Damage Festival: Les live reports et les photos des deux jours!

Spread Their Sound vous propose un petit retour en images sur les deux jours du Damage Festival qui a eu lieu les 25 et 26 octobre dernier.
Et pour ceux qui voudraient lire les live reports en entier: Jour 1 (photos) — Jour 2 (photos).

On tient également à remercier Only Talent Productions pour nous avoir donné la possibilité de couvrir ces deux journées de concerts riches en émotions… En espérent être encore une fois présent pour une prochaine édition!

Live reports: Aurélie H. & Enaëlle D.
Photos: © Christophe Soulas, Morgan Legars & Mario Ivanovic

Jour 1

“Le vrai début des hostilités est à 16h avec le set des français d’Our Theory […] Les acclamations sont nombreuses et la foule se fait de plus en plus bruyante pendant le set”.

“New Years Day prend le relais emmené par la chanteuse à la chevelure mi-rouge mi-noire […] Le public n’hésite pas à mosher et faire des circle pit, démontrant l’ambiance présente dès le début de la journée”.

“Silent Screams envoi du lourd, ce qui semble plaire aux fans à en juger par les circle pit qui trouent la fosse. […] Le public semble conquis”.

“The Charm The Fury propose un set puissant, emmenant la foule dans un chaos indescriptible.”

“Glamour Of The Kill propose un set tout en nuance mais peut être un peu trop calme pour la foule présente. Davey Richmond nous honore de quelques morceaux à la basse en plus de ses vocalises habituelles et Mike Kingswood propose des parties de guitare tout en finesse, un vrai régal pour les connaisseurs !”

“Hopes Die Last délivre une très bonne performance, n’hésitant pas à aller dans le pit pour chanter avec ses fans”

“Our Last Night donne tout et le public le lui rend tellement bien. […] Trevor Wentworth impressionne par ses qualités de frontman, n’hésitant pas à se jeter dans la foule et crowdsurfer. Son frère Matt, assure de manière magistrale aussi bien à la guitare qu’au chant tandis que Tim Molloy est déchaîné derrière ses fûts. Alex « Woody » Woodrow assure également le show en nous faisant quelques pirouettes à la Pete Wentz avec sa basse “

“Escape The Fate joue plusieurs morceaux du nouvel album, dont « Picture Perfect » dédiée à Tyson Stephens, leader de Scary Kids Scaring Kids décédé 4 jours plus tôt. L’ambiance devient cependant beaucoup plus électrique dès que la formation joue des anciens morceaux, les fans donnant ce qu’il leur reste d’énergie ! “

Jour 2

“Novelists ouvrent le bal […] ils nous dévoilent une nouvelle chanson sans nous donner son titre. […] L’ambiance générale assez bonne dès le début, ce qui promet une suite encore meilleure “.

“On se laisse facilement entraîner dans l’ambiance que Tides From Nebula nous imposent. […] Les guitaristes viennent prendre possession de la fosse. “.

Circles prennent le relais, […] le groupe est entraînant, le leader est des plus énergique et communique spontanément sa joie avec le public”.

Devil Sold His Soul tentent peu à peu d’installer dans la salle ce style qui leur est propre. […]On regrette un peu le set qui met du temps à démarrer, et qui ne montre pas tout de suite le talent du groupe. Leur performance reste néanmoins vraiment bonne, notamment au niveau de la présence scénique”.

The Algorithm: Le public accroche déjà au groupe avant même leur entrée sur scène, et ce n’est qu’une explosion générale de joie dès lors que l’intro de la première chanson se fait entendre.”.

La performance du nouveau lead singer de Monuments, Chris Barretto (ex Periphery), semble avoir conquis le coeur de la foule, avec une voix claire et un growl quasi parfaits.”.

“C’est d’abord de l’amitié et non pas de la compétition entre les groupes.” -After The Burial”.

Le public est unanime dès l’arrivée de TesseracT : c’est la première fois de la soirée où toutes les paroles d’un groupe seront reprises par le public du début à la fin. Le temps semble s’être arrêté pendant cette performance pleine de poésie et de sensibilité.”.

Animals As Leaders, groupe très attendu de cette soirée […] plonge la salle dans une autre atmosphère. Leur talent et leur prestance de musiciens d’excellent niveau laissent un public d’abord bouche bée, mais leur énergie est rapidement transmise à la foule qui commence quelques pogos. […] Le groupe américain a su conquérir le public parisien, le faisant voyager dans une atmosphère particulière mais très agréable”.

Textures semblent assez soudé et le leader, très dynamique, stimule très souvent la fosse : le premier circle pit se forme ainsi sur « Ostensibly Impregnable ». Les premières notes de la célèbre chanson « Awake » résonnent comme un hymne pour le public : c’est un peu l’instant émotion du set, où on remarque vraiment l’osmose entre le public et le groupe qui se retrouve, pour la première fois de cette performance, à l’unisson.”.