Création d’un nouveau think tank favorable au progrès technologique et résolument optimiste pour écrire le futur
Une nouvelle société digitale, construite sur un modèle économique et social inédit, émerge actuellement. Elle trouve son origine dans l’accélération de la digitalisation de l’économie entamée avec l’arrivée d’internet dans les années 90. Tous les secteurs de l’économie et de la société sont désormais concernés par cette révolution, caractérisée par une montée en puissance des plateformes de services qui utilisent nos données personnelles et recourent de plus en plus à l’intelligence artificielle. Les fondements de cette nouvelle société digitale interrogent et appellent à des réflexions nouvelles.
En une décennie seulement, un puissant courant idéologique négatif qui transcende les partis politiques s’est développé, notamment sur les réseaux sociaux. Ses adeptes, qu’ils soient décroissants, déclinistes, collapsologues, climatosceptiques ou tout simplement victimes de fake news, remettent en cause pour des raisons diverses les progrès issus des nouvelles technologies, voire même ceux de la science. Déjà, au siècle dernier, la philosophe Hannah Arendt nous prévenait avec sa citation devenue célèbre : “le progrès et la catastrophe sont l’avers et le revers d’une même médaille”. Autrement dit, en voulant se prémunir contre la catastrophe, certains prennent le risque de refuser le progrès technologique. C’est cette logique qui explique le rejet de plus en plus massif de la vaccination.
Pourtant, ce qu’il faut combattre, ce ne sont pas ces nouvelles solutions technologiques porteuses de nombreuses promesses, notamment dans les domaines environnementaux et médicaux, mais le pessimisme ambiant — au pouvoir anesthésiant — et les logiques économiques actuelles toujours plus inégalitaires.
Leur exacerbation au cours de la récente crise sanitaire nous obligent à les repenser dans un sens plus politique et à plus long terme.
Contre la principale menace actuelle, le réchauffement climatique, la science et le progrès technologique sont les seuls en capacité d’offrir les réponses inédites et nécessaires de grande ampleur pour lutter contre son accélération. D’après le GIEC, il faudrait extraire de notre atmosphère entre « 100 à 1000 gigatonnes de CO2 au cours du XXIe siècle » afin de ne pas franchir le seuil de réchauffement d’alerte fixé à 1,5 °C.
Un chantier titanesque qu’aucun pays ne pourra réaliser seul.
De nombreuses solutions sont envisagées comme la capture de C02 pour le réintégrer dans le sol, ou encore le recours à l’intelligence artificielle, véritable technologie de rupture, pour combiner, par exemple, les modes de production d’énergie en fonction des horaires de la journée et ainsi produire une énergie décarbonée.
Apartisan et indépendants des partis politiques, L’Observatoire du futur a pour ambition de devenir une véritable force de changement.
Comment ? Tout d’abord, en proposant des solutions innovantes pour réorienter le débat — et nos efforts collectifs — vers le progrès pour transformer la société et lui permettre de résoudre notamment la catastrophe climatique qui s’annonce. L’Observatoire du futur présentera régulièrement l’actualité scientifique et technologique au grand public, son impact positif dans la société et son rôle décisif dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Enfin, L’Observatoire du futur aura également à coeur de traiter les autres sujets d’actualité connexes qui permettent de préparer l’avenir et de redéfinir notre futur (institutions et citoyenneté, démocratie, relance économique, etc.).
Contact presse : Mathieu Chéret / 06 21 22 32 52
Twiter : @lobsdufutur / Facebook : @lobservatoiredufutur
