Freemium

Le Cloud, le gratuit, le Freemium, le payant, et le libre !

Le Cloud

Grâce au Cloud et aux mobiles, nous avons pris l’habitude de pouvoir utiliser plein d’applications sans devoir les payer. Mais ne nous reviennent-elles pas plus chères que nous le pensons, finalement ?

Gratuit

Nous commençons à comprendre, que si c’est gratuit, c’est toi le produit ! (N’est-ce pas Facebook? 30$/an de bénéfices par profil ?)

Payant

Mais parfois, même si tu payes, tu restes encore de la marchandise ! (N’est-ce pas LinkedIn?)

Freemium

Un modèle plus sympathique, qui donne une partie des fonctionnalités, ou bien toutes, mais avec une auto-promotion (Sa publicité), et qui proposera des versions améliorées, ou sans pub, ou des modules fonctionnels complémentaires payants (Premium)…

Attention, si l’offre est limitée dans la durée, ce n’est pas un Freemium, c’est une période d’essai. Parfois, on installe un Freemium, qui propose d’activer le module Premium en période d’essai gratuit 30 jours, de façon insistante, et nous n’y prêtons plus attention, c’est souvent par accident… Puis après la période: “c’est fini, il faut payer, sinon, tu vas tout perdre (les fonctions avancées…)”. Alors tu payes par ignorance, même en n’utilisant que les fonctions de base, incluses dans le freemium, qui lui restait de toute façon disponible à vie sans payer… Cela s’appelle faire payer les ignorants/innocents ! (Pigeons? N’est-ce pas Avast, Panda?)

Libre

Si une solution est ‘libre’, alors c’est qu’en plus de donner accès à son code source, car c’est obligatoirement “Open source” ! La solution est aussi gratuite. Alors elle est libre. Libre d’être utilisée, copiée, transformée, améliorée… C’est ce qui fait que de nos jours, plus de 90% des serveurs qui font fonctionner vos téléphones, vos gmails, vos Dropbox et autres services dans le Cloud (L’Internet), sont des serveurs LAMP, ou similaires: Linux, Apache, MySQL, PHP ou Perl ou Python… Des logiciels LIBRES. Qui ont permis de sortir des solutions Cloud accessibles, sans royalties faramineux à des Oracle, Microsoft, ou autres éditeurs privateurs.

Mais comment peuvent-ils en vivre ? C’est un autre blog à venir :)