La violence marque les enfants
Dans chaque pays, dans chaque culture, des enfants sont victimes de violence, parfois dès l’âge d’un an.
La violence envers les enfants est très répandue et laisse des séquelles non seulement physiques, mais aussi mentales. L’UNICEF demande aux gouvernements d’agir d’urgence, en aidant les enfants, parents, enseignants et communautés à reconnaître la violence sous toutes ses formes et à la signaler et la dénoncer. Mettre fin à la violence est la responsabilité de tous.
Au Zimbabwe, le Gouvernement s’efforce d’améliorer les services pour les enfants victimes de violence par des initiatives locales et des stratégies et plans nationaux. L’ambassadrice de bonne volonté de l’UNICEF, Priyanka Chopra (au centre), rencontre des adolescents du centre Africaid de Harare.
Parmi les activités d’Africaid, des services communautaires dirigés par des adolescents aident des enfants séropositifs et des survivants de violence et d’abus sexuels à surmonter préjugés et discrimination. P. Chopra (à droite) réconforte un jeune vivant avec le VIH (à gauche) dans le centre de soutien.
Les agents communautaires de soins à l’enfance — tous bénévoles et formés — jouent aussi un rôle important dans le système national de gestion des cas pour répondre aux besoins des enfants en matière de protection. L’ambassadrice de bonne volonté P. Chopra (à droite) accompagne un agent à Epworth lors d’une visite à domicile.
Ces hommes et femmes dévoués, les « yeux et oreilles des travailleurs sociaux », identifient les enfants à risque et les aident à bénéficier des services juridiques, psychosociaux, d’assistance et de protection dont ils ont besoin. Ils ont aidé Sarah Sitole (assise), qui s’occupe de ses deux petits-enfants.
Pour appuyer le gouvernement, l’UNICEF a aidé à recruter et former plus de 9 630 agents communautaires de soins à l’enfance. Thomas, 14 ans, petit-fils de Mme Sitole, fait écouter de la musique à l’ambassadrice de bonne volonté P. Chopra (à droite) lors d’une visite d’un agent dans la famille.
Des services et interventions communautaires de protection sont aussi dispensés dans des centres publics. À Epworth, l’ambassadrice de bonne volonté P. Chopra (à droite) discute avec un garçon au centre d’accueil de Childline, qui aide 24 heures sur 24 les enfants maltraités, violés ou exploités.
Childline Zimbabwe gère aussi un service d’assistance téléphonique accessible 24 heures sur 24 qui conseille et aide les enfants ayant subi des violences sexuelles, physiques ou psychologiques. Une conseillère du centre d’appels de Harare présente ce service à P. Chopra (à gauche).
Des systèmes efficaces de prévention et de lutte contre la violence améliorent les services destinés aux victimes. L’ambassadrice de bonne volonté P. Chopra (au centre) rencontre des membres d’un tribunal ami des enfants, où les enfants témoignent en privé — par lien vidéo — et non dans une salle d’audience intimidante.
Des poupées anatomiquement correctes aident de très jeunes enfants à relater ce qu’ils ont subi. Nous avons les connaissances et les outils nécessaires pour mettre fin à la violence envers les enfants. Mais il faut une action individuelle et collective à tous les niveaux pour les protéger et remédier à cette situation mondiale inacceptable.
En savoir plus sur le travail de l’UNICEF pour mettre fin à la violence envers les enfants. #ENDViolence.