Son Premier ministre a déclaré que cette décision aiderait le pays à passer progressivement à une économie à faible émission de carbone.
Les objectifs comprennent la réduction de la grande majorité des émissions provenant des transports, du secteur de l’électricité et des déchets municipaux.
Mais les critiques souhaitent des objectifs plus ambitieux en matière d’énergies renouvelables et des incitations économiques plus importantes pour le changement.
Le monde s’est déjà réchauffé d’environ 1,2 °C depuis le début de l’ère industrielle, et les températures continueront à augmenter si les gouvernements du monde entier ne réduisent pas fortement les émissions.
Mais le Premier ministre Naftali Bennett a indiqué que cette initiative conduirait à une “économie propre, efficace et compétitive” et placerait Israël à l’avant-garde de la lutte contre le changement climatique.
Les objectifs d’Israël étaient conformes à l’accord de Paris sur le climat de 2015, un traité international juridiquement contraignant sur le changement climatique adopté par près de 200 pays.
Il vise à maintenir les températures mondiales en dessous de 2 °C par rapport à l’ère préindustrielle, et si possible en dessous de 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle.
Israël a signé l’accord de Paris sur le climat et s’est fixé comme objectif intermédiaire de réduire ses émissions de 27 % d’ici à 2030.
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Opresse
