… Tout est Possible …

Vous êtes capables de créer quelque chose de fantastique, quelque chose d’inspirant, quelque chose de totalement merveilleux .

Vous pouvez réaliser vos plus grands souhaits, vos rêves les plus fous,
Tout ce dont vous avez rêvé jusqu’ici vous attend .

Relaxez-vous, puis pensez.

A quoi est-ce que votre journée idéale ressemble-t-elle ? Quand est-ce que vous vous réveillez ? Avec qui passez-vous votre temps ? Qu’est-ce que vous faites ?

Quelle est votre idée du travail idéal ? Que créez-vous ? Comment vous ressentez-vous, après l’ avoir créé ? Dans quel lieu le créez-vous ?

Quelle est votre vie idéale ?

Imaginez-là. Embrassez-là pleinement.

Ensuite, allez la chercher.

Cela vous semble impossible, hein ? Pour le moins impraticable.

Personne ne peut rêver de quelque chose, puis l’avoir. On n’est pas dans un film.

C’est la réalité, et nous n’avons pas toujours ce que l’on veut.

Mais ….

Que faire si nous avions tort ?

Connaissez-vous cette citation motivante, mais souvent discréditée, qui dit que nous “pouvons être tout ce que nous voulons” ?
Malcolm Gladwell a réfuté cette notion dans son livre Outliers, et argumente essentiellement que nous sommes attachés à un chemin particulier, basé sur des éléments incontrôlables de notre vie ▬Lieu de naissance, Heure de naissance, éducation, etc… .
Nous ne pouvons pas être tout ce que nous voulons, à part si ce que nous voulons devenir est aussi ce que nos parents veulent pour nous.

C’ est sensé, en théorie. Il y a des éléments sur lesquels on n’ a aucun contrôle qui nous envoient sur un chemin.

Mais il n’ y a aucun panneau indiquant “Ne pas marcher sur l’herbe.”

Nous pouvons être tout ce que nous voulons

Tout est possible, si nous savons nous mettre au travail, faire quelques sacrifices, et nous diriger vers une aventure excitante et terrifiante à la fois.

Demandez-vous : Qui est-ce qui contrôle ce qui se passe dans votre vie ?

Il y a deux réponses à cette question : vous contrôlez votre vie, ou bien des facteurs incontrôlables contrôlent votre vie.

Les psychologues appellent cela le locus de contrôle, la mesure dans laquelle les gens croient qu'ils peuvent contrôler les événements qui les affectent. Votre locus- un terme latin signifiant «lieu» ou «emplacement» - est soit interne ou externe.

Un locus de contrôle interne vous fait croire que vous contrôlez votre vie.

Un locus de contrôle externe vous fait croire que vos décisions et votre vie sont déterminées par des facteurs non maîtrisables.

Une personne avec un locus externe de contrôle voit la vie de cette façon :

Soit les choses marchent, soit elles ne marchent pas. Ce qui arrive est tout simplement le fait de la chance ou de la malchance.
Je n’ ai aucun contrôle sur ce qui m’ arrive.

Une personne avec un locus de contrôle interne voit la vie de cette manière:

Ce que je ressens est en grande partie un résultat des décisions que je prends et l'effort que je mets en avant. Je crois qu'il existe une corrélation entre ce que je fais et ce que je vis, entre l'effort mis en avant et les récompenses données par la vie.

Et lorsque je ne peux changer ce qui m’arrive, je peux toujours décider de comment est–ce que ceci m’affectera.

Sensé ?

Si vous n'êtes pas sûr à 100% où vous tombez (je suppose que vous avez une assez bonne idée), faites ce test. Ensuite, continuez à lire.

Shel Silverstein

Il y a deux ans, j’ai atteint un point où l’importance de la maîtrise est devenue une réalité pour moi.
Quand vous sentez que votre vie n’ est pas maîtrisée et qu’il ne vous arrive rien de mauvais, il n’y a pas grand chose à dire.
Cool . Peu importe.

Lorsque la vie prend un tournant, vous vous sentez incapable de faire quoi que ce soit.
C’ est là que vous commencez à remettre en question votre vision du monde. Vous pensez, vous réfléchissez.
Vous espérez réellement qu’ un changement soit toujours possible et que vous pouvez à peu près contrôler ça.

