La banalisation du “rush”

Marina Bourgeois
Oser Rêver Sa Carrière
2 min readJul 11, 2024

La banalisation du « rush », cela vous parle ?

A force de vivre à toute allure, d’être tout le temps dans le speed et l’immédiateté — au travail comme à la maison — on finit par oublier que le rush n’est pas la norme.

Que les périodes de surcharge devraient être l’exception et non la règle.

Que courir partout, tout le temps n’est ni sain, ni normal.

Et pourtant, combien sommes-nous à rêver d’une heure pour soi, sans responsabilités ni obligations ?

Ne se plaint-on pas souvent d’une charge mentale trop importante, parfois dévorante, pour ne pas dire asphyxiante ?

On se réfugie parfois dans des solutions de coupure radicale : des retraites, des cures de silence, etc. On ajoute 10 mn à l’agenda déjà bien chargé pour méditer, écrire, marcher ou faire du yoga… et c’est déjà très bien…

Mais à force d’une vie effrénée, on banalise la fatigue, l’insatisfaction, l’aigreur, la somatisation du corps… en oubliant les conséquences délétères que cela peut engendrer : l’épuisement et tous ses dommages collatéraux : les ulcères, les troubles cardio-vasculaires, etc.

S’interroger sur son rythme de vie — et surtout son adéquation avec notre santé, nos besoins et notre conception de la vie est important. Ce n’est pas un luxe.
Car rappelons-le au risque d’enfoncer une porte ouverte : nous n’avons qu’une vie…

À méditer 🧘

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Marina Bourgeois

Oser Rêver Sa Carrière

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