Sans prétention aucune.

Ici Naofal.

Dans mes écrits, qu’ils soient des articles, des notes de recherches, ou des chroniques, je m’exprime sur des sujets qui m’intéressent en espérant qu’il vous parlent aussi. Je reconnais, respecte, et loue la capacité des personnes qui me lisent à passer mes idées au prisme de leur propre analyse. C’est pour cette raison que le plus possible, je m’abstiens de publier des « sentiments » personnels et subjectifs, mais des « réflexions » personnelles concrètes, et si possible objectives. C’est au regard de cela que mes articles, si ils peuvent paraître singuliers, ou surprenants se veulent toujours respecter ces quatre caractéristiques.

Premièrement, j’argumente (toujours) mes positions.

« Il ne faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages ! » disait Audiard. Je ne me permets donc que rarement de dire ce que je pense sans même en mentionner les raisons. Quelle valeur est-ce que cela aurait bien sinon? Et à quoi mesureriez-vous la pertinence de mes positions ? »

Deuxièmement, mes écrits n’ont pas la prétention d’être la Vérité.

C’est là encore un principe auquel je tiens. Mes réflexions discutent, remettent en question la position d’autres personnes sur un sujet. Il est donc naturel qu’à leur tour, elles puissent être questionnées et critiquées. C’est là une démarche nécessaire pour que sur les thèmes en question, on puisse construire une véritable intelligence collective au profit de tous.

Troisièmement, je ne donne pas de leçons.

Je ne crois pas en ce concept. Je pense que l’on choisit uniquement la matière intellectuelle que l’on donne. C’est aux gens qui la reçoivent, et à eux seuls, de choisir ce qu’ils se laissent enseigner ou pas. C’est en partie cela qui explique que dans une même classe, le même cours soit assimilé de façon très différente par les apprenants. Si vous me lisez, c’est un honneur que vous me faites. Cela dit, il vous appartiendra toujours à vous, et à vous seul, de déterminer la valeur que vous donnez à mes réflexions.

Enfin, je n’écris pas parce que je connais. Je le fais parce que j’apprends.

Grâce à internet et aux interactions qu’il admet, écrire ce n’est pas seulement partager ce que l’on sait, c’est aussi guérir son ignorance. Dans un retour d’article, dans une critique, dans un commentaire, on apprend beaucoup, on se questionne, et cela sert à réviser ou approfondir sa position sur le sujet.

En espérant vous avoir communiqué ma vision.

Au plaisir de continuer à vous proposer de nouvelles lignes.