Barcamp French Tech Strasbourg
Le Samedi 4 Mai 2019, c’était le lancement de la French Tech Strasbourg (FTS) au travers d’un Barcamp. Du collaboratif et du bottom up comme on les aime. Comme pour tous les barcamp, les personnes qui étaient là étaient les bonnes personnes. De plus, l’organisation était parfaite entre Karl de Semia qui a fait l’office/coffee/junk food manager et Catherine et Jessica d’Alsace Digitale qui ont assurés sur le déroulement du barcamp. Bref tout était aux petits oignons avec un vrai travail d’équipe des acteurs de l’écosystème.
Première réunion du bureau French Tech Strasbourg
En préambule du barcamp avait eu lieu la première réunion du board de la FTS. Après un tour de table puis une présentation de l’état de l’écosystème lorrain et de EU Tribe par Claire de LornTech, le board a réfléchit sur le périmètre de la structuration de l’initiative French Tech Strasbourg. Faut-il une asso? Faut-il du financement? Sur quelles actions faut-il se focaliser?
Faute de temps et comme c’est une super idée, le board a été fusionné avec le barcamp et chacune de ces questions reprise dans des ateliers dédiés.
Mais au fait c’est qui les administrateurs ?
Ah oui, donc en fait, la French Tech Strasbourg a un board. C’est demandé par la mission French Tech mais c’est aussi plus démocratique. Sa constitution a été faite un peu en urgence et non communiquée. Par souci de transparence, le processus a été assez simple : ont été pris tous les volontaires qui correspondait à l’idée d’un startuppeur. Le fait que le board ne soit composé que d’entrepreneurs était une idée forte à la constitution de la FTS.
Comme il n’y a pas eu plus de candidatures que de sièges, il n’a pas été nécessaire de réfléchir à un process de sélection et c’est tout à faire démocratique (enfin je crois). Des élections seront prévues dans l’année.
Il y a donc (dans l’ordre du channel Atolia #board) :
- Remy Perla, CEO Epopia
- Pierre-Jean Bensoussan, COO InSimo
- Clément Schneider, co-fondateur AR24 (et président de la FTS)
- Yann Klis, CEO Scalingo
- Geoffrey Kretz, CEO Kwit
- Richard Bouaoun, COO Defymed
- Kemal Evrim, CEO Brave New Media
- Emmanuel Laubriat, fondateur de BeAM
- Mathieu Lasne-Villoing, co-fondateur de sommelierparticulier.com
- Jérôme Faure, co-fondateur Proximis
Lancement du barcamp
On commence par un tour de présentation (il manque le début et la fin dans la vidéo).
Puis le remplissage de la place du marché.
Quelques minutes plus tard, place aux ateliers ! Vous trouverez le lien vers les comptes rendus et aussi mes commentaires quand j’en ai. Vous noterez que les template de comptes rendu ont été repris du Forum Ouvert 2017 sans trop d’édition.
Ateliers : Tour 1
Quel avenir pour Strasbourg Startup?
Il est évident que Strasbourg Startup et French Tech Strasbourg sont deux objets très similaires (s’applique aussi au Club SEMIA). Les entrepreneurs n’ont pas le temps de fréquenter 3 réseau similaires.
En soit tout peut être repris par la FTS, le nom n’ayant pas d’impact sur le contenu (Meetups, Démo Night, Founder’s Diner, Mailling List). Prendre le nom FTS est une contrainte de la mission French Tech mais montrerait également une ouverture d’un club qui est historiquement très numérique.
Reste que Strasbourg Startup est une marque établie qui semble plus stable qu’une French Tech qui se réinvente sans cesse et peut changer de règles aux prochaines élections.
Reste aussi que Strasbourg Startup a le support logistique d’Alsace Digitale et que faire vivre un tel club demande des ressources. Point qui sera abordé à l’atelier Gouvernance et financement de FTS.
Evolution technologique pour les 5 prochaines années
Pour des raisons de confidentialité, le groupe semble garder le secret et monte probablement une startup qui disruptera le monde tel que nous le connaissons suite à cet excellent brainstorm. :)
Ou alors je n’ai pas trouvé le compte-rendu …
Rayonnement international et interface avec Paris
Ateliers : Tour 2
On prend les mêmes, on mélange et on repart !
Innovation ouverte
Mieux recruter grâce à la FTS
Gouvernance et financement de FTS
Ma perception est que la réelle valeur ajoutée n’est pas coûteuse : des meetups, une mailing list, une communauté. Cela représente une goutte d’eau dans les moyens important investi par les collectivités. C’est, de plus, des montants atteignable par des cotisations quand l’écosystème sera plus développé.
La communauté dépend des bénévoles entrepreneurs qui ont une startup à faire croître, pas une association en plus. Chercher de l’argent est un travail plus complexe qu’il n’y parait :)
Contribuer à l’écosystème : Devenir bénévole chez Alsace Digitale
Yannick en mode Hack le barcamp pour recruter des bénévoles sans qui l’association (et donc, je me permets, l’écosystème, cf l’histoire de l’écosystème startup de Strasbourg) ne tournerait pas.
Une occasion de rappeler qu’en Juin, il y a renouvellement du bureau d’Alsace Digitale et que toutes les forces vives sont invitées à se présenter.
Les premières étapes des projets et Startup Weekend
Le Startup Weekend sera comme toujours en fin Novembre et c’est le meilleurs endroit pour lancer sa startup. Synovo et Epopia en viennent ! Le reste du temps il y a les meetups de Strasbourg Startup.
Sinon mon programme super simple pour un nouveau projet :
- Regarder Koudetat (gratuit) : https://www.koudetat.co/
- Rejoindre Strasbourg Startups : https://www.strasbourg-startups.com/
- Vendre
Ateliers : Tour 3
FTS vs FTA
Vision de la FTS à 2 ans
Même s’il reste beaucoup de questions sans réponses, ce barcamp a été l’occasion d’échanger beaucoup d’idées. A présent, il reste à transformer ce concept de French Tech Strasbourg en réalité. Il y a plein d’idées à creusées et les bases de Strasbourg Startup (peer to peer learning), mais en plus grand et plus ambitieux. Chacun est appelé à prendre sa part !
Le lien pour rejoindre la communauté : https://app.atolia.com/register/account?team=french-tech&group=3e931d6ae11440581c73b8aa20874c0abc5ff86f656d9d372418ab5a099413d8