Header image: photo of Edmonton, Alberta. Photo by Paul Vet.

5 things I learned from the Canadian Open Data Summit

(Le texte français suit l’anglais.)

8 min readJul 17, 2017

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In mid-June, I attended the Canadian Open Data Summit (CODS) in Edmonton, Alberta with around 600 other people working on open government across the country, including some of my colleagues from Ontario’s Treasury Board Secretariat and the Ministry of Advanced Education and Skills Development (MAESD).

Open data is a crucial part of Ontario’s Open Government and Digital Strategies so I was excited to go to CODS to not just talk about Ontario’s work, but to learn from others doing excellent work in the space. Here are my five big takeaways from the summit:

A lot has happened in a very short time.

In 2015, we went to the Canadian Open Data Summit to host an initial consultation on the Open Data Directive. During that time, the themes were focused on building a foundation for open data. Since then, open data programs across the country have been developed and are moving from start-up and transparency toward more engagement. It was nice to see every province making good progress on this front.

This year, at CODS 2017, we hosted a discussion about being the first province to adopt the International Open Data Charter which will help move us to the next phase in our journey toward better standards, faster access, and more current data. With the open data movement in Canada moving so quickly, we’re excited to see what conversations take place next year.

Open data is the bedrock of government innovation.

The big themes from the conference — smart cities, data visualization, and cross-jurisdictional collaboration — all depend on robust, accessible open data to be successful. The themes reflect some of the mega trends we see today: big data, hyper connectivity and disruptive technologies and innovation.

At the same time, just being open and accessible is not enough: as we move beyond “open data 101” towards digital government and smart cities, we’re going to require linked and interoperable data. It’s up to us to work together to make that happen.

We are not working alone.

At the networking breaks and between official summit events, the chatter was primarily about working together: federal, provincial, and municipal jurisdictions and other organizations all talked about aligning efforts around high-value data sets, federation, and other such topics.

Within Ontario, ministries and provincial agencies are also working to engage end users — a key principle of an open and digital government. For example, MAESD has developed the Employment Ontario Geo Hub with users in mind, which offers visualizations of public data in the form of interactive maps, apps, dashboards and tables. The Workplace Safety and Insurance Board engaged users in the process of opening their data, and Ministry of Natural Resources and Forestry’s Land Information Ontario data warehouse has a long tradition of engaging users in the sharing and use of geographic data. These are a few examples of working with others inside and outside government.

The Open Government Partnership subnational pilot is another example of how other countries and regions are working together towards similar objectives.

We should all care about open data.

On the first day of the summit, Beth Blauer presented a keynote titled, “Open Data. Who Cares?” In it, she reminded us that open data was not just about releasing data and building apps, but also about making better policy, by allowing different voices to be heard.

We’ve been thinking a lot about how to bring in new voices into the open data conversation — not just “open data nerds” like us, but anyone who can benefit from the data. That benefit can come in many ways: the Ministry of Environment and Climate Change “Guide to Eating Ontario Fish” is powered by open data and useful for anyone cooking in a kitchen in the province, and our list of registered religious officials provided by the Ministry of Government and Consumer Services is a very useful list for anyone planning on getting married this summer.

We’ve got more work to do.

At its core, digital government is about making life better, simpler for all Ontarians. Part of that work is the development of digital standards, and many of those standards we adopt will be open standards. Better digital services, in many instances, are built on open standards.

We’re working hard to adopt those open standards — Ontario was honored to be awarded the Canadian Open Data Excellence Award this year — but there’s still a lot more work to do. Releasing our data inventories so that Ontarians, businesses, researchers, and start-ups can see what data is available across all ministries is a step toward achieving our vision.

To stay connected with Ontario’s Open Government Office, connect with us on Twitter (@OpenGovON) email opengov@ontario.ca to join our OpenON Forum mailing list to hear about open government webcasts and other engagements.

Nosa Ero-Brown is the Director of Open Government for the Government of Ontario.

CODS 2017. Photo by Paul Vet.

Cinq choses que j’ai appris du Sommet canadien sur les données ouvertes

À la mi-juin, j’ai assisté au Sommet canadien sur les données ouvertes à Edmonton, Alberta, avec environ 600 autres personnes travaillant sur le gouvernement ouvert partout au pays, y compris certains de mes collègues du Secrétariat du Conseil du Trésor en Ontario et du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle (MESFP).

Les données ouvertes font partie intégrante du gouvernement ouvert et des stratégies numériques de l’Ontario, alors j’étais enthousiaste à l’idée de participer au SCDO, non seulement pour parler du travail de l’Ontario, mais d’apprendre des autres qui font un excellent travail dans ce domaine. Vous trouverez ci-dessous mes cinq grandes conclusions tirées du sommet.

Il s’est passé beaucoup de choses en très peu de temps

En 2015, nous sommes allés au Sommet canadien sur les données ouvertes afin de tenir une première consultation sur la directive régissant les données ouvertes. À cette période, les thèmes ont porté sur l’établissement d’une base solide pour les données ouvertes. Depuis, les programmes sur les données ouvertes dans l’ensemble du pays ont été élaborés et ont évolué, de la mise en œuvre à la transparence, vers un engagement plus ferme. C’était agréable de constater que chaque province a réalisé d’importants progrès sur ce front.

