« Chez Schoolab, on te fait confiance avant même que tu n’aies confiance en toi. »

David, merveilleux stagiaire au Schoolab, vous raconte son poste.

C’est l’une des premières choses que j’ai entendu en arrivant chez Schoolab. C’est vrai que ça sonne un peu fleur bleue, mais vous n’imaginez même pas à quel point c’est véridique.

Bref, moi c’est David, et je suis nouveau sur Medium.

Je suis étudiant dans un programme d’innovation entrepreneuriale à Lyon et je travaille actuellement pour Schoolab. Je ne sais pas si certains d’entre vous connaissent, mais c’est une société qui a pour but de former les leaders d’aujourd’hui et de demain à l’innovation et l’entrepreneuriat et ce à travers différents programmes. Perso, je travaille pour le premier accélérateur de startups étudiantes : Starter.

J’ai postulé chez Starter car un ami m’a dit « Tu vas voir chez Schoolab c’est sympa, tu fais ce que tu veux ».

Chez Starter, je suis startups manager. Je m’en occupe de la sélection jusqu’à la fin du programme. En quelque sorte, je dois être prêt à vendre ma famille, dénoncer mes amis et arrêter mes études pour les aider à se développer. J’exagère peut être un peu mais bon, vous avez compris l’idée !

En plus de suivre les startups, je dois organiser le programme afin d’optimiser leur réussite. C’est à dire que je m’occupe de gérer la venue d’experts, les activités de team building et les bootcamps.

Je suis un peu l’homme à tout faire des startups.

Bref, revenons à nos moutons (pire expression du monde je sais). Les premiers jours chez Schoolab on m’a expliqué ce que j’allais faire. C’était assez rapide « Tu t’occupes avec Guilain du programme Starter. Vous organisez tous les événements liés aux startups que vous encadrez et tu fais en sortes que les startups ne manquent de rien ».

J’ai commencé à travailler et plus les jours passaient, plus j’avais en tête de démarrer de nouveaux projets comme mettre en place un produit pour optimiser le suivi ou encore créer une sorte de club Alumni. J’en ai parlé autour de moi et je pensais à avoir droit à un « Mouais » dubitatif, ou bien à un « concentre toi sur ta mission principale s’il te plait ». Au lieu de ça, j’ai eu le droit à un « vas y fonce ! » ou encore un « grave ! pourquoi pas ! ».

Pour résumer, j’ai une mission principale certes mais aussi autant de missions annexes que je veux. Mes seules limites sont les miennes. Si je ne m’en sens pas capable, je n’ai aucune obligation. Je suis complètement autonome. On travaille en équipe mais à moi seul de m’organiser. Je décide de la façon dont mes journées vont se passer, de si je fais du télétravail ou non. Des responsabilités mais jamais personne n’est sur mon dos. D’ailleurs je ne sais pas pourquoi j’ai utilisé un « mais ». C’est incroyable d’être aussi indépendant.

L’atmosphère qui y règne est indescriptible. Cette atmosphère, cette liberté, facilite énormément l’intégration des nouveaux comme moi.

Étant en stage de fin d’études, la plupart de mes amis le sont aussi. Donc ça me permet d’avoir une idée de si ce qui m’arrive chez Schoolab est “normal” ou pas.

Rentrer chez Schoolab, ça s’est passé exactement de la même manière que quand j’ai rencontré ma meilleure amie il y a 10 ans. Je me suis fait friendzoner direct !

Quand on travaille au et pour Schoolab, on s’engage à tout faire. Aider sur la communication, participer à l’animation d’ateliers pour de grands groupes font partie de mon quotidien. Je dois etre multi-task, c’est une nécessité pour faire parti de Schoolab. Représenter Schoolab à des événements, fait aussi partie du jeu. Je suis littéralement un ambassadeur de la marque.

Je vous parle beaucoup de tous les côtés positifs qu’il y a travailler dans un milieu à hiérarchie plate. Mais à côté de l’indépendance que beaucoup m’envient, du croisement des compétences et de l’intégration facile je fais pas mal d’heure.

Les heures ne se comptent pas, je travaille énormément mais c’est plus facile que certains car j’aime ce que je fais !

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