bien moins intéressant. Yers propose une alternative qui m’a plu, mais qui aura bien ses limites un jour : chacun ne peut avoir que quatre filleuls, sur cinq niveaux seulement. Et donc tout le monde a plus de chances de profiter (il y a une limite mathématique au système aussi, mais elle est un peu plus lointaine, surtout si Yers s’ouvre à l’international).

Parce que le principe de base de Yers, c’est ça : vous gagnez sur la consommation de vos filleuls, moins sur la vôtre (qui profite à ceux qui sont au dessus de vous). Mais, au final, tout le monde profite de tout le monde, une forme de solidarité qui mérite au moins d‘être explorée.

D’autant que Yers s’engage à promouvoir la consommation responsable : une prime sera garantie à ceux qui choisissent une consommation éthique, bio, et qui laisse une chance à la planète. Et ça, c’est le vrai plus : c’est la première fois qu’ils sera rentable, économiquement, de consommer responsable. J’ai envie de voir si ça marche, et c’est de l’intérieur qu’on voit ça, non ?

En tout cas, ça m’a convaincu que je pouvais y jeter un œil. Et j’en suis là : je regarde et je commence à participer.

Et si vous avez envie d’essayer Yers gratuitement sans attendre, cliquez ici.

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