Génération Waikiki — Nés en 1985, ils avaient toujours eu cette sensation d’être les grands oubliés. Les grands perdants. Les maudits à qui rien ne souriait. Ils n’avaient pas connu la victoire de François Mitterrand. La joie intense dans les rues, le bonheur contenu dans les chaumières, les cris étouffés dans les prisons…