Comment pitcher des sujets à Ijsberg
Depuis son lancement, Ijsberg s’est donné pour mission de raconter notre époque, de décrypter le monde et ses enjeux, et surtout de relayer des histoires humaines qui comptent.
Pour permettre à chaque histoire d’exploiter tout son potentiel, nous voulons la raconter de la bonne manière : en mêlant le design, en travaillant la mise en page et l’expérience utilisateur. Ces aspects là viennent en soutien à l’histoire : ils en maximisent l’impact, transforment un bon papier en un excellent. Il faut avant tout une bonne histoire, susceptible d’être lue, y compris (surtout) par un lecteur qui n’y connaît rien.
Ijsberg veut publier des histoires qui changent la donne. Nous voulons faire réflechir, sur le monde, mais aussi sur nous-mêmes.
Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux sujets et de nouveaux journalistes. Deux temps sont ouverts à des collaborateurs extérieurs : Calmement, plus longues que courtes, plus courtes que longues, des histoires qui décryptent le monde ; et Lentement, nos histoires long-format, humaines, à l’impact unique, et mises en page dans un écrin d’exception.
Un Calmement peut être un portrait, un reportage, un article format (en liste). Ce peut être une chronique ou une tribune. Les exigences sont simples : un sujet intéressant, impliquant, important. Et nous devons comprendre pourquoi vous êtes le plus à même de gérer ce sujet (et nous de le publier).
Un Lentement est un long format, qui se lit en minimum 20 minutes, multimédia ou non. C’est un reportage guidé par l’humain et des personnages.
Pour nous proposer des sujets, une seule adresse : pitch@ijsbergpress.com. Si nous ne répondons pas sous 5 jours, relancez-nous sur les réseaux sociaux.
Dans l’e-mail, présentez l’angle, le sujet, le temps ciblé et le format envisagé. On veut connaître le message véhiculé et l’intérêt du sujet. Si possible, joindre des photos ou une propositions d’illustration, le titre de travail et la liste des éventuels intervenants.
Ijsberg promeut le journalisme en ce qu’il est de meilleur : un transmetteur, un phare. Nous voulons publier des histoires humaines, qui comptent. Le lecteur ne doit jamais sortir indemne de nos articles. Voilà tous les messages à nous faire passer dans les pitchs de l’article.
Et dernière condition : restez court. Le web permet de casser les contraintes de longueur. Ça a un prix : être synthétique, le plus efficace possible. Cela vaut pour le lecteur, cela vaut aussi pour nous.