Cette année, au SCDO 2017, nous avons organisé une discussion au sujet d’être la première province à adopter la Charte internationale des données ouvertes qui nous aidera à passer à la prochaine étape dans notre quête pour évoluer vers de meilleures normes, un accès plus rapide et des données plus actuelles. Avec le mouvement des données ouvertes au Canada qui évolue sans cesse, nous avons hâte de voir quels seront les sujets de conversations l’an prochain.

Les données ouvertes sont le fondement du programme d’innovation du gouvernement

Les grands thèmes de la conférence sont les villes intelligentes, la visualisation de données et la collaboration pangouvernementale — tous impliquent que les données ouvertes soient robustes et accessibles pour être une réussite. Les thèmes tiennent compte de quelques grandes tendances observées aujourd’hui : les mégadonnées, l’hyper connectivité et les bouleversements technologiques, et l’innovation.

Pourtant, le fait que les données soient ouvertes et accessibles n’est pas suffisant : à mesure que nous progressons au-delà des « données ouvertes 101 » pour aller vers un gouvernement numérique et des villes intelligentes, les données devront être de plus en plus corrélées et interopérables. Il n’en tient qu’à nous tous d’unir nos efforts pour faire en sorte que cela se produise.

Nous ne travaillons pas seuls

Au cours des pauses de réseautage et entre les événements officiels du sommet, les échanges ont porté principalement sur la collaboration : les administrations fédérales, provinciales et municipales ainsi que d’autres organisations ont toutes affirmé qu’il était important de coordonner les efforts pour créer un ensemble de données de qualité; elles ont parlé d’une fédération et ont traité d’autres sujets semblables.

En Ontario, les ministères et organismes provinciaux s’emploient également à faire participer les utilisateurs finaux — un principe clé d’un gouvernement ouvert et numérique. Par exemple, le MESFP a élaboré la plateforme géographique d’Emploi Ontario en pensant aux utilisateurs; la plateforme offre des illustrations visuelles de données publiques sous forme de cartes interactives, d’applications, de tableaux de bord et des graphiques. La Commission de la sécurité professionnelle et de l’assurance contre les accidents du travail a fait participer les utilisateurs au processus d’ouverture de leurs données, et l’entrepôt de données du ministère des Ressources naturelles et des Forêts de l’Ontario a une longue tradition de faire participer les utilisateurs à l’échange et l’utilisation des données géographiques. Ce sont là quelques exemples de collaboration avec d’autres intervenants, à la fois au sein et à l’extérieur du gouvernement.

Le programme pilote du partenariat infranational du gouvernement ouvert est un autre exemple de la façon dont d’autres pays et régions travaillent de concert afin d’atteindre des objectifs semblables.

Nous devrions tous nous préoccuper des données ouvertes

Au premier jour du sommet, Beth Blauer a présenté une allocution intitulée « Open Data. Who Cares? » (Les données ouvertes. Qui s’en soucie?) Lors de son allocution, elle nous a rappelé que les données ouvertes ne servent pas uniquement à diffuser les données et à créer des applications, mais aussi à établir de meilleures politiques en permettant aux différentes voix de se faire entendre.

Nous avons beaucoup réfléchi sur la façon de faire entendre de nouvelles voix dans la conversation sur les données ouvertes — non seulement celle des « accros » des données ouvertes, comme nous, mais quiconque peut bénéficier de ces données. Cet avantage peut venir de plusieurs façons : le « Guide de consommation du poisson de l’Ontario » du ministère de l’Environnement et du Changement climatique comprend des données ouvertes et utiles pour quiconque aime faire la cuisine dans la province, et notre liste de responsables religieux enregistrés fournis par le ministère des Services gouvernementaux et des Services aux consommateurs est une liste très utile pour tous ceux qui envisagent de se marier cet été.

Il nous reste encore beaucoup de travail à faire

Fondamentalement, le gouvernement numérique veut simplement améliorer et simplifier la vie de tous les citoyens ontariens. Une partie de ce travail porte sur l’élaboration de normes numériques, et beaucoup de ces normes seront des normes ouvertes. Les meilleurs services numériques, dans de nombreux cas, reposent sur des normes ouvertes.

Nous nous efforçons d’adopter ces normes ouvertes — l’Ontario a eu l’honneur de recevoir le Canadian Open Data Excellence Award cette année — mais il reste encore beaucoup de travail à faire. Publier nos répertoires de données de sorte que les Ontariens, les entreprises, les chercheurs, et les entreprises innovantes puissent voir quelles données sont disponibles dans l’ensemble des ministères est une étape vers la réalisation de notre vision.

Pour rester en contact avec le bureau du gouvernement ouvert de l’Ontario, veuillez communiquer avec nous sur Twitter (@ GouvOuvertON) ou par courriel à opengov@ontario.ca pour vous inscrire à notre liste de diffusion Forum OuvertON pour suivre les webémissions du gouvernement ouvert et d’autres engagements.

Nosa Ero-Brown est la directrice du bureau du gouvernement ouvert de l’Ontario.

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