J’ ai atteint un point, dans la vie — probablement plus tard que certains— où j’ étais prêt pour faire la chose exacte que je voulais faire,et ne pas faire autre chose. Et j’étais prêt à faire des sacrifices pour la réaliser.

Je voulais travailler à la maison. Je voulais écrire. Je voulais faire mon propre emploi du temps, être autonome, créer de belles choses avec mes mots, mes idées et je voulais être à la seule place où j’ étais heureux sur Terre— à la maison, ma famille à côté de moi, un éditeur de texte vide en face de moi.

Alors je l’ai fait.

J’ai vu la description d’ un job pour être écrivain chez Buffer. Le job était parfait.

Pas moi.

Pourtant.

J’ai appliqué, jeté toutes mes ressources limitées dessus .
En passant à côté de ce job merveilleux, j’ai réalisé ce que j’avais à faire pour m’améliorer.
La poursuite de ce genre de travail était utile, c’ était quelque chose que je voulais faire dans ma vie, chez Buffer ou bien dans une autre compagnie, ou alors, chez moi, et j’ ai su ce qu’ il fallait faire pour y arriver.

Donc, j’ai travaillé, et je me suis amélioré en tant qu’écrivain
en envoyant des messages à autant d’ endroits que je pouvais, Buffer inclu.
Je me suis accroché à mon écriture, laissant les autres la prendre, la laisser ou bien, la rejeter.
J’écrivais un post par semaine, tout en gardant un travail de 40 heures .
Léo a été assez gentil pour publier quelques unes de mes histoires sur Buffer et me recommander à ses connexions.
J’écrivais à tous les endroits possibles et inimaginables, en choisissant de dépenser chaque heure où je n’avais rien à faire à écrire, m’améliorer et chercher un chemin pour décrocher la vie que je voulais, au lieu de divaguer sur Internet.

À la fin de chaque journée, je me demandais,

Qu’est-ce que j’ai fait pour m’améliorer, aujourd’ hui ?”

La plupart du temps, je pouvais donner une bonne réponse à cette question.

Neuf mois après avoir envoyé une lettre à Buffer, le travail est revenu.

Cette fois — Merci à tous ceux qui m’ ont aidé durant ce voyage- J’ai eu le privilège d’interviewer avec l’ équipe, connaissant alors une période d’introduction incroyable, et je suis devenu écrivain à plein temps chez Buffer.

Une fois que nous savons ce que nous voulons le plus dans la vie, nous faisons face à un choix : courir après son rêve, ou s’asseoir dans un endroit confortable.

Nous pouvons prendre la vie par les cornes ou bien, prendre ce qu’elle nous offre.

Je pense que le tournant pour moi était dans la réalisation qu’une opportunité comme ça n’était pas quelque chose que je voulais faire, mais plus quelque chose que j’avais à faire, comme si m’asseoir, les bras croisés serait trop à prendre.

Je ne pouvais pas supporter l‘idée de savoir ce que je voulais et ne pas y arriver.

Aurez vous toujours exactement ce que vous voulez ? Peut être que non. Mais j’aime bien croire que si nous nous efforçons de faire cette chose, et si nous ratons, les restes seront bien meilleurs que ce que nous avions, avant— et ce sera peut être même ce dont nous avions besoin.

Si j’étais tombé sur ce post il y a deux ans, j’aurais ri de sa naïveté.
J’aurais éclaté de rire parce que je n’avais jamais eu cette expérience, de savoir que c’était possible.

Donc, vous êtes libres de rire. Mais, mettez le dans vos marque pages, on ne sait jamais.

Vous voulez écrire un roman ? Allez-y ! C’ est possible, tant que vous mettez du cœur dans votre travail.

Vous voulez une nouvelle carrière ? Donnez tout ce que vous avez dans le ventre ! Vous serez étonné de voir ce que vous pouvez accomplir.

Voulez-vous être une personne différente, demain ?

Vous pouvez y arriver.

Vous pouvez le faire.

Tout est possible.

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