Elizabeth Okafor
5 min readDec 15, 2015

Ce semestre parmi mes cours de chimiques organique, évolution, et les services médicaux, ce cours de littérature médiéval ma mi a l’aise. C’est une partie de notre cerveau diffèrent qu’on utilise pour nous exprimer et pour participer dans les aventures illustrent dans les textes. On a discuté plusieurs thèmes qui concerne le siècle médiéval, mais le thème que j’ai trouvé intéressant ce semestre est le désir. Chaque œuvre a présenté le désir dans un moyen diffèrent. Le désir est un thème assez compliquer parce que ça nous permettre d’analyser plusieurs aspects de notre identité et environnement et comment ces aspects forment nos besoins. Parmi les œuvres qu’on a lus, un qui explore le désir qui ma touchait est Les Fabliaux Érotique. Je crois que cet œuvre est un bon exemple de la complexité du désir. Le Songe des Vits concerne le désir dans la sens sexuelle et le besoin d’être en communauté émotionnellement et physiquement. Aussi ça concerne les rêves et le moyen qu’on utilise les rêves pour échapper notre responsabilité et pour réaliser notre désir. Je crois que c’est utile de discuter le désir par rapport a la réalité. Peut-être la réalité n’est pas suffisante ; on a besoin d’un peut de magique ! Quelles sont les façons donc nous essayons d’échapper la réalité ? Quel est le but ?

Fabliaux érotique Le Songe des Vits: page 149

“ Et la dame s’éveille et saute a son tour,

elle qui dormirait volontiers davantage,

car sa joie lui tourne en peine.

Le réveil fait fuir la joie

dont elle était maîtresse en rêve :

voilà pourquoi elle voudrait dormir encore…

La dame commença son conte

et très volontiers raconta

comment elle rêvait aux vits

ou volontiers ou malgré elle ;

comment ils étaient mauvais et bons…

Les Fabliaux érotique ma vraiment choquait ! Surtout le langage et comment l’auteur a dissimulait le sexe avec le langage poétique et métaphorique. De tout façons, la texte ma donnait l’opportunité de me plonger dans un genre de littérature que je n’avais pas encore touchée. Les sujets sont intimes et privés au point que j’avais l’impression que j’étais une intruse. Le désir est présenté partout dans ce texte, mais la citation que j’ai choisi ma donner des frissons. Elle présente que « le réveil » est la fin de sont plaisir. Le réveil est seulement le catalyseur pour arriver plus vite à la réalité qui est opposé de plaisir, elle est déçue. Pour elle le seul moyen de connaitre ses désirs est en sommeil où elle peut explorer le monde de rêve. Dans cette vie imaginer elle n’est pas obligée de suivre les règles de son marie ou les règles qui dicter le propre comportement des femmes. Elle est en train d’échapper son réalité pour satisfaire ses désirs et besoin. Autrement Il y a une lutte intérieure parce qu’elle ne sait pas si ses désirs sont « mauvais » ou « bon ». Enfin, elle dit que c’est tout les deux. Je crois que c’est plutôt « bon » parce qu‘elle a accomplie son désir. Aussi elle fait référence a l’idée de volonté où gré, « volontiers ou malgré elle » comme si elle est victime de ses désirs ; les désirs nous contrôlent. Elle exprime l’idée que nous ne pouvons pas échapper les désirs parce que c’est hors de notre contrôle.

Le lien entre contrôle et le désir est très intéressante. Mon cours d’humanité a discuté ça quand on a lu Le Mariage du Ciel et de l’Enfers par William Blake.

D’abord Blake a parlé de la relation entre la raison et le désir. La raison, ceux d’entre nous qui somme raisonnable, nous utilisons le cerveau pour faire des décisions ; c’est appelé Bien. Mais ceux qui reste, nous pensons avec nos cœurs, nos désirs ; c’est appelé Mal. Blake a défendu que chaque personne a des désirs, mais c’est la fureur de ces désirs qui nous accabler. Le désir n’est pas quelle-que chose du mal et je crois que c’est cette réalisation que la femme du fabliau manque. Le désir est un aspect qui montre notre humanité ; notre sexualité est une partie importante de notre humanité. La femme du fabliau était embarrassée par un désir qui est inné. A mon avis, sans désir la vie n’a pas du sens. Une citation vraiment profonde est celui ci « Ceux qui répriment le désir sont ceux dont le désir est assez faible pour être réprimé ». Par rapport a la femme du fabliaux, je crois que le désir était assez puissant qu’ « elle cingle son mari et lui assène un tel coup de cette main sur la joue que les cinq doigts y restent inscrits » !

Sa déçu avec la vie réelle ma fait penser que peut-être la réalité n’est pas suffisante. La femme du fabliau utilise le sommeil pour échapper. Quand je suis bouleversé avec mes devoirs, mes recherches, mon travail, je trouve la tranquillité en dormant. Il y a plusieurs personnes qui utilisent le même méthode. Autrement il y a des rêveries. Je suis, sans doute, un rêvasseur !

Si c’était possible d’amener le plaisir des rêves ou des rêveries dans la réalité…

Peut-être l’idée n’est pas « la réalité n’est pas suffisante pour satisfaire notre désirs », mais plutôt comment changer la réalité puis qu’on peut réaliser les désirs pour vivre une vie de plaisir. Je crois que le film Alice in Wonderland exprime bien la déçu avec la vie réelle. Alice n’aime pas l’homme quelle doit épouser ni la vie ennuyante encerclé par les bourgeoises qui non pas de personnalité.

Quand Alice tombe dans Wonderland elle est fasciné par les grands créatures qui parlent, le Chapelier fou, et la Reine. Alice réalise ses désirs dans Wonderland. Le nom même « Wonderland » est liée avec la curiosité. Alice trouve beaucoup de plaisir en Wonderland, tant qu’elle ne veut pas revenir à réalité. Quand Alice revient, elle utilise son imagination pour changer sa propre vie.

Je me rends compte que mon perspective au début était un peu pessimiste et déterministe ! La réalité est plutôt une toile blanche qui attendre une imagination créative et curieux.

Merci pour un bon semestre !