5 trucs et astuces pour vos “Ateliers Collaboratifs”
Tu ne le connais que trop bien, cet “atelier” qu’on t’a demandé d’organiser pour “aligner”, “partager”, “co-construire” etc, et blablabla ! Pour toi, il rime avec perte de temps, bouches cousues et belles paroles. D’ailleurs, tu en ressors souvent avec de grands plans et aucune action de personne…
Mais pas cette fois. Cette vie-là est derrière toi !
Aujourd’hui, tu vas diriger cet atelier et tu vas en faire un moment qui va servir réellement à quelque chose.
Pour cela, tu deviendras le super facilitateur, celui qui va faire en sorte que tout se passe bien et que tout le monde puisse enfin exprimer tout son potentiel.
Tel est ton destin !
Et pour ça, jeune padawan, voici 5 outils gratuits pour survivre en jungle collaborative.
1) Règle 1 du super facilitateur : les faire tous parler !
Contexte. Ton atelier commence, les participants sont installés, cafés posés sur la table mais personne n’ose s’exprimer… #lestress
Pas de panique, Capitaine Nod-A a “The” outil à te proposer pour t’aider à choisir le meilleur Ice Breaker, ce petit moment qui te permettra de briser la glace entre tes participants.
Tu souhaites améliorer la communication entre eux ? ou leur prouver que travailler ensemble, ça ne peut que marcher durant ce temps d’atelier de travail ? Aucun souci ! Tu trouveras dans ce guide à télécharger de nombreux chemins à emprunter pour trouver l’Ice Breaker adapté à ta situation.
👉 Téléchargez le guide Ice Breaker
2) “Pourquoi ?” Tel sera ton adverbe interrogatif !
Ton sujet tu l’as, mais les problèmes auxquels tu veux répondre sont encore un peu flous…
Petite astuce : utilise les “5 pourquoi” !
Le but est d’approcher ton problème de manière approfondie en relançant constamment la personne grâce aux “pourquoi”. Certes, dit comme cela, ça a l’air pénible mais ça marche vraiment…
👉 Téléchargez le PDF des “5 pourquoi”
3) L’empathie, ce n’est pas que pour faire joli !
Trouver LA bonne idée induit beaucoup de concentration, de sourcils froncés, de feuilles blanches à gribouiller et demande — surtout — de ne pas oublier les besoins de sa cible.
Il te suffira pour cela d’utiliser ces cartes “Dans la peau de” pour bien formuler tes idées en oubliant le sacro-saint “Post-it”.
👉 Téléchargez le PDF “Dans la peau de”
4) “Bah alors, tu viens plus aux ateliers ?”
Derrière chaque atelier se cache un chef ! Tu vois de qui on parle, n’est-ce pas ?
Pour éviter que ce dernier ne vienne jouer “l’inspecteur des travaux finis” et casse les idées du groupe de travail, il serait plus intéressant de l’inviter à cet atelier et de le faire participer intelligemment.
On entend par là que toi, super facilitateur, tu donneras à cette personne, le rôle de “Fixeur” c’est-à-dire celui qui prendra des notes durant le temps de travail et fera ses retours au moment opportun (que tu auras préalablement déterminé).
👉 Téléchargez le PDF “Challenge-Fixeur”
5) Que l’objectivité soit avec toi !
On sait, c’est difficile… mais tu vas y arriver !
En fait, le plus compliqué, après avoir eu de nombreuses idées, c’est de faire le tri !
Évidemment pour y arriver, il te faut des critères de sélection pour te débarrasser des mauvaises idées et ne garder que le meilleur de ce que tes participants ont proposé.
Grâce à notre “fiche d’identification des critères”, tu pourras prioriser, prendre du recul et sélectionner ta prochaine successful idea !
Si tu veux continuer l’initiation, tu nous écris ici, sur Twitter ou Linkedin et que la force de nod-A soit avec toi !
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